Où est passée la sœur cadette de Karim Wade ? Très marquée par l’organisation du Fesman 2010 et touchée par les critiques qui ont suivi sa gestion de cet événement, en compagnie d’Aziz Sow, délégué général, Sindjély a préféré prendre ses distances, selon une source.
La fille du couple Wade parcourt le monde, pour se changer les idées, selon toujours son entourage. Passionnée de sport automobile, Sindjély Wade s’apprêterait à s’élancer, comme d’habitude, sur le rallye Paris-Dakar en début janvier.
Contrairement à son frère Karim, la fille Wade goûte peu aux affaires sénégalo-sénégalaises. Sa participation à l’organisation du dernier Fesman lui aurait laissé un goût amer. Selon ses proches, elle n’aurait pas compris toutes ces critiques négatives alors qu’elle s’était investie corps et âme. Pour l’heure, les participants sénégalais lui réclament leurs frais et la soupçonne, en compagnie d’Aziz Sow, le délégué général du Fesman, d’avoir favorisé les invités étrangers. Cette polémique l’aurait particulièrement touché.
Aux dernières nouvelles, ses parents, le couple Wade, lui auraient conseillé de s’éloigner de tout ça. Mais, le mal n’est-il pas déjà fait ? Aperçue le mois dernier à Dakar, Sindjély se méfierait de plus en plus de l’environnement et vit mal le fait de se voir mêler à tant de controverses. Elle ne déprime pas mais elle culpabilise et aurait demandé des comptes à ses anciens associés à l’organisation du Fesman.
Connue pour sa simplicité et sa discrétion, la «rebelle» de la famille Wade aspirait sans doute à beaucoup plus d’indulgence pour sa première grande plongée dans le monde de l’organisation. Mais, c’était mal connaître le monde culturel sénégalais. Son étiquette de fille du président, parachutée pour le poste avec des moyens illimités n’avaient rien arrangé. A des amis, elle a confié avoir eu l’impression d’avoir été jugée uniquement pour ça. Fallait-il s’attendre à autre chose ?
Au début de l’année prochaine, en janvier 2012, Sindjély Wade prendra sans doute le soin de se changer les idées avec le rallye Paris-Dakar qui s’élance en Amérique du sud. Les Sénégalais ne comprendront pas, une fois de plus, que la fille du président Wade s’autorise tant de «légèreté», avec l’argent du contribuable, dans ce contexte économique morose. Que penser alors des acteurs culturels sénégalais, ayant participé au Fesman, qui attendent avec impatience que leur cas soit réglé?
Xamle
La fille du couple Wade parcourt le monde, pour se changer les idées, selon toujours son entourage. Passionnée de sport automobile, Sindjély Wade s’apprêterait à s’élancer, comme d’habitude, sur le rallye Paris-Dakar en début janvier.
Contrairement à son frère Karim, la fille Wade goûte peu aux affaires sénégalo-sénégalaises. Sa participation à l’organisation du dernier Fesman lui aurait laissé un goût amer. Selon ses proches, elle n’aurait pas compris toutes ces critiques négatives alors qu’elle s’était investie corps et âme. Pour l’heure, les participants sénégalais lui réclament leurs frais et la soupçonne, en compagnie d’Aziz Sow, le délégué général du Fesman, d’avoir favorisé les invités étrangers. Cette polémique l’aurait particulièrement touché.
Aux dernières nouvelles, ses parents, le couple Wade, lui auraient conseillé de s’éloigner de tout ça. Mais, le mal n’est-il pas déjà fait ? Aperçue le mois dernier à Dakar, Sindjély se méfierait de plus en plus de l’environnement et vit mal le fait de se voir mêler à tant de controverses. Elle ne déprime pas mais elle culpabilise et aurait demandé des comptes à ses anciens associés à l’organisation du Fesman.
Connue pour sa simplicité et sa discrétion, la «rebelle» de la famille Wade aspirait sans doute à beaucoup plus d’indulgence pour sa première grande plongée dans le monde de l’organisation. Mais, c’était mal connaître le monde culturel sénégalais. Son étiquette de fille du président, parachutée pour le poste avec des moyens illimités n’avaient rien arrangé. A des amis, elle a confié avoir eu l’impression d’avoir été jugée uniquement pour ça. Fallait-il s’attendre à autre chose ?
Au début de l’année prochaine, en janvier 2012, Sindjély Wade prendra sans doute le soin de se changer les idées avec le rallye Paris-Dakar qui s’élance en Amérique du sud. Les Sénégalais ne comprendront pas, une fois de plus, que la fille du président Wade s’autorise tant de «légèreté», avec l’argent du contribuable, dans ce contexte économique morose. Que penser alors des acteurs culturels sénégalais, ayant participé au Fesman, qui attendent avec impatience que leur cas soit réglé?
Xamle