Le Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels), particulièrement actif dans le cycle primaire de l’enseignement, est déterminé à porter jusqu’à bout sa dynamique de lutte revendicative afin d’améliorer le sort des instituteurs, volontaires et corps émergents, autant au plan salarial, statutaire, pédagogique et social. Pour y arriver, les compagnons de Souleymane Diallo, le secrétaire général de la structure syndicale, ont décidé de hausser le ton de leur combat en organisant une série de débrayages tout au long du mois de janvier.
Après avoir ainsi déclenché un premier mouvement de débrayage avant-hier, lundi 22 décembre, sur l’étendue du territoire national, les compagnons de Souleymane Diallo envisagent de paralyser les écoles de l’élémentaire par un plan d’action méthodique de perturbation des enseignements et des apprentissages dans les établissements scolaires. C’est ainsi que des débrayages seront organisés les 13 et 14 janvier prochains dans les écoles primaires, des actions qui seront suivies d’une grève totale les 27 et 28 du même mois.
Le déroulement de ce nouveau plan d’action vient sanctionner la volonté des membres du Sels de pousser le gouvernement à regagner la table des négociations et à entamer avec les corps émergents des concertations sérieuses autour des principales revendications arrêtées par la structure syndicale dirigée par Souleymane Diallo. Les enseignants affiliés au Sels exigent de l’Etat la satisfaction de diverses doléances dont le point focal semble être l’allocation d’une indemnité de recherche et de documentation à tous les enseignants de l’élémentaire et du préscolaire.
Dans la même dynamique, les membres du Sels sollicitent des autorités de tutelle « le paiement à temps des salaires, la validation des années de volontariat et de contractualisation pour les enseignants contractuels reclassés dans le corps des fonctionnaires » au même titre que « l’institution d’un guichet unique pour la sortie à temps des actes d’avancement, de reclassement, des contrats des maîtres contractuels et des arrêtés d’admission définitive au Cap et au Ceap ».
Toutes choses que la persistance des lenteurs administratives tend à reléguer encore aux calendes grecques, comme l’ont déploré les membres du Sels qui ont décidé d’aller en mouvement tout au long du mois de janvier en rapport avec leur plate-forme revendicative déposée depuis le 17 novembre dans le cadre d’un préavis de grève.
source sud quotidien
Après avoir ainsi déclenché un premier mouvement de débrayage avant-hier, lundi 22 décembre, sur l’étendue du territoire national, les compagnons de Souleymane Diallo envisagent de paralyser les écoles de l’élémentaire par un plan d’action méthodique de perturbation des enseignements et des apprentissages dans les établissements scolaires. C’est ainsi que des débrayages seront organisés les 13 et 14 janvier prochains dans les écoles primaires, des actions qui seront suivies d’une grève totale les 27 et 28 du même mois.
Le déroulement de ce nouveau plan d’action vient sanctionner la volonté des membres du Sels de pousser le gouvernement à regagner la table des négociations et à entamer avec les corps émergents des concertations sérieuses autour des principales revendications arrêtées par la structure syndicale dirigée par Souleymane Diallo. Les enseignants affiliés au Sels exigent de l’Etat la satisfaction de diverses doléances dont le point focal semble être l’allocation d’une indemnité de recherche et de documentation à tous les enseignants de l’élémentaire et du préscolaire.
Dans la même dynamique, les membres du Sels sollicitent des autorités de tutelle « le paiement à temps des salaires, la validation des années de volontariat et de contractualisation pour les enseignants contractuels reclassés dans le corps des fonctionnaires » au même titre que « l’institution d’un guichet unique pour la sortie à temps des actes d’avancement, de reclassement, des contrats des maîtres contractuels et des arrêtés d’admission définitive au Cap et au Ceap ».
Toutes choses que la persistance des lenteurs administratives tend à reléguer encore aux calendes grecques, comme l’ont déploré les membres du Sels qui ont décidé d’aller en mouvement tout au long du mois de janvier en rapport avec leur plate-forme revendicative déposée depuis le 17 novembre dans le cadre d’un préavis de grève.
source sud quotidien