Ousmane Ngom, ancien ministre de l’Intérieur du régime de Me Wade et qui incarnait le visage de la répression est rattrapé par son passé. L’homme connu pour son excès de zèle, d’arrogance, est en train de prendre le même chemin que celui des opprimés du M23 derniers. Dans un passé récent l’homme n’a jamais cessé de chanter que « Force restera à la loi » devant n’importe quelles barbarie.
Parmi ses actes les plus célèbres, on peut citer la privation du droit à l’information après avoir accusé Sud Fm "coupable" d'avoir diffusé l’interview de Salif Sadio en 2006. La répression de la marche du Front Siggil Sénégaal en 2007, la mort de Mamadou Diop, l’autorisation de port d’arme accordée aux Thiantacounes, les répressions des manifestations du M23, etc.. Aujourd’hui, son passé sulfureux le rattrape après ses années de majesté au ministère de l’Intérieur. Le chef est devenu justiciable.
Parmi ses actes les plus célèbres, on peut citer la privation du droit à l’information après avoir accusé Sud Fm "coupable" d'avoir diffusé l’interview de Salif Sadio en 2006. La répression de la marche du Front Siggil Sénégaal en 2007, la mort de Mamadou Diop, l’autorisation de port d’arme accordée aux Thiantacounes, les répressions des manifestations du M23, etc.. Aujourd’hui, son passé sulfureux le rattrape après ses années de majesté au ministère de l’Intérieur. Le chef est devenu justiciable.