Le 28 avril dernier, l’Olympique Lyonnais soulevait la Coupe de France, en l’emportant en finale devant Quevilly. Un moment important pour les Gones, qui mettaient ainsi fin à trois saisons de disette sous l’ère Claude Puel. Mais dans la victoire, un évènement est venu apporter une drôle de zone d’ombre. Sorti sur blessure, touché au pied droit, Dejan Lovren a vu sa fin d’exercice se terminer en eau de boudin. Membre indiscutable du groupe croate, le défenseur central a été privé d’Euro, lui qui aurait eu là l’occasion de disputer son tout premier grand tournoi international. Un pépin physique de longue durée donc, pour un joueur qui entrevoit enfin le bout du tunnel, lui qui est à la disposition de Rémi Garde pour la réception d’Ajaccio ce week-end.
Dans les colonnes du Progrès, le natif de Zenica savoure ce retour : « Je me sens bien physiquement et dans la tête. Et c’est peut-être plus important encore. Je suis revenu, je joue avec le groupe, et j’oublie ma blessure. Enfin presque. Je sais que ça va rester. J’aurai tout le temps une petite douleur. Mais il n’y a rien de grave. Je frappe normalement, et à chaque fin de séance, je mets de la glace. C’est plus facile quand on connaît la durée. J’ai vu beaucoup de personnes. La première me disait 2 mois, la deuxième 3 mois, et une autre quinze jours. J’étais vraiment énervé. Mais, c’est vrai que j’ai eu une blessure un peu bizarre avec cette fissure interne ».
Énervé par les évènements liés à sa blessure, le défenseur de 23 ans a tout de même pris le temps de regarder le mercato de son club, mais aussi de noter que le FC Barcelone s’intéressait à lui : « Je ne sais pas si c’était vrai. J’ai appris ça dans les médias, et tout ce que je peux dire, c’est que l’on peut être fier de voir son nom pas loin de celui du Barça. Peut-être un jour... On a beaucoup vendu, et notamment des joueurs qui étaient des coéquipiers. C’est dommage, mais c’est la vie de chaque footballeur. On n’est jamais sûr de rester. C’est la crise de partout et on comprend. Mais on a bien acheté et cela se voit sur le terrain. Le podium, on ne pense pas à autre chose. Bien sûr, il y a le PSG. Mais un championnat ne se décide pas avant. On veut jouer la Ligue des Champions. Elle nous manque déjà ! » Les Gones savent ce qu’il leur reste à faire pour retrouver la Ligue des Champions.
Khaled Karouri
Dans les colonnes du Progrès, le natif de Zenica savoure ce retour : « Je me sens bien physiquement et dans la tête. Et c’est peut-être plus important encore. Je suis revenu, je joue avec le groupe, et j’oublie ma blessure. Enfin presque. Je sais que ça va rester. J’aurai tout le temps une petite douleur. Mais il n’y a rien de grave. Je frappe normalement, et à chaque fin de séance, je mets de la glace. C’est plus facile quand on connaît la durée. J’ai vu beaucoup de personnes. La première me disait 2 mois, la deuxième 3 mois, et une autre quinze jours. J’étais vraiment énervé. Mais, c’est vrai que j’ai eu une blessure un peu bizarre avec cette fissure interne ».
Énervé par les évènements liés à sa blessure, le défenseur de 23 ans a tout de même pris le temps de regarder le mercato de son club, mais aussi de noter que le FC Barcelone s’intéressait à lui : « Je ne sais pas si c’était vrai. J’ai appris ça dans les médias, et tout ce que je peux dire, c’est que l’on peut être fier de voir son nom pas loin de celui du Barça. Peut-être un jour... On a beaucoup vendu, et notamment des joueurs qui étaient des coéquipiers. C’est dommage, mais c’est la vie de chaque footballeur. On n’est jamais sûr de rester. C’est la crise de partout et on comprend. Mais on a bien acheté et cela se voit sur le terrain. Le podium, on ne pense pas à autre chose. Bien sûr, il y a le PSG. Mais un championnat ne se décide pas avant. On veut jouer la Ligue des Champions. Elle nous manque déjà ! » Les Gones savent ce qu’il leur reste à faire pour retrouver la Ligue des Champions.
Khaled Karouri
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