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OPINION : Appel à la défense sans complexes du Président Wade et de notre régime au pouvoir

Si vis pacem para bellum.

Notre pacte stratégique autour de l’Alliance Sopi pour Toujours (AST) doit nécessairement triompher sur l’autre « pacte » contre-nature autour des Benno (Siguil et Taxawal) et de s mouvements citoyens revanchards et manipulateurs. Notre survie politique et la pérennité de notre régime en dépendent. Toute impuissance à répondre aux enjeux et défis actuels nous sera fatale, surtout que les espèces périssent par leur propre instinct lorsque celui-ci les empêche de s’adapter aux transformations du milieu.


Rédigé par leral.net le Jeudi 4 Novembre 2010 à 02:29 | | 16 commentaire(s)|

OPINION : Appel à la défense sans complexes du Président Wade et de notre régime au pouvoir
L’opposition et les autres candidats aux prochaines élections présidentielles nous livrent et nous opposent une bataille organisée sans précédent ; une bataille qui s’apparente tantôt à une guerre de courtoisie, tantôt à une guerre à la dentelle, tantôt à une guerre cognitive ou psychologique, tantôt à une guerre révolutionnaire, tantôt à une guerre froide, tantôt à une guerre de rites solennels, tantôt à une guerre primitive de coups de poing et d’invectives. Qu’elle soit ouverte, larvée, clandestine ou subversive, la bataille demeure indéniable. Qu’elle soit verbalisée ou simplement synergologique (langage autre que verbal), l’animosité politique règne partout contre notre régime. En témoignent ces accès de colère et de fièvre proleptique qui nous assaillent de toutes parts. Seuls les mots changent, mais les ressorts, les motivations et les fins qui sous-tendent l’agressivité de l’opposition restent les mêmes. Ils nous ont déclaré la guerre politique pour nous faire partir du pouvoir. Ils pensent nous livrer une guerre juste, une Der des Ders, ce dernier coup de semonce. Ils rêvent, déjà et à leur manière, d’un Saint-Graal politique en 2012. Tout ce qu’ils font ne nous conduit que vers un punctum pruriens catastrophique ! Et cet avant-gout du drame auquel ils nous réduisent n’est pas politiquement appétissant. Inutile de mesurer la tension qui monte, à mesure que le débat politique, déjà surchauffé, se passionne et s’envenime. La rhétorique, les discours et les sophismes de l’opposition suffisent à en démontrer la virulence refoulée. L’avènement du drame risque d’être plus nauséabond, si nous ne ripostons pas à la hauteur de leurs agissements malveillants. C’est pourquoi nous devons arrêter nos finasseries fratricides in vitro pour nous affronter in vivo aux exigences concurrentielles qui régissent objectivement nos rapports de force politiques avec toutes les hostilités centrifuges et centripètes. Parce que la guerre qui nous a été déclarée ne relève pas de l’illusion clausewitzienne. C’est une forme de guerre totale que l’opposition nous livre avec comme fins ultimes la déstabilisation de nos états-majors, de nos chancelleries, de nos plans, de notre crédibilité, de notre réputation, de nos espérances, de notre stratégie globale, donc, de notre avenir politique au Sénégal, en Afrique et dans le monde. Cette posture hostile mais rationalisée en une vieille tactique belligène, qui consiste à provoquer l’indignation de tous contre notre régime au pouvoir, est propre aux hommes de ressentiment prêts à faire flèche et feu de tous bois pour revenir aux affaires publiques. La bellicité de l’opposition sénégalaise est une preuve accablante d’un esprit de méchanceté et de vengeance. La plupart des gens qui forment cette opposition sont des hommes et des femmes pleins de ressentiment à l’égard tout à la fois du Président Wade et de notre régime. Ils ne s’arrêteront jamais tant que leurs impulsions belliqueuses, ces humeurs peccantes ne seront pas totalement assouvies et soulagées. La jalousie et l’envie brûlent leur cœur au point qu’ils en perdent la foi et le gentlemenship.

Et dans toute l’opposition le parti socialiste demeure le sommet éclairé de cette pyramide du ressentiment ; alors que l’AFP en est l’éclair fulgurant qui jaillit entre les deux nuées sombres (le PIT et la LD) chargées, toutes les deux, d’orage sinistre à la fois anxiogène, crisogène, cindynogène et belligène. Leur dénominateur commun est que ces partis de l’opposition partagent la sinistrose et sont incapables de toute résilience politique face au régime en place. Leur dessein est d’installer une tension sociale et une psychose générale à leur avantage dans notre pays. Un scénario que nous pouvons éviter par un quadrillage intelligent des espaces politiques. « Les raisins sont trop verts », disent-ils malicieusement, alors qu’ils sont, au contraire, bien mûrs ! Les fables de La Fontaine sont têtues ! Ces « Homo Furiosus » de l’opposition vivent de complexes belligènes qui les poussent naturellement et sans aucun discernement à transformer leur agressivité en animosité viscérale. Leur anti-wadisme primaire n’est que pur ressentiment. Voilà le portrait psychologique de l’opposition sénégalaise. Et cet état d’esprit veut nous amener à l’usure et à la désagrégation générale. Tous les jours que Dieu fait, ils ne cherchent qu’à nous phagocyter, nous opposer les uns aux autres, nous semer, nous infiltrer, monter des coups foireux contre nous, nous piéger, nous mener en bateau, provoquer les caprices de l’opinion publique contre nous, nous ridiculiser devant l’opinion publique nationale comme internationale. Leur état d’esprit ne nous donnera aucune chance de survie si nous ne changeons pas nos méthodes homériques classiques. L’opposition combine ses méthodes plurielles d’attaques et de déstabilisation. Ils sont sur tous les espaces ouverts et souterrains de la bataille politique. Tels des désespérés, ils ont décidé de nous faire perdre le pouvoir quel qu’en soit le prix. C’est leur ultima ratio. Ils ont trouvé une nouvelle théorie des kamikazes et une doctrine d’un nouveau terrorisme politique !

Donc, nous pouvons et nous devons les combattre par des méthodes rationnelles et démocratiques, car nous ne devons jamais oublier que la désinformation est à l’intoxication ce que la stratégie est à la tactique. Ce sera donc notre intelligence activement organisée qui pourra triompher de l’opposition. Elle devra être stratégiquement et froidement pilotée. Elle devra être offensive et opérationnalisée dans des méthodes démocratiques d’action préventive. Rien ne nous empêche de toujours réévaluer nos forces, de les re-calibrer aux différentes réalités antagoniques qui se présentent sur l’échiquier politique national. Rien ne nous empêche d’arrêter de nous battre entre frères et sœurs de parti. Rien ne nous empêche de dormir sur nos lauriers ou de nous tresser des couronnes les uns aux autres et de commencer à étudier nos faiblesses et nos vulnérabilités afin d’en prévenir les failles, les risques endogènes ou exogènes possibles.

Il nous faut une stratégie politique intégrale qui ait assez d’audace et qui encourage l’initiative politique à travers une nouvelle philosophie de l’action, une analyse étiologique des prodromes de la scène politique sénégalaise, en décrypter les symptômes, scénariser les tendances probables et vraisemblables pour enfin proposer les solutions de paix possibles avant, pendant et après les élections présidentielles à venir. Ce sera le prix de la cohésion sociale et de la concorde nationale. Il nous faudra nous résoudre à l’idée que la paix perpétuelle n’existe que dans le Ciel. Dans l’arène politique terrestre, nous devons toujours et en permanence la réinventer par la prévention et la résolution des conflits, sinon par l’affrontement direct. Et puisque nous ne connaissons pas le dernier sens de l’histoire, sa direction certaine et sa signification ultime, alors nous nous sommes délibérément proposés d’inviter notre famille politique et ses partenaires stratégiques à moins de naïveté dans nos rapports de force avec une opposition aux abois, de plus en plus belliqueuse, pyromane et sans pitié. Il ne s’agit plus d’une simple légitime-défense. Il s’agira désormais, pour avoir la paix avec l’opposition, d’appliquer une vieille règle polémologique : la réponse du berger à la bergère. Nous sommes des pacifistes mais pas des « pacifistes bêlants » ni des défaitistes. Et qu’importe si les esprits bien-pensants nous diront que c’est très politiquement incorrect ? A eux de juger, Dieu reconnaîtra les siens ! Mais en attendant, nous devons prévenir leurs velléités guerrières, disperser leurs veillées d’armes, car nous ne pouvons laisser Damoclès lâcher son épée sur nos têtes, pendant que Sisyphe, de l’autre côté, reprend inlassablement son labeur. Il faut sauver et préserver à tout prix notre régime contre ces nouvelles formes de belligérance tous azimuts ! Parce que nous avons affaire à des hommes et des femmes de ressentiment. Et la nouveauté, c’est que la Société Civile (la pseudo société civile) sert maintenant d’asile politique à des encagoulés. Et ces gens-là n’auront pas pitié de nous s’ils prennent ou reprennent le pouvoir. Il faut désormais choisir : c’est eux ou nous ! Il n’y a pas de troisième voie qui vaille. Voilà le manichéisme auquel nous sommes réduits. Et si nous l’avons bien compris, alors, nous avons commencé à gagner les élections à venir.

C’est la raison pour laquelle je lance un appel à ma génération, à nos ainés, à tous nos frères et sœurs de parti, aux sympathisants et alliés du régime libéral et à tous ceux et celles qui aiment le Président Wade, en leur disant que les hommes et les femmes de notre régime doivent être des hommes et des femmes qui tiennent bien le gouvernail, contre vents et marées ; que nos adversaires ne peuvent pas saper notre moral ; que notre régime a le vent en poupe, contrairement à ce qu’en dit l’opposition et que bientôt nous verrons, à l’horizon, l’avenir qui fait cap sur la victoire finale aux prochaines élections présidentielles de 2012. Nous gagnerons les élections dans la transparence totale, parce que Benno, cette duperie organisée autour du mensonge consensuel, n’a pas de candidat, alors que nous, nous en avons déjà un, Me Abdoulaye WADE ; avec un directoire de campagne qui sera piloté par un tandem gagnant : Souleymane Ndéné Ndiaye et Karim Wade, deux hommes patriotiques et courageux qui nous donnent déjà l’espérance et l’agréable avant-goût d’une éclatante victoire sur les Benno Tassarô.

Alioune Badara SECK

Conseiller Technique du Président de la République.

(Plus d'informations demain sur leral .net)


1.Posté par facone le 04/11/2010 07:31 | Alerter
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Non mais c'est Badou sur cette photo!!! Non mais Wade déconne quoi: il s'entoure de vauriens et d'incompétents. Je ne suis pas jaloux mais désolé de voir des nullards être récompensés à la place de ceux qui le méritent vraiment...

2.Posté par baaket le 04/11/2010 07:33 | Alerter
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Salut,nos encouragements,mbokku Bargny.

3.Posté par aly le 04/11/2010 08:07 | Alerter
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Badou, Allez cherchez un candidat pendant qu'il est encore temps, vous savez très bien que Wade ne peut pas se présenter en 2012.

4.Posté par bira le 04/11/2010 08:44 | Alerter
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lapsus revelateur! pourquoi defendre wade sans complexes? c est parce que justement on aura rien dire sur les priorites du pays.
quelle est la priorite entre l embellie d une corniche et des hopitaux agonisants ou bien l erection d une statue devant des populations qui vivent dans des eaux depuis bientot 9 ans.voila il faut avoir du complexe en repondant a ces questions

5.Posté par Lynx le 04/11/2010 09:16 | Alerter
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ABS, le pédantisme peut conduire au non-sens.

6.Posté par Lynx le 04/11/2010 09:19 | Alerter
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ABS, le pédantisme peut conduire à un non-sens.

7.Posté par Almamy le 04/11/2010 10:24 | Alerter
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J'ai découvert ce type sur "Actu en 7" de Walf" et "Remue Ménage" de RFM. Monsieur "l'Expert en Intelligence économique" n'a pas un discours intelligent. Il masque ses carences par une arrogance qui frise l'insolence. Son activisme médiatique de ces jours me fait rigoler. Mais bon, Massaly, Yaya Sakho et Mohamed Samb ne sont pas plus méritants que lui.
Bonne chance. Wade aime ton genre.

8.Posté par nx le 04/11/2010 10:45 | Alerter
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PETIT homme que tu es!!!! Va...

9.Posté par cissé le 04/11/2010 10:52 | Alerter
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Ce pédantisme nauséabond nous renseigne surla nature et la qualité des hommes
qui polluent la scéne politique nationale.Pour la plupart ce sont des aventuriers politiques préoccupés uniquement par leur dépense quotidienne.Ce qui vrai s'énonce clairement et simplement..Nul besoin de masturbation intellectuellepour dire que le Peuple Sénégalais souffre pendant qu'on gaspille ses maigres ressources dans des projets insensés et des fetes qui ressemblent fort à des 'NDeupp 'collectifs.

10.Posté par Abdou le 04/11/2010 10:57 | Alerter
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T'as pas honte après avoir fait cet article? Voilà le genre d'opportunistes dont le sénégal n'a pas besoin vraiment. Des soi- disants intellectuels malhonnêtes qui veulent se positionner et prendre leur part du gateau. C'est honteux. Ce sont souvent des nulards comme vous qui se réfugient derrière Wade. C'est pourquoi on est tès mal barré.

11.Posté par DEUG le 04/11/2010 11:55 | Alerter
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Au sénégal, TOUT EST SENS DESSUS SENS DESSOUS. On usurpe des fonctions n'importe comment. Ce Alioune badara seck ne se connaît pas du tout. J'ai faili pleuré en l'écoutant à RFM sur l'émission "Remue ménage" face à face avec cette honorable professeur sociologue Fatou Sow sarr. Il se vantait d'être expert devant une telle sommité qui a beaucoup publié au senegal et dans le monde. Il fallait voir comment il est arrogant, hautain, maladroit dans sa communication. J'ai pas confiance en ce Gosse là. Il démesuré, suffisant et impatient d'être reconnu et célébre pour plaire Le CONSTANT WADE. Un conseil: un jeune tout militant qu'il puisse être pour un vieux finisant, doit s'interroger car demain qui sait?
Je ne t'aime pas, tu es un nul vantard. L'intelligence économique contrairemnt à ce tu crois n'est une toute nouvelle science. C'est le concept qui a changé.
Thanks

12.Posté par Free spirit le 04/11/2010 14:36 | Alerter
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On vit une crise politique au senegal. Apres 40 ans de regne sans partage ca laisse des traces.
Il faut comprendre le propos de Mr Seck . Il est entrain de faire part d'une analyse tres pointue qui comporte des aspects anthropologiques sociologiques, j'en oublie certains...
On est a la croisee des chemins ... Il veut un avenir radieux pour ce pays , il a le droit de penser que seul un regime liberal peut nous permettre d'y arriver. Pour cela il reitere sa confiance a Wade.
La seule erreur que je peux noter c'est que Mr seck parle a des personnes( grand public) qui n'ont pas toutes les codes pour dechiffrer le message. Qui est Point DE Retour en arriere sont
En plus ce type ressemble au president wade deh. Probablement il va devenir le prochain locataire du palais de l'avenue Roume, CQFD!,

13.Posté par FS le 04/11/2010 14:46 | Alerter
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Je pense que Mr Seck a tout compris et il resume cette ambition n pour le senegal par ce titre "Si vis pacem para bellum". On parle bien sur de guerre politique: 40 ans de reigne c'est assez on veut voir d;autres facons de faire.

14.Posté par ndiaye le 04/11/2010 15:21 | Alerter
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vraiment alioune badara seck tu ne merites meme ce poste de consiller tehnique de wade .la derniere fois je t'ai suivi sur walf tv avec un monsieur du forum civil j'ai trouvé bcp de lacunes en toi non seulement tu n'eatis pas pret pour ce genre de debat toi tu ne peux pas defendre wade mais juste une question quand on attaque wade pourquoi son fils ne le defend pas on entend jamais des membres de le famille wade monter au crenau toi tu defends l'indefendable mon cher calme tes ardeurs 2012 n'est pas loin le jour ou wade ne sera pls au pouvoir pourras tu regarder les senegalais droit dans les yeux. c wade et sa famille qui vous manipulent

15.Posté par ngaary le 04/11/2010 15:26 | Alerter
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Texte trop pédant!

16.Posté par véridique le 09/11/2010 12:25 | Alerter
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JUSTE POUR RIRE


Abdoulaye Wade, Karim Wade et le Ministre Farba Senghor survolent la région de Dakar à bord d'un Jet privé, lorsque Abdoulaye Wade se trouve vers Pikine, il dit en
faisant de l'esbroufe :
- Tu sais, je pourrais jeter un billet de 500 Euros par la fenêtre et rendre quelqu'un très heureux.
Karim Wade lui réplique :
- Eh bien je pourrais jeter 10 billets de 50 Euros par la fenêtre et rendre 10 personnes heureuses.
Pour ne pas être en reste Farba Senghor dit :
- Je pourrais jeter 100 billets de 5 Euros par la fenêtre et rendre 100 personnes heureuses.
Le pilote soupire et dit à son co-pilote :
- Non mais as tu entendu cette bande d'arrogants à l'arrière, ils ne se rendent pas compte que je pourrais les jeter tous les trois par la fenêtre et rendre 11 millions de Sénégalais heureux.


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