Arrivé au Paris Saint-Germain il y a de cela maintenant trois saisons, Christophe Jallet a franchi les paliers petit à petit, pour devenir un élément incontournable. Titulaire, le latéral droit s’est même vu attribuer le brassard de capitaine par Carlo Ancelotti. Et pour couronner le tout, à 28 ans, le défenseur a découvert l’équipe de France, s’offrant même son premier but cette semaine devant la Biélorussie, sur un centre-tir plein de réussite. Qu’importe, tout roule donc pour l’ancien Lorientais, qui brille. Et pourtant, cela n’empêche pas les pensionnaires du Parc des Princes de lui mettre une certaine forme de pression, en doublant son poste avec l’arrivée d’un certain Gregory Van der Wiel, international néerlandais de son état. Au micro du Canal Football Club, Jallet évoque son conte de fées mais aussi cette concurrence frontale avec le joueur venu de l’Ajax Amsterdam :
« Pas mal de nouvelles choses se sont passées ces derniers temps, ce n’est pas facile à gérer mais il faut garder la tête froide car tout va vite dans le football. On ne sait pas de quoi demain sera fait, donc tranquille. J’essaye d’être le même avec les journalistes, mes amis, ma famille, j’essaye d’être le plus naturel possible car ça ne sert à rien de changer. On fait toujours attention aux concurrents, on regarde ce qui se fait de bien à notre poste. Antho (Anthony Réveilllère) aurait pu nous rejoindre, c’est dommage, parce que c’est quelqu’un de bien et on aurait été ravi de l’accueillir. Van der Wiel ? Il ne va pas arriver et dire qu’il est là pour ne pas jouer. Son discours est cohérent, il n’y a pas de guerre, on doit juste bien s’entraîner pour faire le plus de matches possibles. Mon brassard ne me protège pas, je ne le prends pas comme une sécurité ».
Refusant de se sentir comme un titulaire indiscutable, le joueur se montre en tout cas sous le charme de Carlo Ancelotti et Zlatan Ibrahimovic, qui peut selon lui tirer tout le groupe vers le haut : « Il fonctionne à l’humain, c’est important pour gérer un groupe. Il arrive à fédérer autour de ses idées, c’est le plus gros travail pour un coach au delà de l’aspect tactique. Il laisse toujours la porte ouverte, si des choses nous dérangent on peut lui en parler, même si c’est lui qui décide. Ibrahimovic se fond bien dans le groupe. Il a un caractère spécial, différent, mais c’est le sien. Le plus important, c’est qu’il nous guide vers les victoires. La pression monte pour la Ligue des Champions, c’était attendu par les supporters, par tout le club. On se doit de donner une bonne image, aller loin nous permettra de franchir un palier. On nous a dit qu’on avait une poule facile, mais il nous faut prendre les points ! Ce ne sera pas facile contre Kiev, j’espère qu’on débutera de la meilleure des manières ». Les supporters ne demandent pas mieux.
Khaled Karouri
« Pas mal de nouvelles choses se sont passées ces derniers temps, ce n’est pas facile à gérer mais il faut garder la tête froide car tout va vite dans le football. On ne sait pas de quoi demain sera fait, donc tranquille. J’essaye d’être le même avec les journalistes, mes amis, ma famille, j’essaye d’être le plus naturel possible car ça ne sert à rien de changer. On fait toujours attention aux concurrents, on regarde ce qui se fait de bien à notre poste. Antho (Anthony Réveilllère) aurait pu nous rejoindre, c’est dommage, parce que c’est quelqu’un de bien et on aurait été ravi de l’accueillir. Van der Wiel ? Il ne va pas arriver et dire qu’il est là pour ne pas jouer. Son discours est cohérent, il n’y a pas de guerre, on doit juste bien s’entraîner pour faire le plus de matches possibles. Mon brassard ne me protège pas, je ne le prends pas comme une sécurité ».
Refusant de se sentir comme un titulaire indiscutable, le joueur se montre en tout cas sous le charme de Carlo Ancelotti et Zlatan Ibrahimovic, qui peut selon lui tirer tout le groupe vers le haut : « Il fonctionne à l’humain, c’est important pour gérer un groupe. Il arrive à fédérer autour de ses idées, c’est le plus gros travail pour un coach au delà de l’aspect tactique. Il laisse toujours la porte ouverte, si des choses nous dérangent on peut lui en parler, même si c’est lui qui décide. Ibrahimovic se fond bien dans le groupe. Il a un caractère spécial, différent, mais c’est le sien. Le plus important, c’est qu’il nous guide vers les victoires. La pression monte pour la Ligue des Champions, c’était attendu par les supporters, par tout le club. On se doit de donner une bonne image, aller loin nous permettra de franchir un palier. On nous a dit qu’on avait une poule facile, mais il nous faut prendre les points ! Ce ne sera pas facile contre Kiev, j’espère qu’on débutera de la meilleure des manières ». Les supporters ne demandent pas mieux.
Khaled Karouri