
"Concernant les secrétaires élus, seule une femme figure sur les six membres à savoir Mously Diakhaté. Donc, en toute évidence, la parité n'a pas été respectée. Même constat chez les vice-présidents. Cela ne doit pas passer, car c’est de la forfaiture. Il faut faire respecter la loi", a lancé Hélène Tine à l’endroit de son ancien mentor. Même son de cloche de chez Aïda Mbodj selon qui l’Assemblée nationale qui vote les lois continue de les violer et de verser dans la forfaiture". Pour sa part, indique le journal Libération, Me El Hadji Diouf a plaidé pour la suppression de la loi sur la parité qui, rapporte-t-il, relève de la pure fumisterie politique non sans s’exclamer : "Supprimons la parité".