Pour Omar Pène, le fait que le chef de l’Etat ait autorisé le ministre Youssou Ndour à faire ce concert, est la preuve d’un esprit d’ouverture.
« Youssou Ndour, c’est un chanteur connu dans le monde. Et le fait qu’il soit ministre n’enlève en rien dans le fait qu’il soit chanteur. C’est un ministre qui chante. On a vu des ministres jouer de la guitare ou du saxophone. Un chanteur est devenu Président à Haïti, aux Seychelles, le ministre de la Culture, c’est un artiste », tempère Omar Pène ceux qui estiment qu’il y a incompatibilité entre la fonction de ministre et le manteau de chanteur.
Et au plan artistique, le retour de Youssou Ndour sur scène, après 5 mois loin des micros, a montré un artiste étreint par une forte émotion. « J’ai senti beaucoup d’émotion. J’ai senti quelqu’un qui s’est libéré et quand j’ai voulu arrêté la soirée au dernier morceau de Thione Seck, il a voulu que l’on continue. Vraiment c’est quelqu’un qui avait envie de donner, qui avait soif de micro. Le micro lui manquait, je l’ai senti », témoigne le leader du « Super Diamono ».
A en croire Omar Pène, « si un ministre chirurgien se trouve devant un cas de force majeure, par exemple, et qu’il revêt une blouse pour opérer d’urgence, c’est une bonne chose ».
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« Youssou Ndour, c’est un chanteur connu dans le monde. Et le fait qu’il soit ministre n’enlève en rien dans le fait qu’il soit chanteur. C’est un ministre qui chante. On a vu des ministres jouer de la guitare ou du saxophone. Un chanteur est devenu Président à Haïti, aux Seychelles, le ministre de la Culture, c’est un artiste », tempère Omar Pène ceux qui estiment qu’il y a incompatibilité entre la fonction de ministre et le manteau de chanteur.
Et au plan artistique, le retour de Youssou Ndour sur scène, après 5 mois loin des micros, a montré un artiste étreint par une forte émotion. « J’ai senti beaucoup d’émotion. J’ai senti quelqu’un qui s’est libéré et quand j’ai voulu arrêté la soirée au dernier morceau de Thione Seck, il a voulu que l’on continue. Vraiment c’est quelqu’un qui avait envie de donner, qui avait soif de micro. Le micro lui manquait, je l’ai senti », témoigne le leader du « Super Diamono ».
A en croire Omar Pène, « si un ministre chirurgien se trouve devant un cas de force majeure, par exemple, et qu’il revêt une blouse pour opérer d’urgence, c’est une bonne chose ».
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