Cette relation est contraire aux faits. D’abord, notre famille, qui ne se résume pas à notre modeste personne et à celle de notre fille, n’était pas dans la salle, car contrairement à l’autre partie nous n’avons pas battu de tams-tams. Quand le juge a appelé notre affaire, nous nous sommes levés, notre fille et nous, pour nous présenter devant lui à la barre, afin de renouveler au tribunal tout le respect que nous lui devons. C’est dommage que le représentant de l’Observateur, dont le crédo est d’observer et de bien observer, et dont l’esprit objectif était ailleurs que dans la salle, cet esprit objectif qu’attendent de lui les milliers de lecteurs de son journal, celui qui est le plus vendu dans notre pays, c’est dommage qu’il n’ait pu remarquer que nous étions les seuls debout à la barre au moment de l’annoncé du verdict par le juge, et non pas assis au fond de la salle, comme l’était l’autre partie. C’est dommage qu’il n’ait pas remarqué que ni le prévenu, l’agresseur Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur, ni l’autre partie n’était debout à la barre à nos côtés.
L’Observateur a cependant remarqué l’autre partie, animée par la menteuse à la Bible, entrain de jubiler, en « étouffant de cris de bonheur, de joie, d’acclamations et d’exaltations délirantes,… » ; mais enfin, en raison de quoi, pourrait-on se demander ? Est-ce parce que l’agresseur Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur, a été relaxé, après avoir passé 18 jours en prison pour la première fois de sa vie ? Ou parce que le tribunal ne l’a pas condamné afin qu’il aille purger plus que ces 18 jours de prison déjà effectués ? Soit ! Si cela suffit à faire le bonheur de l’autre partie, et bien, tant mieux pour elle.
N’oublions jamais cependant que le Grand Architecte de l’Univers, qui ne dort jamais, qui voit tout, et qui sait donc tout, ne juge jamais, ni nos actes, ni nos gestes, ni nos paroles, mais seulement et uniquement les intentions inavouées qui se cachent derrières ceux-ci. Donc, que l‘on entre dans une salle d’audience au tribunal ou qu’on en sorte avec une Bible à la main (pour amuser peut être la galerie, ou pour tenter de tromper notre Seigneur J.C., assurément pas) pour ensuite se lever, se pavaner tel un paon ayant perdu le Nord et ne dire devant le public que des choses contraires à la vérité, cela ne nous intéresse pas. Et si cela a pu retenir l’attention de l’Observateur du jour, et bien, tant mieux.
Dans tous les cas, nous lui avions promis devant des témoins, à cet agresseur de Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur, de l’envoyer comme il le mérite en prison, et il y a été pendant 18 jours. Alors que ni nous, ni notre fille, n’avons été en prison.
Dans sa relation, l’esprit de notre Observateur, est encore allé trop vite en besogne en laissant ses préjugés prendre le dessus sur l’objectivité des faits, en qualifiant même notre fille de princesse. Mais où est-il donc aller chercher ça ? Il s’est trompé sur toute la ligne, parce que simplement il ne cherchait qu’à faire mal, gratuitement, à des personnes qu’il ne connait pas ; le manque d’élégance et d’objectivité de sa plume n’honore pas sa corporation, et c’est bien dommage et regrettable.
En guise de résumé des faits en question pour une bonne information du public, puisque notre Observateur en a proposé un, nous dirons simplement que le citoyen que nous sommes est allé porter plainte devant l’avocat de la société (le Procureur de la République), contre un agresseur nommé Lamine Diagne, un soi-disant chauffeur de Madame, dont nous ne connaissions même pas le nom avant ladite plainte.
Après avoir conduit elle-même, quelques trois ans, sa voiture, conformément au contrat moral qui était à la base de ce cadeau de notre part, voilà que Madame dit avoir embauché un soi-disant chauffeur, et quel chauffeur pour une dame qui veut se faire respecter ? Aller donc voir, un individu qui fait résolument partie de ces nombreux agresseurs qui circulent, de plus en plus, malheureusement, dans notre capitale, en semant la désolation parmi les honnêtes citoyens. Rien que son accoutrement, sa manière de marcher et de porter son pantalon, renseignent suffisamment, s’il en était encore besoin, sur son incorrection et sur son statut d’agresseur que l’autorité du tribunal se devait, pour la protection de notre société, de mettre hors d’état de nuire.
Le matin du 31 août, ce soi-disant chauffeur de Madame, qui n’entrait jamais dans notre domicile, car Madame connaissait parfaitement notre opinion sur les chauffeurs de cet espèce, n’en ayant jamais eu de notre vie, même pendant les cinq ans de la 11ème législature à l’Assemblée Nationale, ce soi-disant chauffeur, disons-nous, a violé notre domicile en escaladant le mur de clôture haut de quelques 2 m 60, a roué de coups notre fille en lui occasionnant des blessures constatées par un certificat médical avec 30 jours d’incapacité établi par médecin reconnu (des photos des blessures accompagnent le dossier). L’agresseur après nous avoir bousculé violemment, à notre arrivée à l’espace de son forfait, a poursuivi notre fille jusqu’à l’intérieur du salon, en y agressant divers objets en présence dont des œuvres d’art. Après avoir collé, à trois reprises, son front contre le notre, afin de provoquer une bagarre, nous sommes restés calme en baissant les deux bras le long de notre corps, et en continuant à lui donner l’ordre de quitter notre domicile. Il a finit par perdre ses moyens face un gros gaillard de 1m 80, qui connaît ses droits et ses devoirs, et qui était déterminé à ne pas se faire justice lui-même, même dans son propre domicile.
L’agresseur est demeuré dans notre domicile au moins quarante-cinq minutes, jusqu’à l’arrivée des deux agents, venant du poste de la gendarmerie de Ngor, appelés discrètement par nos soins. Pendant tout ce temps, nous avons empêché formellement notre gardien d’intervenir, lui qui s’apprêtait, à un moment, à utiliser son coupe-coupe contre l’agresseur.
Quand les observateurs, qui étaient présents dans la salle d’audience le jour du procès, ont aperçu notre fille Ndèye Juliette debout à côté de Madame, qui visiblement peut la porter au dos, ils ont vite compris que le mensonge était trop gros de prétendre que c’est Ndèye juliette qui l’a fait tomber et qui était assise sur elle en train de la frapper. Malheureusement pour les observateurs présents et pour l’éclatement de la vérité devant la justice, Madame n’a jamais dit pourquoi elle avait poussé un cri lors de l’altercation qu’elle a eu avec notre fille ; ni notre fille, non plus, ne l’a dit simplement parce que nous le lui avions interdit. Alors pourquoi ce fameux cri poussé par Madame qui aurait alerté l’agresseur, son soi-disant chauffeur ? C’est parce que, simplement, Madame avait perdu sa perruque lors de l’altercation avec notre fille. Car entre Madame, sa perruque et son miroir, c’est une longue histoire d’amour.
Nous avons lu, comme beaucoup de nos concitoyens, tout ce que la presse nationale a écrit sur cette affaire ; mais contrairement au journaliste Cheikh Yérim Seck, nous ne crierons pas à un complot de la presse contre notre modeste personne, loin de là. Malgré que nous soyons une personne publique, c’est la première fois de notre vie qu’un voyou, un agresseur, violait notre domicile, et y brutalisait des gens et des objets qui nous sont chers. Si cela était à refaire, nous le referions. Tous les agresseurs, de l’espèce de Lamine Diagne doivent être démasqués, traînés devant la justice et mis hors d’état de nuire, pour un rétablissement de l’équilibre social. Maintenant, que ceux qui défendent aujourd’hui cet agresseur, au premier rang desquels s’est présenté Madame au tribunal contre nous, prennent bien garde pour ne pas être ses victimes de demain.
Nous avons acceptés, humblement, notre fille et nous, le verdict du tribunal sans être mouillés par aucune « eau grelottante aspergée par le tribunal ». Nous espérons seulement que l’agresseur Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur de Madame, aura retenu la leçon à lui administrée par le tribunal, et qu’il fera tout, désormais, pour ne pas récidiver. Car tous les citoyens sénégalais ne sont pas des Ousmane sow Huchard ; il y en a qui sont armés jusqu’aux dents afin de protéger leurs familles et leurs biens des agresseurs et des voyous tels que Lamine Diagne qui ne cessent de se faufiler, dans notre capitale, entre les honnêtes gens. Monsieur Huchard, quant à lui, est un simple citoyen, militant écolo, un pacifiste, dont la grande ambition, avec beaucoup d’autres citoyens, est de construire un pays sans violence où il fera bon vivre pour tous, et de travailler à changer le monde avec une fleur à la main et l’amour. Bien respectueusement.
Ousmane sow HUCHARD
L’Observateur a cependant remarqué l’autre partie, animée par la menteuse à la Bible, entrain de jubiler, en « étouffant de cris de bonheur, de joie, d’acclamations et d’exaltations délirantes,… » ; mais enfin, en raison de quoi, pourrait-on se demander ? Est-ce parce que l’agresseur Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur, a été relaxé, après avoir passé 18 jours en prison pour la première fois de sa vie ? Ou parce que le tribunal ne l’a pas condamné afin qu’il aille purger plus que ces 18 jours de prison déjà effectués ? Soit ! Si cela suffit à faire le bonheur de l’autre partie, et bien, tant mieux pour elle.
N’oublions jamais cependant que le Grand Architecte de l’Univers, qui ne dort jamais, qui voit tout, et qui sait donc tout, ne juge jamais, ni nos actes, ni nos gestes, ni nos paroles, mais seulement et uniquement les intentions inavouées qui se cachent derrières ceux-ci. Donc, que l‘on entre dans une salle d’audience au tribunal ou qu’on en sorte avec une Bible à la main (pour amuser peut être la galerie, ou pour tenter de tromper notre Seigneur J.C., assurément pas) pour ensuite se lever, se pavaner tel un paon ayant perdu le Nord et ne dire devant le public que des choses contraires à la vérité, cela ne nous intéresse pas. Et si cela a pu retenir l’attention de l’Observateur du jour, et bien, tant mieux.
Dans tous les cas, nous lui avions promis devant des témoins, à cet agresseur de Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur, de l’envoyer comme il le mérite en prison, et il y a été pendant 18 jours. Alors que ni nous, ni notre fille, n’avons été en prison.
Dans sa relation, l’esprit de notre Observateur, est encore allé trop vite en besogne en laissant ses préjugés prendre le dessus sur l’objectivité des faits, en qualifiant même notre fille de princesse. Mais où est-il donc aller chercher ça ? Il s’est trompé sur toute la ligne, parce que simplement il ne cherchait qu’à faire mal, gratuitement, à des personnes qu’il ne connait pas ; le manque d’élégance et d’objectivité de sa plume n’honore pas sa corporation, et c’est bien dommage et regrettable.
En guise de résumé des faits en question pour une bonne information du public, puisque notre Observateur en a proposé un, nous dirons simplement que le citoyen que nous sommes est allé porter plainte devant l’avocat de la société (le Procureur de la République), contre un agresseur nommé Lamine Diagne, un soi-disant chauffeur de Madame, dont nous ne connaissions même pas le nom avant ladite plainte.
Après avoir conduit elle-même, quelques trois ans, sa voiture, conformément au contrat moral qui était à la base de ce cadeau de notre part, voilà que Madame dit avoir embauché un soi-disant chauffeur, et quel chauffeur pour une dame qui veut se faire respecter ? Aller donc voir, un individu qui fait résolument partie de ces nombreux agresseurs qui circulent, de plus en plus, malheureusement, dans notre capitale, en semant la désolation parmi les honnêtes citoyens. Rien que son accoutrement, sa manière de marcher et de porter son pantalon, renseignent suffisamment, s’il en était encore besoin, sur son incorrection et sur son statut d’agresseur que l’autorité du tribunal se devait, pour la protection de notre société, de mettre hors d’état de nuire.
Le matin du 31 août, ce soi-disant chauffeur de Madame, qui n’entrait jamais dans notre domicile, car Madame connaissait parfaitement notre opinion sur les chauffeurs de cet espèce, n’en ayant jamais eu de notre vie, même pendant les cinq ans de la 11ème législature à l’Assemblée Nationale, ce soi-disant chauffeur, disons-nous, a violé notre domicile en escaladant le mur de clôture haut de quelques 2 m 60, a roué de coups notre fille en lui occasionnant des blessures constatées par un certificat médical avec 30 jours d’incapacité établi par médecin reconnu (des photos des blessures accompagnent le dossier). L’agresseur après nous avoir bousculé violemment, à notre arrivée à l’espace de son forfait, a poursuivi notre fille jusqu’à l’intérieur du salon, en y agressant divers objets en présence dont des œuvres d’art. Après avoir collé, à trois reprises, son front contre le notre, afin de provoquer une bagarre, nous sommes restés calme en baissant les deux bras le long de notre corps, et en continuant à lui donner l’ordre de quitter notre domicile. Il a finit par perdre ses moyens face un gros gaillard de 1m 80, qui connaît ses droits et ses devoirs, et qui était déterminé à ne pas se faire justice lui-même, même dans son propre domicile.
L’agresseur est demeuré dans notre domicile au moins quarante-cinq minutes, jusqu’à l’arrivée des deux agents, venant du poste de la gendarmerie de Ngor, appelés discrètement par nos soins. Pendant tout ce temps, nous avons empêché formellement notre gardien d’intervenir, lui qui s’apprêtait, à un moment, à utiliser son coupe-coupe contre l’agresseur.
Quand les observateurs, qui étaient présents dans la salle d’audience le jour du procès, ont aperçu notre fille Ndèye Juliette debout à côté de Madame, qui visiblement peut la porter au dos, ils ont vite compris que le mensonge était trop gros de prétendre que c’est Ndèye juliette qui l’a fait tomber et qui était assise sur elle en train de la frapper. Malheureusement pour les observateurs présents et pour l’éclatement de la vérité devant la justice, Madame n’a jamais dit pourquoi elle avait poussé un cri lors de l’altercation qu’elle a eu avec notre fille ; ni notre fille, non plus, ne l’a dit simplement parce que nous le lui avions interdit. Alors pourquoi ce fameux cri poussé par Madame qui aurait alerté l’agresseur, son soi-disant chauffeur ? C’est parce que, simplement, Madame avait perdu sa perruque lors de l’altercation avec notre fille. Car entre Madame, sa perruque et son miroir, c’est une longue histoire d’amour.
Nous avons lu, comme beaucoup de nos concitoyens, tout ce que la presse nationale a écrit sur cette affaire ; mais contrairement au journaliste Cheikh Yérim Seck, nous ne crierons pas à un complot de la presse contre notre modeste personne, loin de là. Malgré que nous soyons une personne publique, c’est la première fois de notre vie qu’un voyou, un agresseur, violait notre domicile, et y brutalisait des gens et des objets qui nous sont chers. Si cela était à refaire, nous le referions. Tous les agresseurs, de l’espèce de Lamine Diagne doivent être démasqués, traînés devant la justice et mis hors d’état de nuire, pour un rétablissement de l’équilibre social. Maintenant, que ceux qui défendent aujourd’hui cet agresseur, au premier rang desquels s’est présenté Madame au tribunal contre nous, prennent bien garde pour ne pas être ses victimes de demain.
Nous avons acceptés, humblement, notre fille et nous, le verdict du tribunal sans être mouillés par aucune « eau grelottante aspergée par le tribunal ». Nous espérons seulement que l’agresseur Lamine Diagne, le soi-disant chauffeur de Madame, aura retenu la leçon à lui administrée par le tribunal, et qu’il fera tout, désormais, pour ne pas récidiver. Car tous les citoyens sénégalais ne sont pas des Ousmane sow Huchard ; il y en a qui sont armés jusqu’aux dents afin de protéger leurs familles et leurs biens des agresseurs et des voyous tels que Lamine Diagne qui ne cessent de se faufiler, dans notre capitale, entre les honnêtes gens. Monsieur Huchard, quant à lui, est un simple citoyen, militant écolo, un pacifiste, dont la grande ambition, avec beaucoup d’autres citoyens, est de construire un pays sans violence où il fera bon vivre pour tous, et de travailler à changer le monde avec une fleur à la main et l’amour. Bien respectueusement.
Ousmane sow HUCHARD