« Le public peut se rappeler que le service avait, en 2022, demandé une ordonnance du tribunal pour le détenir dans le cadre d’une enquête criminelle. Bien qu’il ait obtenu une ordonnance restrictive d’un tribunal de grande instance du FCT (Abuja), le service l’a toutefois arrêté en juin 2023, sur la base de nouvelles infractions/informations criminelles présumées, dont l’une constitue la base des poursuites actuelles », a-t-il expliqué.
« Le service assure le public du professionnalisme, de la justice et de l’équité dans le traitement de cette affaire, ainsi que de l’exercice de ses fonctions dans les limites de la loi », a-t-il déclaré. Plus tôt, hier, le juge Hamza Muazu avait lancé un ultimatum d’une semaine au DSS, pour qu’il inculpe Emefiele ou le libère.
Le juge Muazu a rendu son jugement dans le cadre d’une plainte pour violation des droits de l’homme intentée par M. Emefiele contre le DSS et d’autres personnes. Selon l’article publié vendredi par le journal nigérian "Guardian", le juge a estimé que, si le DSS a le pouvoir d’exercer ses fonctions constitutionnelles d’arrestation, de détention et de prévention de la criminalité, ces activités doivent s’inscrire dans le cadre de la loi.
Il a ajouté que le juge a maintenu que la loi stipule les conditions dans lesquelles un citoyen nigérian peut être détenu, et pour combien de temps. M. Emefiele avait traîné le procureur général de la Fédération et le Directeur général du DSS devant les tribunaux, afin de faire respecter son droit fondamental à la liberté de mouvement et à la dignité de la vie humaine.
Dans son action en justice, Emefiele demandait que son arrestation et sa détention depuis le 10 juin, sans décision de justice valable, soient annulées et classées sans suite. Emefiele a également demandé une compensation de cinq millions de naïras à titre de dommages et intérêts exemplaires, pour sa supposée détention illégale.
Apanews.net
« Le service assure le public du professionnalisme, de la justice et de l’équité dans le traitement de cette affaire, ainsi que de l’exercice de ses fonctions dans les limites de la loi », a-t-il déclaré. Plus tôt, hier, le juge Hamza Muazu avait lancé un ultimatum d’une semaine au DSS, pour qu’il inculpe Emefiele ou le libère.
Le juge Muazu a rendu son jugement dans le cadre d’une plainte pour violation des droits de l’homme intentée par M. Emefiele contre le DSS et d’autres personnes. Selon l’article publié vendredi par le journal nigérian "Guardian", le juge a estimé que, si le DSS a le pouvoir d’exercer ses fonctions constitutionnelles d’arrestation, de détention et de prévention de la criminalité, ces activités doivent s’inscrire dans le cadre de la loi.
Il a ajouté que le juge a maintenu que la loi stipule les conditions dans lesquelles un citoyen nigérian peut être détenu, et pour combien de temps. M. Emefiele avait traîné le procureur général de la Fédération et le Directeur général du DSS devant les tribunaux, afin de faire respecter son droit fondamental à la liberté de mouvement et à la dignité de la vie humaine.
Dans son action en justice, Emefiele demandait que son arrestation et sa détention depuis le 10 juin, sans décision de justice valable, soient annulées et classées sans suite. Emefiele a également demandé une compensation de cinq millions de naïras à titre de dommages et intérêts exemplaires, pour sa supposée détention illégale.
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