Ousmane Diallo alias Ouza Diallo est prêt à en découdre avec le pouvoir en place. Le chanteur qui a dégainé un single dans lequel il demande à Wade de partir est sur le point de pousser le bouchon un peu plus loin. Ce, si toutefois, son message n’est pas bien perçu par le président de la République. Dans un entretien avec le quotidien Enquete, Ouza dit que c’est « beau » de rappeler à Wade ses promesses à travers un single. « Je le sermonne », soutient-il non sans menacer de passer à la vitesse supérieure si toutefois son message n’est pas bien capté par qui de droit. « Et s’il ne m’écoute pas, je passerai à la vitesse supérieure », prévient-il.
En outre, Ouza n’a pas raté ses collègues Mbalaxmen qu’il trouve profanes aux questions relatives à la politique. Pour le père d’Adiouza, les rappeurs sont plus cultivés et maitrisent les termes inhérents à la gestion du pays. « Y’en a marre est composé d’intellectuels qui savent ce qui veut dire tripatouillage ou népotisme. Les mbalaxmen ne peuvent pas revendiquer quoi que ce soit sur le plan politique, car ils ne connaissent pas, pour la plupart ces concepts », raille-t-il ses pairs.
En outre, Ouza n’a pas raté ses collègues Mbalaxmen qu’il trouve profanes aux questions relatives à la politique. Pour le père d’Adiouza, les rappeurs sont plus cultivés et maitrisent les termes inhérents à la gestion du pays. « Y’en a marre est composé d’intellectuels qui savent ce qui veut dire tripatouillage ou népotisme. Les mbalaxmen ne peuvent pas revendiquer quoi que ce soit sur le plan politique, car ils ne connaissent pas, pour la plupart ces concepts », raille-t-il ses pairs.