Pour le Parti de l’indépendance et du travail (Pit), le Président Wade « se révèle quotidiennement sous son vrai visage de souteneur de « fils héritiers » et de « militaires putschistes » partout en Afrique, qui n’hésitent pas à verser le sang de leur peuple pour confisquer le pouvoir d’Etat ». Partout, dit-il, « que ce soit au SENEGAL, au TOGO, au GABON, ou en GUINEE, s’illustrent sa conception anti républicaine et despotiques de l’Etat, et son attachement à la politique de bradage du patrimoine des peuples et de pillage de leurs ressources publiques », renseigne une déclaration en date du 29 septembre.
Par ailleurs, les camarades de Amath Dansokho soutiennent que « l’impunité dont jouissent, au SENEGAL, les auteurs « à col blanc » de crimes et de délits, les agresseurs et leurs commanditaires avec leurs milices, qui a permis la récente agression barbare contre le Groupe WALFADRJI, a son répondant, en Afrique, dans la protection que Wade veut garantir à ceux qui commettent des crimes contre leurs peuples pour accéder au pouvoir ou le conserver ».
C’est pourquoi, le Pit soutient que le départ immédiat du pouvoir de Me Wade, est « le seul moyen de mettre fin au calvaire que vit notre peuple, et le préserver d’une nouvelle humiliation le 12 Décembre 2009, avec l’inauguration du Monument de la honte élevé sur les Mamelles, qui ne sert que de justificatif pour l’utilisation des 10 milliards prévus dans le Budget 2009, destinés à l’organisation du FESMAN, finalement reporté en Décembre 2010 ».
Il faut donc, le plus tôt possible, arrêter, selon toujours la déclaration, cette « comédie présidentielle » qui continue d’humilier notre peuple en Afrique et dans le monde. Une « tâche historique qui incombe à tous ceux qui veulent mettre fin à cette culture de l’impunité qui risque de déstabiliser notre pays et la sous région,qui exigent un Plan d’Urgence Spécial de lutte contre les inondations par l’adoption d’une Loi de Finances Rectificative pour réallouer, en priorité à cet effet, ce qui reste encore du Budget de l’Etat, qui tiennent à la restitution de notre patrimoine bradé et de nos ressources financières pillées,qui veulent préserver nos agriculteurs d’une « nouvelle année blanche » à cause de l’absence d’une politique appropriée de financement et de collecte de toute la production arachidière, qui militent pour éviter à notre Ecole une nouvelle année de turbulences, en dépit des accords signés récemment qui risquent de connaître, encore une fois, le même sort que les années précédentes ».
La même exigence s’impose à ceux qui « cherchent à sortir les travailleurs salariés de leur calvaire, tragiquement illustré par la « grève de la faim » des travailleurs de AFRICAMER, abandonnés par des dirigeants syndicalistes, plus préoccupés par leurs rivalités pour accéder à des privilèges et à des postes de sinécure distribués par le pouvoir et dans le mouvement syndical international, que par une prise en charge effective et efficace de leurs revendications légitimes, qui rejettent le projet d’une nouvelle atteinte aux acquis démocratiques de notre peuple par l’intermédiaire de la suppression du « second tour à l’élection » du Président de la République ».
source sud quotidien
Par ailleurs, les camarades de Amath Dansokho soutiennent que « l’impunité dont jouissent, au SENEGAL, les auteurs « à col blanc » de crimes et de délits, les agresseurs et leurs commanditaires avec leurs milices, qui a permis la récente agression barbare contre le Groupe WALFADRJI, a son répondant, en Afrique, dans la protection que Wade veut garantir à ceux qui commettent des crimes contre leurs peuples pour accéder au pouvoir ou le conserver ».
C’est pourquoi, le Pit soutient que le départ immédiat du pouvoir de Me Wade, est « le seul moyen de mettre fin au calvaire que vit notre peuple, et le préserver d’une nouvelle humiliation le 12 Décembre 2009, avec l’inauguration du Monument de la honte élevé sur les Mamelles, qui ne sert que de justificatif pour l’utilisation des 10 milliards prévus dans le Budget 2009, destinés à l’organisation du FESMAN, finalement reporté en Décembre 2010 ».
Il faut donc, le plus tôt possible, arrêter, selon toujours la déclaration, cette « comédie présidentielle » qui continue d’humilier notre peuple en Afrique et dans le monde. Une « tâche historique qui incombe à tous ceux qui veulent mettre fin à cette culture de l’impunité qui risque de déstabiliser notre pays et la sous région,qui exigent un Plan d’Urgence Spécial de lutte contre les inondations par l’adoption d’une Loi de Finances Rectificative pour réallouer, en priorité à cet effet, ce qui reste encore du Budget de l’Etat, qui tiennent à la restitution de notre patrimoine bradé et de nos ressources financières pillées,qui veulent préserver nos agriculteurs d’une « nouvelle année blanche » à cause de l’absence d’une politique appropriée de financement et de collecte de toute la production arachidière, qui militent pour éviter à notre Ecole une nouvelle année de turbulences, en dépit des accords signés récemment qui risquent de connaître, encore une fois, le même sort que les années précédentes ».
La même exigence s’impose à ceux qui « cherchent à sortir les travailleurs salariés de leur calvaire, tragiquement illustré par la « grève de la faim » des travailleurs de AFRICAMER, abandonnés par des dirigeants syndicalistes, plus préoccupés par leurs rivalités pour accéder à des privilèges et à des postes de sinécure distribués par le pouvoir et dans le mouvement syndical international, que par une prise en charge effective et efficace de leurs revendications légitimes, qui rejettent le projet d’une nouvelle atteinte aux acquis démocratiques de notre peuple par l’intermédiaire de la suppression du « second tour à l’élection » du Président de la République ».
source sud quotidien