Hier, le gouvernement gambien, à travers un communiqué, a mis fin au suspense en annonçant sa position dans le débat. Sa réaction est on ne peut plus claire : « La dépénalisation de l’homosexualité n’est pas à l’ordre du jour en Gambie ».
Le gouvernement gambien par la voix de son porte-parole, a exprimé sa position sur la controverse autour du premier rapport de la Commission nationale des droits de l’homme. Dans ledit communiqué, il est explicitement écrit que « le gouvernement gambien continue d’être guidé par les valeurs et principes du pays et n’a pas l’intention de dépénaliser l’homosexualité ».
Une réaction qui intervient trois semaines après la publication du premier rapport de la Human rights commission dans lequel, elle recommande entre autres : « le respect et la protection de la communauté LGbt du pays, conformément aux engagements internationaux signés par la Gambie ». un passage qui a suscité un tollé dans le pays.
Des excuses jugées insuffisantes
L’une des cibles de cette controverse est imam baba Leigh, membre de ladite commission. imam très influent du pays, membre également de la Délégation générale au pèlerinage. Sollicité de toutes parts, au lendemain de la publication du rapport, il n’a cessé de jouer au clair-obscur avant de se rétracter et présenter ses excuses.
Un collectif réclame aujourd’hui sa démission de cette Commission et sa mise à l’écart dans la mosquée où il officie.
Auprès de ses pairs, même son de cloche. ils se sont désolidarisés de lui, revenant en long et en large dans leurs sermons, sur la position de l’islam qui condamne sévèrement l’homosexualité.
Cette réaction du gouvernement va-t-elle clore le débat sur cette polémique ? Probable.
Dans l’immédiat, les associations religieuses du pays ont exprimé leur satisfaction qualifiant la position du gouvernement de « sage et responsable ».
Le Temoin
Le gouvernement gambien par la voix de son porte-parole, a exprimé sa position sur la controverse autour du premier rapport de la Commission nationale des droits de l’homme. Dans ledit communiqué, il est explicitement écrit que « le gouvernement gambien continue d’être guidé par les valeurs et principes du pays et n’a pas l’intention de dépénaliser l’homosexualité ».
Une réaction qui intervient trois semaines après la publication du premier rapport de la Human rights commission dans lequel, elle recommande entre autres : « le respect et la protection de la communauté LGbt du pays, conformément aux engagements internationaux signés par la Gambie ». un passage qui a suscité un tollé dans le pays.
Des excuses jugées insuffisantes
L’une des cibles de cette controverse est imam baba Leigh, membre de ladite commission. imam très influent du pays, membre également de la Délégation générale au pèlerinage. Sollicité de toutes parts, au lendemain de la publication du rapport, il n’a cessé de jouer au clair-obscur avant de se rétracter et présenter ses excuses.
Un collectif réclame aujourd’hui sa démission de cette Commission et sa mise à l’écart dans la mosquée où il officie.
Auprès de ses pairs, même son de cloche. ils se sont désolidarisés de lui, revenant en long et en large dans leurs sermons, sur la position de l’islam qui condamne sévèrement l’homosexualité.
Cette réaction du gouvernement va-t-elle clore le débat sur cette polémique ? Probable.
Dans l’immédiat, les associations religieuses du pays ont exprimé leur satisfaction qualifiant la position du gouvernement de « sage et responsable ».
Le Temoin