« Nous avons la solution, mais il ne peut pas venir sur un coup de baguette magique. L’électricité et l’énergie ont été le talon d’Achille du régime qui a été défait le 25 mars dernier, parce que ce régime-là a tergiversé sur les solutions et à la fin, est arrivé le plan Takkal, un plan ambitieux de plus de 1000 milliards de F Cfa, mais qui n’était pas soutenable financièrement du point de vue des capacités du Sénégal. Nous avons donc trouvé cette situation où l’accent a été mis sur la production », renseigne-t-il.
A en croire Serigne Mbaye Thiam, « la question de la production a aujourd’hui a été réglée. Nous avons eu des pics de demande au mois de juillet de l’ordre de 450 MW et aujourd’hui, nous avons un surplus dans la production d’à peu près 30 MW. Mais c’est une production qui coûte cher. Le problème aujourd’hui, dans des quartiers comme Mermoz, les Almadies etc. où les délestages sont plus intenses, c’est un problème de circuit de distribution ».
De l’avis du ministre de l’Enseignement supérieur, le hic réside dans le réseau de distribution de l’électricité. "Les réseaux de distribution que nous avons, chauffent quelquefois, parce qu’ils sont vétustes et ne peuvent supporter cette charge-là. Donc, il y a des ruptures."
Il faut donc chercher d’autres solutions, selon Serigne Mbaye Thiam. « Dimanche et lundi derniers, le ministre de l’Energie s’est rendu en Mauritanie pour poursuivre les contacts que le Président avait eus avec son homologue mauritanien pour l’exploitation du gaz mauritanien pour notre électricité et nous espérons là une capacité de 100 MW. Au plan de la production, nous n’avons pas d’inquiétude », révèle-t-il avant de préciser : « C’est le réseau de distribution qui pose problème. Il y a un plan qui est mis en œuvre aujourd’hui pour faire une boucle au niveau de Dakar, mais ce ne sera pas une solution à court terme. Il faut avoir le courage de dire aux Sénégalais que pour reprendre le réseau en entier, cela va prendre du temps ».
A la question de savoir l’échéance pour une fin des délestages, le porte-parole du gouvernement répond qu’il ne va pas tomber dans le piège : « De façon générale, dans aucun pays du monde on ne peut garantir qu’il y aura zéro coupure d’électricité. Ce que je peux dire, c’et que les solutions à court terme sont envisagées pour atténuer ces délestages et ces désagréments et nous avons les solutions à long terme pour que le Sénégal puise faire face à sa demande en électricité ».
Source:NETTALI.NET
A en croire Serigne Mbaye Thiam, « la question de la production a aujourd’hui a été réglée. Nous avons eu des pics de demande au mois de juillet de l’ordre de 450 MW et aujourd’hui, nous avons un surplus dans la production d’à peu près 30 MW. Mais c’est une production qui coûte cher. Le problème aujourd’hui, dans des quartiers comme Mermoz, les Almadies etc. où les délestages sont plus intenses, c’est un problème de circuit de distribution ».
De l’avis du ministre de l’Enseignement supérieur, le hic réside dans le réseau de distribution de l’électricité. "Les réseaux de distribution que nous avons, chauffent quelquefois, parce qu’ils sont vétustes et ne peuvent supporter cette charge-là. Donc, il y a des ruptures."
Il faut donc chercher d’autres solutions, selon Serigne Mbaye Thiam. « Dimanche et lundi derniers, le ministre de l’Energie s’est rendu en Mauritanie pour poursuivre les contacts que le Président avait eus avec son homologue mauritanien pour l’exploitation du gaz mauritanien pour notre électricité et nous espérons là une capacité de 100 MW. Au plan de la production, nous n’avons pas d’inquiétude », révèle-t-il avant de préciser : « C’est le réseau de distribution qui pose problème. Il y a un plan qui est mis en œuvre aujourd’hui pour faire une boucle au niveau de Dakar, mais ce ne sera pas une solution à court terme. Il faut avoir le courage de dire aux Sénégalais que pour reprendre le réseau en entier, cela va prendre du temps ».
A la question de savoir l’échéance pour une fin des délestages, le porte-parole du gouvernement répond qu’il ne va pas tomber dans le piège : « De façon générale, dans aucun pays du monde on ne peut garantir qu’il y aura zéro coupure d’électricité. Ce que je peux dire, c’et que les solutions à court terme sont envisagées pour atténuer ces délestages et ces désagréments et nous avons les solutions à long terme pour que le Sénégal puise faire face à sa demande en électricité ».
Source:NETTALI.NET
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