En effet, estime l’instance dirigeante du parti d’Ousmane Tanor Dieng, « les dépenses pour 2009, même arrêtées à la somme de 1880 milliards 830 millions de francs Cfa par le projet de loi de finances, n’incitent pas à l’optimisme ». Car, explique-t-on, malheureusement avec ce régime, l’augmentation des dépenses inscrites sur le budget n’est pas synonyme de la fin du calvaire pour les populations, surtout si on garde en mémoire les scandales non encore élucidés des chantiers de l’Anoci et des dépenses hors budget ».
En fait, soutiennent les socialistes, « l’analyse de la projection budgétaire pour 2009 laisse clairement apparaître que le gouvernement prépare une véritable pressurisation des populations avec des prévisions de recettes essentiellement assises sur une surfiscalisation des revenus ; c’est dire donc que le travail va être davantage taxé au lieu d’être mieux rémunéré dans un contexte d’érosion du pouvoir d’achat ».
Toutefois, ce qui semble le plus déranger les socialistes, c’est ce qu’ils appellent « la surtaxation des produits pétroliers et le rétablissement de la Tva sur les produits de consommation courante ». Et la déclaration d’ajouter alors : « En somme, le gouvernement annonce aux Sénégalais qui n’arrivent même plus à tirer le diable par la queue, faute d’apercevoir la queue du diable, qu’ils vont devoir payer plus d’impôts que les citoyens des autres pays de l’Uemoa, qu’ils vont grever davantage leur portefeuille pour subvenir à des besoins primaires et qu’ils vont continuer à payer le carburant plus cher qu’au Mali et qu’en Côte d’Ivoire ».
En fait, soutiennent les socialistes, « l’analyse de la projection budgétaire pour 2009 laisse clairement apparaître que le gouvernement prépare une véritable pressurisation des populations avec des prévisions de recettes essentiellement assises sur une surfiscalisation des revenus ; c’est dire donc que le travail va être davantage taxé au lieu d’être mieux rémunéré dans un contexte d’érosion du pouvoir d’achat ».
Toutefois, ce qui semble le plus déranger les socialistes, c’est ce qu’ils appellent « la surtaxation des produits pétroliers et le rétablissement de la Tva sur les produits de consommation courante ». Et la déclaration d’ajouter alors : « En somme, le gouvernement annonce aux Sénégalais qui n’arrivent même plus à tirer le diable par la queue, faute d’apercevoir la queue du diable, qu’ils vont devoir payer plus d’impôts que les citoyens des autres pays de l’Uemoa, qu’ils vont grever davantage leur portefeuille pour subvenir à des besoins primaires et qu’ils vont continuer à payer le carburant plus cher qu’au Mali et qu’en Côte d’Ivoire ».