Le président américain y présenterait un choix à Laurent Gbagbo : « Soit de respecter les résultats de cette élection et de vous écarter, écrirait Barack Obama, soit de faire face à un isolement accru sur la scène internationale » et « subir les conséquences de vos actes injustifiés ».
Des conséquences qui prendraient la forme de sanctions ciblées, précise ce responsable de la Maison Blanche confirmant en cela les propos tenus dès jeudi dernier par des responsables du département d'Etat.
Barack Obama se dirait, par ailleurs, prêt -si Laurent Gbagbo s'inclinait- à l'inviter à Washington « pour discuter de la façon dont vous pouvez continuer à jouer un rôle en Afrique de l'Ouest à l'avenir », aurait écrit le président américain.
« Pour la Maison Blanche, Monsieur Ouattara est le vainqueur légitime de l'élection », rappelle le collaborateur de Barack Obama. « Laurent Gbagbo peut encore choisir de faire ce qui s'impose et respecter les résultats de cette élection, conclut-il avant d'ajouter que : les Etats-Unis s'opposeront certainement à Laurent Gbagbo s'il reste au pouvoir contre la volonté de son peuple ».
Rfi
Des conséquences qui prendraient la forme de sanctions ciblées, précise ce responsable de la Maison Blanche confirmant en cela les propos tenus dès jeudi dernier par des responsables du département d'Etat.
Barack Obama se dirait, par ailleurs, prêt -si Laurent Gbagbo s'inclinait- à l'inviter à Washington « pour discuter de la façon dont vous pouvez continuer à jouer un rôle en Afrique de l'Ouest à l'avenir », aurait écrit le président américain.
« Pour la Maison Blanche, Monsieur Ouattara est le vainqueur légitime de l'élection », rappelle le collaborateur de Barack Obama. « Laurent Gbagbo peut encore choisir de faire ce qui s'impose et respecter les résultats de cette élection, conclut-il avant d'ajouter que : les Etats-Unis s'opposeront certainement à Laurent Gbagbo s'il reste au pouvoir contre la volonté de son peuple ».
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