Véhicule des forces de l'ordre nigérianes. Sawa2
L’opération a été menée par une unité spéciale nigériane, regroupant des militaires et des policiers, qui opère dans la région du delta du Niger. Selon certaines sources, c’est un assaut conjugué de l’armée de terre, de la marine et des forces de l’air qui aurait permis la libération du groupe de 19 otages, à savoir 7 étrangers qui travaillaient pour la société Afren et qui avaient été enlevés le 7 novembre dernier, les Nigérians employés du géant pétrolier américain Exxon Mobil, kidnappés dimanche dernier. Quant aux quatre autres Nigérians, ils sont salariés d’un groupe de travaux publics.
Ce week-end, le chef d’état major de l’armée avait d’ailleurs menacé d’une intervention d’envergure dans le delta suite à la multiplication ces dernières semaines des attaques et des enlèvements.
Il s’agissait toutefois d’une opération à haut risque puisque si l’on en croit le communiqué du MEND, le Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger daté du 17 novembre, les rebelles ont été obligés «de déplacer les otages car des tirs de mortier sont tombés tout près d’eux».
Depuis le 17 novembre les otages sont donc libres, reste à savoir où et dans quel état de santé ils se trouvent.
Par RFI
L’opération a été menée par une unité spéciale nigériane, regroupant des militaires et des policiers, qui opère dans la région du delta du Niger. Selon certaines sources, c’est un assaut conjugué de l’armée de terre, de la marine et des forces de l’air qui aurait permis la libération du groupe de 19 otages, à savoir 7 étrangers qui travaillaient pour la société Afren et qui avaient été enlevés le 7 novembre dernier, les Nigérians employés du géant pétrolier américain Exxon Mobil, kidnappés dimanche dernier. Quant aux quatre autres Nigérians, ils sont salariés d’un groupe de travaux publics.
Ce week-end, le chef d’état major de l’armée avait d’ailleurs menacé d’une intervention d’envergure dans le delta suite à la multiplication ces dernières semaines des attaques et des enlèvements.
Il s’agissait toutefois d’une opération à haut risque puisque si l’on en croit le communiqué du MEND, le Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger daté du 17 novembre, les rebelles ont été obligés «de déplacer les otages car des tirs de mortier sont tombés tout près d’eux».
Depuis le 17 novembre les otages sont donc libres, reste à savoir où et dans quel état de santé ils se trouvent.
Par RFI