‘’Je m’engage à abroger la loi interdisant l’importation de voitures de plus de cinq ans au Sénégal si je gagne l’élection présidentielle du 26 février’’, a déclaré Ousmane Tanor Dieng en langue nationale Wolof, au cours d’un meeting tenu sur l’Avenue de la gare.
‘’Les camions et autres véhicules de plus de dix ans en provenance du Mali circulent au Sénégal. Je ne vois donc pas pourquoi on interdirait aux Sénégalais d’importer les mêmes véhicules’’, a-t-il fait valoir.
Le candidat de la coalition Bennoo ak Tanor visiblement gagné par la fatigue, a, d’une voix cassée, réaffirmé l’option de la sa coalition de s’appuyer sur les conclusions des Assises nationales pour ’’bâtir une République nouvelle’’.
‘’La République des valeurs que nous prônons, basée sur l’éthique et le culte du travail, préalables à tout développement, va trancher avec la perversion des valeurs incarnée par le président Wade et son régime’’, a-t-il indiqué.
Selon lui, ’’tous les problèmes du pays résultent de la crise des valeurs causée par le président de la Wade dont le règne est marqué par les revirements et les reniements’’.
Il a par ailleurs réaffirmé son engagement dans le combat du Mouvement des forces vives de la nation (M23) pour le retrait de la candidature du président Wade.
‘’Abdoulaye Wade a déjà fait deux mandats. La Constitution ne lui permet de briguer de nouveau un autre. Il ne doit pas diriger le pays 19 ans de suite’’, a-t-il dit sous les acclamations de ses partisans.
Une grande mobilisation a été enregistrée à l’occasion de la manifestation marquée par la présence du secrétaire général de l’Internationale socialiste, le Chilien Louis Ayala et des ténors socialistes de la région de Louga.
Vêtus de tee-shirts de couleur verte à l’effigie de leur candidat, tout en brandissant des pancartes, les militants, des jeunes en majorité, ont animé la manifestation en scandant des slogans du genre ‘’Un peuple, un but une foi : deux mandats ça suffit’’.
La ville de Louga d’où est originaire l’ancien président du Sénégal, Abdou Diouf, est considérée comme un bastion du Parti socialiste (PS). La municipalité est d’ailleurs dirigée depuis 2009 par Aminta Mbengue Ndiaye, responsable nationale des femmes du PS.
‘’Les camions et autres véhicules de plus de dix ans en provenance du Mali circulent au Sénégal. Je ne vois donc pas pourquoi on interdirait aux Sénégalais d’importer les mêmes véhicules’’, a-t-il fait valoir.
Le candidat de la coalition Bennoo ak Tanor visiblement gagné par la fatigue, a, d’une voix cassée, réaffirmé l’option de la sa coalition de s’appuyer sur les conclusions des Assises nationales pour ’’bâtir une République nouvelle’’.
‘’La République des valeurs que nous prônons, basée sur l’éthique et le culte du travail, préalables à tout développement, va trancher avec la perversion des valeurs incarnée par le président Wade et son régime’’, a-t-il indiqué.
Selon lui, ’’tous les problèmes du pays résultent de la crise des valeurs causée par le président de la Wade dont le règne est marqué par les revirements et les reniements’’.
Il a par ailleurs réaffirmé son engagement dans le combat du Mouvement des forces vives de la nation (M23) pour le retrait de la candidature du président Wade.
‘’Abdoulaye Wade a déjà fait deux mandats. La Constitution ne lui permet de briguer de nouveau un autre. Il ne doit pas diriger le pays 19 ans de suite’’, a-t-il dit sous les acclamations de ses partisans.
Une grande mobilisation a été enregistrée à l’occasion de la manifestation marquée par la présence du secrétaire général de l’Internationale socialiste, le Chilien Louis Ayala et des ténors socialistes de la région de Louga.
Vêtus de tee-shirts de couleur verte à l’effigie de leur candidat, tout en brandissant des pancartes, les militants, des jeunes en majorité, ont animé la manifestation en scandant des slogans du genre ‘’Un peuple, un but une foi : deux mandats ça suffit’’.
La ville de Louga d’où est originaire l’ancien président du Sénégal, Abdou Diouf, est considérée comme un bastion du Parti socialiste (PS). La municipalité est d’ailleurs dirigée depuis 2009 par Aminta Mbengue Ndiaye, responsable nationale des femmes du PS.
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