C’est dans un entretien accordé au quotidien dakarois l’Observateur survolé par Leral.net que le premier secrétaire du Parti socialiste dit ce qu’il pense des révélation de Robert Bourgi portant sur les milliards qu’auraient remis des chefs d’états africains à Jacques Chirac. Déjà, il faut savoir que le socialiste en chef semble discréditer les propos de Me Bourgi car pour Ousmane Tanor Dieng, ce dernier a dit qu’il ne détient pas les preuves de ce qu’il avance.
LERAL.NET - Les graves accusations de Robert Bourgi contre Dominique de Villepin et certains chefs d’Etats africains ne laissent personne indifférent. Ousmane Tanor Dieng, secrétaire du parti socialiste donne son opinion sur la question.Mais s’il avère que Bourgi à raison, Ousmane Tanor Dieng est catégorique : « c’est à déplorer ». À la question relative aux rapports qu’entretenait le régime socialiste avec les politiciens des pays occidentaux, OTD fait savoir qu’il n’a jamais été question pour eux de distribuer des liasses ces derniers. « Du temps du Parti socialiste, bien sûr que ces pratiques n’existaient pas, parce que nous n’avions pas d’argent à donner à des chefs d’Etat, surtout à des chefs d’Etats occidentaux. D’abord ils ne le demandaient pas, en tout cas, ils ne nous l’ont jamais demandé, et on ne l’a jamais fait. Au moins, je peux le prouver », affirme Ousmane Tanor Dieng qui est pour l’apaisement du climat politique. Et à l’en croire, les dernières sorties de Robert Bourgi ne sont pas pour rendre les choses fluides.
Dans un entretien avec Le Journal du Dimanche, le monsieur Afrique de l’Elysée, l’avocat franco-sénégalais Robert Bourgi a révélé que des chefs d’Etats africains dont Me Abdoulaye Wade ont financé en 2002 la campagne électorale de Jacques Chirac à hauteur de 20 millions d’Euros. Une partie de ces informations fournies par l’avocat ont été confirmé par le président de l’Assemblée nationale ivoirienne. Mamadou Coulibaly a laissé entendre que des transferts de fonds ont été organisés du temps du régime de Laurent Gbagbo d’Abidjan à Paris pour un montant de 3 millions d’euros. Le Sénégal a servi un démenti formel avant que le ministre d’Etat Karim Wade ne porte plainte pour dit-il, laver son honneur.
Abdou K. Cissé
LERAL.NET - Les graves accusations de Robert Bourgi contre Dominique de Villepin et certains chefs d’Etats africains ne laissent personne indifférent. Ousmane Tanor Dieng, secrétaire du parti socialiste donne son opinion sur la question.Mais s’il avère que Bourgi à raison, Ousmane Tanor Dieng est catégorique : « c’est à déplorer ». À la question relative aux rapports qu’entretenait le régime socialiste avec les politiciens des pays occidentaux, OTD fait savoir qu’il n’a jamais été question pour eux de distribuer des liasses ces derniers. « Du temps du Parti socialiste, bien sûr que ces pratiques n’existaient pas, parce que nous n’avions pas d’argent à donner à des chefs d’Etat, surtout à des chefs d’Etats occidentaux. D’abord ils ne le demandaient pas, en tout cas, ils ne nous l’ont jamais demandé, et on ne l’a jamais fait. Au moins, je peux le prouver », affirme Ousmane Tanor Dieng qui est pour l’apaisement du climat politique. Et à l’en croire, les dernières sorties de Robert Bourgi ne sont pas pour rendre les choses fluides.
Dans un entretien avec Le Journal du Dimanche, le monsieur Afrique de l’Elysée, l’avocat franco-sénégalais Robert Bourgi a révélé que des chefs d’Etats africains dont Me Abdoulaye Wade ont financé en 2002 la campagne électorale de Jacques Chirac à hauteur de 20 millions d’Euros. Une partie de ces informations fournies par l’avocat ont été confirmé par le président de l’Assemblée nationale ivoirienne. Mamadou Coulibaly a laissé entendre que des transferts de fonds ont été organisés du temps du régime de Laurent Gbagbo d’Abidjan à Paris pour un montant de 3 millions d’euros. Le Sénégal a servi un démenti formel avant que le ministre d’Etat Karim Wade ne porte plainte pour dit-il, laver son honneur.
Abdou K. Cissé