Il s’agit par exemple de l’entretien de cette bâtisse imposante de six étages avec une vaste salle de spectacle de 1.800 places, ses 206 pièces, sa scène multifonctionnelle qui s’adapte à tous les spectacles. Mais aussi, à l’extérieur, le parking aménagé pour accueillir 238 véhicules ainsi que les espaces verts, qui nécessiteront un entretien permanent.
La fourniture en électricité dans un pays où le les délestages sont fréquents est un autre défi à relever.
"Le système d’éclairage et de climatisation du Grand Théâtre est permanent. Il nécessite alors une alimentation sous haute tension et en continue", confie un technicien.
Le solaire peut-il être une alternative ? "L’énergie solaire sera très coûteuse, seul l’éclairage public du Grand Théâtre peut se faire avec le solaire. Le reste nécessitera l’installation d’ une centrale solaire de grande capacité. Ce qui reviendra très cher", ajoute-t-il.
Les autorités sénégalaises semblent ne pas avoir perdu de vue cette question de la gestion du Grand Théâtre national.
Déjà, avant son inauguration, la question avait été évoquée par le président sénégalais Abdoulaye Wade, en conseil des ministres.
"Il m’apparaît en effet fondamental d’élever la gestion et la maintenance de cet établissement au rang de priorités. Et c’est à la pratique que l’on jugera directement des résultats" avait-il affirmé.
Le président sénégalais est allé beaucoup plus loin sur la question le jour de l’inauguration en proposant que la gestion du Grand Théâtre soit partagée entre l’Etat et le secteur privé.
"Une société de patrimoine de l’Etat sera mise en place et une société d’exploitation privée pour s’occuper de la gestion directe de l’établissement (Grand Théâtre) avec un cahier de charges précis et contraignant" a-t-il déclaré.
Ainsi la gestion reste un défi à relever après celui de la réalisation. Ce que les autorités semblent bien comprendre, en premier lieu, Abdoulaye Wade.
Selon lui, "s’il peut paraître fascinant, malgré toutes les complexités, de réaliser des ouvrages d’une telle majesté, dès lors qu’on en maîtrise les techniques, il demeure que la grande question, après la construction de l’édifice, reste celle de la gestion", avait-il souligné.
par L’Agence de Presse Xinhua
source Afriscoop.com
Le Grand théâtre national de Dakar , le 15 avril à Dakar, capitale du Sénégal (© Chine Nouvelle)
La fourniture en électricité dans un pays où le les délestages sont fréquents est un autre défi à relever.
"Le système d’éclairage et de climatisation du Grand Théâtre est permanent. Il nécessite alors une alimentation sous haute tension et en continue", confie un technicien.
Le solaire peut-il être une alternative ? "L’énergie solaire sera très coûteuse, seul l’éclairage public du Grand Théâtre peut se faire avec le solaire. Le reste nécessitera l’installation d’ une centrale solaire de grande capacité. Ce qui reviendra très cher", ajoute-t-il.
Les autorités sénégalaises semblent ne pas avoir perdu de vue cette question de la gestion du Grand Théâtre national.
Déjà, avant son inauguration, la question avait été évoquée par le président sénégalais Abdoulaye Wade, en conseil des ministres.
"Il m’apparaît en effet fondamental d’élever la gestion et la maintenance de cet établissement au rang de priorités. Et c’est à la pratique que l’on jugera directement des résultats" avait-il affirmé.
Le président sénégalais est allé beaucoup plus loin sur la question le jour de l’inauguration en proposant que la gestion du Grand Théâtre soit partagée entre l’Etat et le secteur privé.
"Une société de patrimoine de l’Etat sera mise en place et une société d’exploitation privée pour s’occuper de la gestion directe de l’établissement (Grand Théâtre) avec un cahier de charges précis et contraignant" a-t-il déclaré.
Ainsi la gestion reste un défi à relever après celui de la réalisation. Ce que les autorités semblent bien comprendre, en premier lieu, Abdoulaye Wade.
Selon lui, "s’il peut paraître fascinant, malgré toutes les complexités, de réaliser des ouvrages d’une telle majesté, dès lors qu’on en maîtrise les techniques, il demeure que la grande question, après la construction de l’édifice, reste celle de la gestion", avait-il souligné.
par L’Agence de Presse Xinhua
source Afriscoop.com
Le Grand théâtre national de Dakar , le 15 avril à Dakar, capitale du Sénégal (© Chine Nouvelle)