Présentant son programme de campagne des élections législatives, le coordonnateur de l’alliance « Bokk Guiss Guiss » a eu droit à une forte mobilisation. Un monde que la salle de conférence du centre Daniel Bottier a eu du mal à contenir. Emu par la foule, Pape Diop parle déjà d’un signe de victoire de la liste qu’il dirige. Et pour railler Oumar Sarr, coordonnateur du PDS le président du Sénat laisse entendre : « Notre coalition ne connaît pas de trouble comme ailleurs. Pour les investitures à Dakar, nous ne sommes pas secoués par des désaccords. Je salue le fait que personne ne soit monté au créneau pour dénoncer les investitures ».
Sous les applaudissements de ses militantes et le bruit assourdissant des tam-tams, Pape Diop annonce une démarche de rupture. « Notre stratégie sera celle de la rupture. Cela nous permettra de collaborer parfaitement et seuls ceux qui peuvent parler au nom de la coalition doivent s’adresser p la presse. Cheminant ainsi, nous donnerons raison aux échos qui font état que nous serons la première ou la deuxième force politique du Sénégal », explique l’ancien maire de Dakar en présence de plusieurs responsable de Bokk Guiss Guiss, notamment Moussa St, Marie pierre Sarr, Fadel Guèye, etc.
Sous les applaudissements de ses militantes et le bruit assourdissant des tam-tams, Pape Diop annonce une démarche de rupture. « Notre stratégie sera celle de la rupture. Cela nous permettra de collaborer parfaitement et seuls ceux qui peuvent parler au nom de la coalition doivent s’adresser p la presse. Cheminant ainsi, nous donnerons raison aux échos qui font état que nous serons la première ou la deuxième force politique du Sénégal », explique l’ancien maire de Dakar en présence de plusieurs responsable de Bokk Guiss Guiss, notamment Moussa St, Marie pierre Sarr, Fadel Guèye, etc.