Pour rappel, c’est après le décès de ce dernier survenu le 14 mars 2021, qu’il avait décidé d’observer une pause musicale. « J’ai dit que je pouvais partir avant lui. Je suis sûr qu’il en aurait fait pareil pour moi. Cela a été un moment très difficile. J’ai voulu rendre hommage à Ballago, à travers lui, à d’autres personnes disparues, et qui me sont chères (dont) Joseph Koto, qui a mouillé le maillot. J’ai utilisé les mots qu’il (Thione Seck) a fait sonner durant son parcours. J’ai utilisé Faramareen », a expliqué Youssou Ndour.
« La musique, c’est ma passion »
L’artiste a convié les journalistes de la presse écrite à une séance d’écoute dans les locaux de Tfm, ce mercredi 10 novembre 2021. Campant le décor avant l’arrivée de l’artiste à la fin de la séance d’écoute, son producteur et jeune frère, Bouba Ndour, a décrit une production « personnelle » de la star planétaire. Non seulement tous les titres sont de Youssou Ndour mais aussi il a écrit, alors qu’il était retranché chez lui, en pleine pandémie de Covid-19. « Je suis sur place, je ne prends pas l’avion, je ne donne pas de concert, cela donne plus de temps… C’est ma passion, c’est la musique, surtout mon expérience », avait alors confié Youssou Ndour.
De huit, l’album est passé à douze titres
Dans le premier titre intitulé ’’Gagganti ko’’, l’auteur invite au « dépassement » pour éviter les drames au sein des couples. Dans ce titre, il est accompagné par Balla Diabaté, jeune frère de Sidiki Diabaté. D’où les sonorités maliennes. D’autres instrumentistes ont participé à l’album, apportant une « fraîcheur musicale », a ajouté le producteur.
Autre message de l’auteur : « La solution, c’est de pardonner ». Youssou Ndour a fait aussi un clin d’œil à ses inconditionnels dans ’’Tattagal – Fans yi’’. Dans ’’Wax ju bari », il a rendu hommage à feu Ibra Kassé, qui l’a soutenu dans sa carrière. Par ailleurs, l’ambassadeur du Forum de l’Eau, prévu à Dakar en mars 2022, s’est également exprimé, à travers ’’Ndox’’, l’eau en wolof.
"Waññi ko", sigle issu de cet album, est sorti depuis juillet dernier.
senenews.com
« La musique, c’est ma passion »
L’artiste a convié les journalistes de la presse écrite à une séance d’écoute dans les locaux de Tfm, ce mercredi 10 novembre 2021. Campant le décor avant l’arrivée de l’artiste à la fin de la séance d’écoute, son producteur et jeune frère, Bouba Ndour, a décrit une production « personnelle » de la star planétaire. Non seulement tous les titres sont de Youssou Ndour mais aussi il a écrit, alors qu’il était retranché chez lui, en pleine pandémie de Covid-19. « Je suis sur place, je ne prends pas l’avion, je ne donne pas de concert, cela donne plus de temps… C’est ma passion, c’est la musique, surtout mon expérience », avait alors confié Youssou Ndour.
De huit, l’album est passé à douze titres
Dans le premier titre intitulé ’’Gagganti ko’’, l’auteur invite au « dépassement » pour éviter les drames au sein des couples. Dans ce titre, il est accompagné par Balla Diabaté, jeune frère de Sidiki Diabaté. D’où les sonorités maliennes. D’autres instrumentistes ont participé à l’album, apportant une « fraîcheur musicale », a ajouté le producteur.
Autre message de l’auteur : « La solution, c’est de pardonner ». Youssou Ndour a fait aussi un clin d’œil à ses inconditionnels dans ’’Tattagal – Fans yi’’. Dans ’’Wax ju bari », il a rendu hommage à feu Ibra Kassé, qui l’a soutenu dans sa carrière. Par ailleurs, l’ambassadeur du Forum de l’Eau, prévu à Dakar en mars 2022, s’est également exprimé, à travers ’’Ndox’’, l’eau en wolof.
"Waññi ko", sigle issu de cet album, est sorti depuis juillet dernier.
senenews.com