Aller saluer la mère du Président Abdou Diouf à Louga, a été l’une des premières sorties de Wade qui venait à peine d’être élu président de la République et n’avait même pas encore prêté serment. Quelle élégance ! Quelle grandeur ! Quelle belle connaissance et reconnaissance de nos valeurs !
Quant au couple Diomaye-Sonko, ce sera une convocation à la DIC de la belle-mère de Macky Sall. Quand Diouf a succédé Senghor, il lui a rendu hommage en donnant son nom à un aéroport et à un stade. Macky Sall fait la même chose pour Wade, en lui donnant le nom du grand stade du Sénégal, sans oublier de lui rendre hommage quand il inaugure l’autoroute que Wade avait commencée.
Quand le Président Diomaye Faye parle du lancement du premier satellite sénégalais, il fait du « soul kère », en ignorant son prédécesseur. Ce sera la même chose pour notre premier baril de pétrole. Quelle négation du Sénégal et de ses valeurs. PASTEF ne partage pas nos valeurs.
Le seul projet de Pastef est la négation du Sénégal et de ses valeurs. Pastef a essayé de détruire l’exception sénégalaise, par une insurrection. Echec et mat ! Maintenant Sonko et ses affidés vont essayer de le faire de l’intérieur, en « réveillant » la FITNA et en désacralisant la Première institution du pays : le Président de la République, devenu fusible de son Premier Ministre.
Le président de la République au-delà de tous ses pouvoirs, est avant tout une autorité. Et son autorité est consubstantielle à une morale politique, fortement remise en cause depuis que le président de la République, gardien de la Constitution, a détourné ses pouvoirs constitutionnels, pour aider son Premier Ministre à se soustraire d’une obligation constitutionnelle : la DPG.
L’obsession d'Ousmane Sonko pour la question du voile et pour la création d’un ministère des Cultes, relèvent d’une stratégie de « réveiller » la FITNA au Sénégal. FITNA pour opposer les religions, FITNA pour opposer les confréries, FITNA pour opposer l’islam confrérique aux autres obédiences islamiques. FITNA aussi, que Pastef va chercher dans la guerre des deux écoles (école arabe et école publique), des universités en opposant la Sorbonne à Al Azar, avec la création d’une Direction générale de l’insertion des arabisants. Pourquoi pas une direction de l’insertion des lusophones ou des russophones ?
Pastef a mis le pays dans le coma économique, on pourra toujours s’en sortir comme on est sorti du chaos politique dans lequel, il avait plongé le pays, mais ne les laissons surtout pas ouvrir la boîte de Pandore de la FITNA identitaire. Les conflits politiques et économiques trouvent toujours des solutions, contrairement aux conflits identitaires, qui n’en trouvent presque jamais.
Le Sénégal a tous les atouts pour être une autre Suisse, mais si on y prend garde, Pastef va en faire un autre Liban, à force d’instrumentaliser les identités. Ne laissons pas Pastef nous créer des problèmes, dans le seul domaine où on en a pas : la religion. Ne faudrait-il pas rappeler à notre Premier Ministre, que l’Etat n’a aucune compétence en matière religieuse. Les compétences de l’Etat se réduisent à la paix civile, à la sécurité et à créer des conditions pour que les Sénégalais puissent pratiquer librement leur religion, travailler et s’enrichir.
Monsieur le Premier Ministre, nous avons la stabilité politique, la paix civile, la sécurité, tout ce que nous vous demandons, est de vous concentrer sur l’économie. C’est là où nous avons un problème. Tous les signaux économiques sont au rouge.
Occupez-vous de l’économie au lieu de faire du Mor Ndadié, en vous occupant de machines à café ou de règlement intérieur des écoles. Nous voulons un homme d’Etat à la tête du gouvernement, pas un homme de détails. Ci Ndiek, si vous ne pouvez pas régler nos problèmes, ne nous en créez pas d’autres, que nous n’avons jamais eu en réveillant la FITNA.
En réalité, sur la question religieuse et celle des confréries, Pastef avance masqué, avec la stratégie salafiste de la « Taqiya » (dissimulation en attendant un rapport de force favorable) et fera à coup sûr, tomber le masque, si jamais il a la majorité à l’Assemblée nationale, comme les nazis qui s’étaient fait voter légalement les pleins pouvoirs par le parlement. Quand les Allemands ouvrirent les yeux, c’était trop tard.
Sénégalais, ouvrez les yeux le 17 novembre, pour dire NON à la FITNA et à la négation du Sénégal et de ses valeurs, en faisant un demi-tour démocratique.
Dr Yoro DIA
Quant au couple Diomaye-Sonko, ce sera une convocation à la DIC de la belle-mère de Macky Sall. Quand Diouf a succédé Senghor, il lui a rendu hommage en donnant son nom à un aéroport et à un stade. Macky Sall fait la même chose pour Wade, en lui donnant le nom du grand stade du Sénégal, sans oublier de lui rendre hommage quand il inaugure l’autoroute que Wade avait commencée.
Quand le Président Diomaye Faye parle du lancement du premier satellite sénégalais, il fait du « soul kère », en ignorant son prédécesseur. Ce sera la même chose pour notre premier baril de pétrole. Quelle négation du Sénégal et de ses valeurs. PASTEF ne partage pas nos valeurs.
Le seul projet de Pastef est la négation du Sénégal et de ses valeurs. Pastef a essayé de détruire l’exception sénégalaise, par une insurrection. Echec et mat ! Maintenant Sonko et ses affidés vont essayer de le faire de l’intérieur, en « réveillant » la FITNA et en désacralisant la Première institution du pays : le Président de la République, devenu fusible de son Premier Ministre.
Le président de la République au-delà de tous ses pouvoirs, est avant tout une autorité. Et son autorité est consubstantielle à une morale politique, fortement remise en cause depuis que le président de la République, gardien de la Constitution, a détourné ses pouvoirs constitutionnels, pour aider son Premier Ministre à se soustraire d’une obligation constitutionnelle : la DPG.
L’obsession d'Ousmane Sonko pour la question du voile et pour la création d’un ministère des Cultes, relèvent d’une stratégie de « réveiller » la FITNA au Sénégal. FITNA pour opposer les religions, FITNA pour opposer les confréries, FITNA pour opposer l’islam confrérique aux autres obédiences islamiques. FITNA aussi, que Pastef va chercher dans la guerre des deux écoles (école arabe et école publique), des universités en opposant la Sorbonne à Al Azar, avec la création d’une Direction générale de l’insertion des arabisants. Pourquoi pas une direction de l’insertion des lusophones ou des russophones ?
Pastef a mis le pays dans le coma économique, on pourra toujours s’en sortir comme on est sorti du chaos politique dans lequel, il avait plongé le pays, mais ne les laissons surtout pas ouvrir la boîte de Pandore de la FITNA identitaire. Les conflits politiques et économiques trouvent toujours des solutions, contrairement aux conflits identitaires, qui n’en trouvent presque jamais.
Le Sénégal a tous les atouts pour être une autre Suisse, mais si on y prend garde, Pastef va en faire un autre Liban, à force d’instrumentaliser les identités. Ne laissons pas Pastef nous créer des problèmes, dans le seul domaine où on en a pas : la religion. Ne faudrait-il pas rappeler à notre Premier Ministre, que l’Etat n’a aucune compétence en matière religieuse. Les compétences de l’Etat se réduisent à la paix civile, à la sécurité et à créer des conditions pour que les Sénégalais puissent pratiquer librement leur religion, travailler et s’enrichir.
Monsieur le Premier Ministre, nous avons la stabilité politique, la paix civile, la sécurité, tout ce que nous vous demandons, est de vous concentrer sur l’économie. C’est là où nous avons un problème. Tous les signaux économiques sont au rouge.
Occupez-vous de l’économie au lieu de faire du Mor Ndadié, en vous occupant de machines à café ou de règlement intérieur des écoles. Nous voulons un homme d’Etat à la tête du gouvernement, pas un homme de détails. Ci Ndiek, si vous ne pouvez pas régler nos problèmes, ne nous en créez pas d’autres, que nous n’avons jamais eu en réveillant la FITNA.
En réalité, sur la question religieuse et celle des confréries, Pastef avance masqué, avec la stratégie salafiste de la « Taqiya » (dissimulation en attendant un rapport de force favorable) et fera à coup sûr, tomber le masque, si jamais il a la majorité à l’Assemblée nationale, comme les nazis qui s’étaient fait voter légalement les pleins pouvoirs par le parlement. Quand les Allemands ouvrirent les yeux, c’était trop tard.
Sénégalais, ouvrez les yeux le 17 novembre, pour dire NON à la FITNA et à la négation du Sénégal et de ses valeurs, en faisant un demi-tour démocratique.
Dr Yoro DIA