Pour camper les raisons de cette incongruité, il faudrait à priori se rappeler de cette amitié complice, qui lie Serigne Abdou Fatah Falilou de Serigne Bassirou Abdou Khadre. Tout le monde se souvient que c’est au cours d’une cérémonie officielle du magal Serigne Abdoul Khadre édition 2010, que Serigne Abdoul Fatah Falilou lança de manière impromptue, une adresse envers toute la famille de Serigne Touba, à prier pour la réélection de Abdoulaye Wade en 2012. Ce qui l’avait valu de cinglant volée de bois vert de la part de Moustapha Cissé Lo, alors fou du roi et factotum patenté de Macky Sall.
Maintenant le fou et le factotum : Moustapha lié l’ardeur essoufflée, pugnacité émoussée, sous les coups boutoirs d’humiliations et de camouflets politiques dictées par la realpolitik ; bis repetita Serigne Abdoul Fatah chahute la république pour la tenir en respect, en plein magal de Serigne Abdoul Khadre.
Même un intense lobbying religieux tend à reprendre forme à coup de machination, de manœuvre politique, de coup-fourré religieux, sur fond d’angélisme sans frais de la hiérarchie. C’est-à-dire laisser les subalternes faire de la menace, de monter les enchères, cependant en continuant elle-même d’afficher une neutralité.
En effet il convient de qualifie la démarche des non autorités politique de sans objet et de non-sens du fait qu’on saurait vouloir une chose et son contraire.
La position du marabout sénégalais est sans ambages : quiconque chercherait à toucher une dîme de ses redevances, un privilège de sa qualité de citoyen extra ordinaire ; le trouvera sur son chemin. Donc il ne pourrait pas y avoir de dichotomie et qu’on ne saurait agir pour restaurer l’autorité du droit et l’indépendance de la justice en continuant d’amadouer le quitus des marabouts.
Serigne Fallou Dieng, maitre soufi, pdt du cercle des soufis
Maintenant le fou et le factotum : Moustapha lié l’ardeur essoufflée, pugnacité émoussée, sous les coups boutoirs d’humiliations et de camouflets politiques dictées par la realpolitik ; bis repetita Serigne Abdoul Fatah chahute la république pour la tenir en respect, en plein magal de Serigne Abdoul Khadre.
Même un intense lobbying religieux tend à reprendre forme à coup de machination, de manœuvre politique, de coup-fourré religieux, sur fond d’angélisme sans frais de la hiérarchie. C’est-à-dire laisser les subalternes faire de la menace, de monter les enchères, cependant en continuant elle-même d’afficher une neutralité.
En effet il convient de qualifie la démarche des non autorités politique de sans objet et de non-sens du fait qu’on saurait vouloir une chose et son contraire.
La position du marabout sénégalais est sans ambages : quiconque chercherait à toucher une dîme de ses redevances, un privilège de sa qualité de citoyen extra ordinaire ; le trouvera sur son chemin. Donc il ne pourrait pas y avoir de dichotomie et qu’on ne saurait agir pour restaurer l’autorité du droit et l’indépendance de la justice en continuant d’amadouer le quitus des marabouts.
Serigne Fallou Dieng, maitre soufi, pdt du cercle des soufis