Ousmane Sonko, leader du parti Pastef, est au centre d'une polémique depuis sa condamnation à six mois avec sursis, dans son procès en appel contre Mame Mbaye Niang, ministre du Tourisme, pour les délits d’injure, de faux et usage de faux et de diffamation.
Certains de ses opposants politiques avaient souhaité sa mort politique ou son élimination de la liste des candidats à la présidentielle de 2024, mais il reste sur la liste des présidentiables. Ses avocats ont fait appel en cassation, presque au dernier moment, car avec le week-end qui approchait, il risquait d'être forclos. Ousmane Sonko, malgré son appel à la désobéissance civique contre ce qu'il appelle une justice injuste, a finalement décidé de faire appel en cassation afin de sauver ses chances d'être candidat à la présidentielle de 2024.
Cependant, le dossier ne sera pas enrôlé en mode fast-track par la Cour suprême, ce qui signifie que deux mois devront passer avant que le dossier ne soit programmé en audience. Malgré cette situation, Ousmane Sonko reste présidentiable et peut continuer son combat politique.
Ousmane Sonko est un homme politique sénégalais qui est actuellement dans une situation difficile. Il est le leader du parti Pastef et a récemment été condamné à six mois avec sursis, dans son procès en appel l'opposant à Mame Mbaye Niang, ministre du Tourisme, pour les délits d’injure, de faux et usage de faux et de diffamation. Cette condamnation le rend inéligible pour les élections présidentielles de 2024 selon les articles L29 et L30 du code électoral sénégalais.
Malgré cela, Ousmane Sonko reste présidentiable, car il a fait appel de la décision de la Cour d'appel auprès de la Cour suprême. Ses avocats ont déposé la déclaration de pourvoi, juste à temps avant la fin du délai de six jours pour le faire. Cela a rassuré ses partisans qui pensaient qu'il allait observer une désobéissance civique et ignorer de faire appel.
Cependant, même si le dossier avait été enrôlé en mode fast-track par le Parquet général au niveau de la Cour d'Appel, cela ne sera pas le cas devant la Cour suprême. La haute juridiction est tenue par des délais, entre le pourvoi, la signification du pourvoi aux parties, les moyens de défense et les répliques de chaque partie, le rapport et l’enrôlement. Ainsi, il faudra au moins deux mois avant que le dossier soit programmé en audience. Cela laisse peu de temps avant les élections présidentielles de 2024.
Ousmane Sonko se retrouve donc dans une situation difficile. D'un côté, il appelle à la désobéissance civique contre ce qu'il appelle une justice injuste, et de l'autre côté, il fait appel de sa condamnation pour rester sur la liste des présidentiables. Cette situation montre une incohérence et une irrationalité dans ses actions. De plus, ses déboires personnels mettent en danger la vie de jeunes enfants innocents.
En conclusion, la situation d'Ousmane Sonko est complexe et controversée. Il est actuellement présidentiable, mais la décision de la Cour suprême sur son appel, est encore attendue. Sa position sur la désobéissance civique et son appel à la justice, montrent une incohérence et une irrationalité. Enfin, ses déboires personnels mettent en danger la vie de jeunes enfants innocents.
Certains de ses opposants politiques avaient souhaité sa mort politique ou son élimination de la liste des candidats à la présidentielle de 2024, mais il reste sur la liste des présidentiables. Ses avocats ont fait appel en cassation, presque au dernier moment, car avec le week-end qui approchait, il risquait d'être forclos. Ousmane Sonko, malgré son appel à la désobéissance civique contre ce qu'il appelle une justice injuste, a finalement décidé de faire appel en cassation afin de sauver ses chances d'être candidat à la présidentielle de 2024.
Cependant, le dossier ne sera pas enrôlé en mode fast-track par la Cour suprême, ce qui signifie que deux mois devront passer avant que le dossier ne soit programmé en audience. Malgré cette situation, Ousmane Sonko reste présidentiable et peut continuer son combat politique.
Ousmane Sonko est un homme politique sénégalais qui est actuellement dans une situation difficile. Il est le leader du parti Pastef et a récemment été condamné à six mois avec sursis, dans son procès en appel l'opposant à Mame Mbaye Niang, ministre du Tourisme, pour les délits d’injure, de faux et usage de faux et de diffamation. Cette condamnation le rend inéligible pour les élections présidentielles de 2024 selon les articles L29 et L30 du code électoral sénégalais.
Malgré cela, Ousmane Sonko reste présidentiable, car il a fait appel de la décision de la Cour d'appel auprès de la Cour suprême. Ses avocats ont déposé la déclaration de pourvoi, juste à temps avant la fin du délai de six jours pour le faire. Cela a rassuré ses partisans qui pensaient qu'il allait observer une désobéissance civique et ignorer de faire appel.
Cependant, même si le dossier avait été enrôlé en mode fast-track par le Parquet général au niveau de la Cour d'Appel, cela ne sera pas le cas devant la Cour suprême. La haute juridiction est tenue par des délais, entre le pourvoi, la signification du pourvoi aux parties, les moyens de défense et les répliques de chaque partie, le rapport et l’enrôlement. Ainsi, il faudra au moins deux mois avant que le dossier soit programmé en audience. Cela laisse peu de temps avant les élections présidentielles de 2024.
Ousmane Sonko se retrouve donc dans une situation difficile. D'un côté, il appelle à la désobéissance civique contre ce qu'il appelle une justice injuste, et de l'autre côté, il fait appel de sa condamnation pour rester sur la liste des présidentiables. Cette situation montre une incohérence et une irrationalité dans ses actions. De plus, ses déboires personnels mettent en danger la vie de jeunes enfants innocents.
En conclusion, la situation d'Ousmane Sonko est complexe et controversée. Il est actuellement présidentiable, mais la décision de la Cour suprême sur son appel, est encore attendue. Sa position sur la désobéissance civique et son appel à la justice, montrent une incohérence et une irrationalité. Enfin, ses déboires personnels mettent en danger la vie de jeunes enfants innocents.