Dans le texte, « le SAMES demande à ses membres de se tenir prêts pour un nouveau plan d’action qui verra une forme de lutte plus radicale ».
Toutefois, il se dit ouvert au dialogue avec le ministère de la Santé et de l’action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr.
Le communiqué souligne que le SAMES est au regret de constater que malgré la place stratégique de la Santé dans le Plan Sénégal émergent (PSE), «aucune de ses réformes n’a intégré l’organisation du système sanitaire. Ce qui a provoqué des situations ubuesques faisant que certaines collectivités locales se disputent la présidence de conseil d’administration. Tandis que d’autres refusent de libérer les fonds de dotation destinés aux services de santé ». Dans le même sens, ces médecins relèvent « de graves manquements » dans le secteur en question qu’ils imputent aux pouvoirs publics. « Il faut aussi signaler que des inégalités criardes persistent en matière de couverture sanitaire. Et beaucoup de régions du Sénégal restent encore « sans pédiatrie, sans réanimateur et sans cardiologue alors que le flux de démissions ne peut être comblé par celui des recrutements », font remarquer ce syndicat qui regroupe des pharmaciens, des médecins, des chirurgiens-dentistes, prêts à aller au bout si l’Etat ne répond pas à leurs préoccupations. Le tout nouveau ministre de tutelle a du pain sur la planche.
La rédaction de leral.net
Toutefois, il se dit ouvert au dialogue avec le ministère de la Santé et de l’action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr.
Le communiqué souligne que le SAMES est au regret de constater que malgré la place stratégique de la Santé dans le Plan Sénégal émergent (PSE), «aucune de ses réformes n’a intégré l’organisation du système sanitaire. Ce qui a provoqué des situations ubuesques faisant que certaines collectivités locales se disputent la présidence de conseil d’administration. Tandis que d’autres refusent de libérer les fonds de dotation destinés aux services de santé ». Dans le même sens, ces médecins relèvent « de graves manquements » dans le secteur en question qu’ils imputent aux pouvoirs publics. « Il faut aussi signaler que des inégalités criardes persistent en matière de couverture sanitaire. Et beaucoup de régions du Sénégal restent encore « sans pédiatrie, sans réanimateur et sans cardiologue alors que le flux de démissions ne peut être comblé par celui des recrutements », font remarquer ce syndicat qui regroupe des pharmaciens, des médecins, des chirurgiens-dentistes, prêts à aller au bout si l’Etat ne répond pas à leurs préoccupations. Le tout nouveau ministre de tutelle a du pain sur la planche.
La rédaction de leral.net