I. Primauté de la Patrie sur le Parti : Essence de la République ?
La configuration actuelle du Gouvernement et de l’Exécutif en général indique une coalition de l’ensemble des entités incarnant le leadership d’opinions au Sénégal : partis politiques (APR, AFP, PS, REWMI…), mouvements citoyens, acteurs de la société civile, du monde de la culture, du patronat, des hommes d’affaires et des ressources humaines au background assez étoffé. Seul le défunt régime libéral est absent ainsi que ses ailes dissidentes ou alliés désolidarisés après la débâcle. Ces derniers portent en eux des stigmates frisant la peste à tel enseigne que leur fréquentation serait politiquement incorrecte. Par conséquent le Sénégal – comme le soutiennent certains d’ailleurs- est gouverné, selon l’idéologie du parti, par tous.
Au demeurant les Hommes sur lesquels le Président et son staff (qu’il faut interpeller après l’avoir identifié pour mieux situer les responsabilités en interne) ont porté leurs choix au sein de l’APR , ont en commun : leaders de structures, Camarades dévoués, loyaux et reconnus nommément par identification pédagogique.
Dans le cas particulier de la CCR : en politique, c’est la loi des grands nombres mais c’est irrémédiablement aussi et surtout les contributions financières. Que pèse la CCR dans cette optique ? Le trésorier pourrait éclairer nos lanternes. La volonté n’a certes pas manqué mais elle était, à dire vrai, constituée de moins lotis en cash et de chômeurs ou de cadres en situation de précarité donc aux lendemains incertains. Par conséquent, il y a eu de bonnes volontés, restées dans l’ombre, qui ont généreusement grevé leur budget : élan républicain et patriote. Nous l’avons vu lors des élections présidentielles et de la fameuse AG d’après conquête heureuse du pouvoir.
Le Président de la République ayant instruit une restauration des valeurs, conçoit nécessairement et même de manière intelligible un système sain qui au finish aboutirait indubitablement à la promotion des ressources de qualité. Un état des lieux ne donne pas à priori une grande marge de manœuvre en termes de recrutement : diagnostic et analyses puis recommandations applicables. L’épuration du personnel parasite ne peut se faire qu’après une étude des aptitudes des collaborateurs en toute objectivité : Primauté de la Patrie sur le Parti.
La seule ressource du Sénégal : L’Homme. L’Equipe nationale réalise des performances car il y a des indicateurs mesurables établis en sélection basés sur la compétitivité. Au demeurant les mentalités font un système, lequel système devra être modélisé progressivement : les prisonniers de la Caverne du père de la république(Platon) aurait souffert d’une lumière soudaine. Ces mêmes mentalités font que nous demandons tous d’être promus et responsabilisés : c’est légitime ?
II. Intelligence Economique : Public-Privé-Coopération internationale
L’administration est conviée ou sommée de revenir à l’orthodoxie et au sacerdoce. Le laxisme qui mettait le fonctionnaire dans une posture ridicule est appelé à disparaître. En cela nous appelons l’ensemble des Cadres de la CCR à partager des études faisant cas de leur institution publique ou privée : Direction générale des impôts et des domaines, Douanes, Trésor, Industries chimiques du Sénégal, par exemple ; ou encore ASECNA, ICS, CCBM… A la lumière de ces informations, une base de données d’orientations stratégiques serait mise en place pour mieux comprendre l’intérêt que suscite ces personnes morales pour l’Etat et l’Economie nationale en général.
En effet les entreprises ont envoyé des éclaireurs pour bénéficier d'un statut favorable de relations publiques. les activités économiques sont ralenties, l'Etat fouille, le Consommateur n'a plus de revenu, l'Entreprise serre la ceinture et le Keynésianisme faiblit pour que la monnaie se raréfie. Mais la confiance reprendra quand ?
La position stratégique manifeste du Sénégal requiert, à notre profit, une paix durable. Le risque politique contenu, l’environnement économique assaini notamment les procédures judiciaires ; les investisseurs en quête de marchés intégrés porteurs, s’implanteront au Sénégal pour cibler la Région Afrique de l’ouest. C’est ainsi que les TIC prendront l’opportunité d’ébaucher une base de données d’intelligence économique de la CCR mais aussi de l’APR. Demain ce ne seront pas des Conseillers tapis à la Présidence qui pourront nous présenter des programmes.
Cerveau de l’APR : CCR. On ne réclame pas une position, on le prouve : par prudence républicaine.
III. Cancer social ?
Les charlatans ont astreint la société dans une spirale de terreurs. Ils dictent souvent aux responsables leurs stratégies de sorte qu’ils n’ont pas le temps de réfléchir. S’il s’avère vrai, dans leurs capacités de manipulations mystiques : il sied de poser ce débat qui nous prend énormément d’énergie et nous tourmente sans commune mesure. La manipulation a atteint un niveau inacceptable. Aidons nos concitoyens à trouver la vérité, à supprimer ces forces improductives qui détruisent les familles et polluent l’environnement professionnel.
La presse n’a pas tout dit au sujet de la cité hantée de Medinatoul Salam des Thiantacounes où la curiosité nous a conduits le jour même de la reconstruction des faits. C’est d’abord un scandale foncier sur un domaine national extrêmement fertile, acquis dans des conditions contraires au code domanial en vigueur. C’est ensuite la dégradation humaine par la déroute doctrinale et sectaire : jeunes appâtés et pris en otage en contrepartie d’un mariage et d’un terrain. C’est l’absence manifeste de l’Etat auprès de la jeunesse qui est la conséquence de cet état de faits dont la finalité est si regrettable.
Il s’agit là d’une problématique à affronter car aucun progrès n’est possible avec la promotion des forces improductives. Au demeurant des forces vives existent dans des milieux connexes et il urge de trouver les voies et moyens de canaliser ces facteurs de production pour leur insertion socio-professionnelle dans une politique sectorielle cohérente.
La mendicité des jeunes, la prostitution galopante, les problèmes récurrents de mœurs constituent également des facteurs de blocage que l’Etat a toujours évité. En effet, peut-on comprendre qu’il existe des services de mœurs dans les administrations de sécurité publique, nonobstant l’exposition drastique de ces phénomènes ? il est arrivé que les télés fassent des reportages pour montrer les chantages auxquels les femmes de joie étaient confrontés, pour contrecarrer la loi contre le racolage.
La sécurité est une anticipation permanente, les jeunes mendiants seront des adolescents bientôt : mais quelle issue ? Voilà autant de pistes sur lesquelles le parlement devrait axer ses priorités législatives. La loi est un système de régulation sociale.
IV. Horizon 2014 ?
C’est le premier rendez-vous : légitimation du choix républicain « mackyste ». Nous espérons que d’ici là, l’APR trouvera son Identité et sa structuration effective. Si BBB survit aux prochaines tempêtes, le compagnonnage devrait se poursuivre.
Messieurs les Camarades Cadres républicains, nous avons donné des avis mitigés sur ces questions et comptons sur votre générosité pour mieux éclairer notre chaumière.
NDIAYE Mamadou
La configuration actuelle du Gouvernement et de l’Exécutif en général indique une coalition de l’ensemble des entités incarnant le leadership d’opinions au Sénégal : partis politiques (APR, AFP, PS, REWMI…), mouvements citoyens, acteurs de la société civile, du monde de la culture, du patronat, des hommes d’affaires et des ressources humaines au background assez étoffé. Seul le défunt régime libéral est absent ainsi que ses ailes dissidentes ou alliés désolidarisés après la débâcle. Ces derniers portent en eux des stigmates frisant la peste à tel enseigne que leur fréquentation serait politiquement incorrecte. Par conséquent le Sénégal – comme le soutiennent certains d’ailleurs- est gouverné, selon l’idéologie du parti, par tous.
Au demeurant les Hommes sur lesquels le Président et son staff (qu’il faut interpeller après l’avoir identifié pour mieux situer les responsabilités en interne) ont porté leurs choix au sein de l’APR , ont en commun : leaders de structures, Camarades dévoués, loyaux et reconnus nommément par identification pédagogique.
Dans le cas particulier de la CCR : en politique, c’est la loi des grands nombres mais c’est irrémédiablement aussi et surtout les contributions financières. Que pèse la CCR dans cette optique ? Le trésorier pourrait éclairer nos lanternes. La volonté n’a certes pas manqué mais elle était, à dire vrai, constituée de moins lotis en cash et de chômeurs ou de cadres en situation de précarité donc aux lendemains incertains. Par conséquent, il y a eu de bonnes volontés, restées dans l’ombre, qui ont généreusement grevé leur budget : élan républicain et patriote. Nous l’avons vu lors des élections présidentielles et de la fameuse AG d’après conquête heureuse du pouvoir.
Le Président de la République ayant instruit une restauration des valeurs, conçoit nécessairement et même de manière intelligible un système sain qui au finish aboutirait indubitablement à la promotion des ressources de qualité. Un état des lieux ne donne pas à priori une grande marge de manœuvre en termes de recrutement : diagnostic et analyses puis recommandations applicables. L’épuration du personnel parasite ne peut se faire qu’après une étude des aptitudes des collaborateurs en toute objectivité : Primauté de la Patrie sur le Parti.
La seule ressource du Sénégal : L’Homme. L’Equipe nationale réalise des performances car il y a des indicateurs mesurables établis en sélection basés sur la compétitivité. Au demeurant les mentalités font un système, lequel système devra être modélisé progressivement : les prisonniers de la Caverne du père de la république(Platon) aurait souffert d’une lumière soudaine. Ces mêmes mentalités font que nous demandons tous d’être promus et responsabilisés : c’est légitime ?
II. Intelligence Economique : Public-Privé-Coopération internationale
L’administration est conviée ou sommée de revenir à l’orthodoxie et au sacerdoce. Le laxisme qui mettait le fonctionnaire dans une posture ridicule est appelé à disparaître. En cela nous appelons l’ensemble des Cadres de la CCR à partager des études faisant cas de leur institution publique ou privée : Direction générale des impôts et des domaines, Douanes, Trésor, Industries chimiques du Sénégal, par exemple ; ou encore ASECNA, ICS, CCBM… A la lumière de ces informations, une base de données d’orientations stratégiques serait mise en place pour mieux comprendre l’intérêt que suscite ces personnes morales pour l’Etat et l’Economie nationale en général.
En effet les entreprises ont envoyé des éclaireurs pour bénéficier d'un statut favorable de relations publiques. les activités économiques sont ralenties, l'Etat fouille, le Consommateur n'a plus de revenu, l'Entreprise serre la ceinture et le Keynésianisme faiblit pour que la monnaie se raréfie. Mais la confiance reprendra quand ?
La position stratégique manifeste du Sénégal requiert, à notre profit, une paix durable. Le risque politique contenu, l’environnement économique assaini notamment les procédures judiciaires ; les investisseurs en quête de marchés intégrés porteurs, s’implanteront au Sénégal pour cibler la Région Afrique de l’ouest. C’est ainsi que les TIC prendront l’opportunité d’ébaucher une base de données d’intelligence économique de la CCR mais aussi de l’APR. Demain ce ne seront pas des Conseillers tapis à la Présidence qui pourront nous présenter des programmes.
Cerveau de l’APR : CCR. On ne réclame pas une position, on le prouve : par prudence républicaine.
III. Cancer social ?
Les charlatans ont astreint la société dans une spirale de terreurs. Ils dictent souvent aux responsables leurs stratégies de sorte qu’ils n’ont pas le temps de réfléchir. S’il s’avère vrai, dans leurs capacités de manipulations mystiques : il sied de poser ce débat qui nous prend énormément d’énergie et nous tourmente sans commune mesure. La manipulation a atteint un niveau inacceptable. Aidons nos concitoyens à trouver la vérité, à supprimer ces forces improductives qui détruisent les familles et polluent l’environnement professionnel.
La presse n’a pas tout dit au sujet de la cité hantée de Medinatoul Salam des Thiantacounes où la curiosité nous a conduits le jour même de la reconstruction des faits. C’est d’abord un scandale foncier sur un domaine national extrêmement fertile, acquis dans des conditions contraires au code domanial en vigueur. C’est ensuite la dégradation humaine par la déroute doctrinale et sectaire : jeunes appâtés et pris en otage en contrepartie d’un mariage et d’un terrain. C’est l’absence manifeste de l’Etat auprès de la jeunesse qui est la conséquence de cet état de faits dont la finalité est si regrettable.
Il s’agit là d’une problématique à affronter car aucun progrès n’est possible avec la promotion des forces improductives. Au demeurant des forces vives existent dans des milieux connexes et il urge de trouver les voies et moyens de canaliser ces facteurs de production pour leur insertion socio-professionnelle dans une politique sectorielle cohérente.
La mendicité des jeunes, la prostitution galopante, les problèmes récurrents de mœurs constituent également des facteurs de blocage que l’Etat a toujours évité. En effet, peut-on comprendre qu’il existe des services de mœurs dans les administrations de sécurité publique, nonobstant l’exposition drastique de ces phénomènes ? il est arrivé que les télés fassent des reportages pour montrer les chantages auxquels les femmes de joie étaient confrontés, pour contrecarrer la loi contre le racolage.
La sécurité est une anticipation permanente, les jeunes mendiants seront des adolescents bientôt : mais quelle issue ? Voilà autant de pistes sur lesquelles le parlement devrait axer ses priorités législatives. La loi est un système de régulation sociale.
IV. Horizon 2014 ?
C’est le premier rendez-vous : légitimation du choix républicain « mackyste ». Nous espérons que d’ici là, l’APR trouvera son Identité et sa structuration effective. Si BBB survit aux prochaines tempêtes, le compagnonnage devrait se poursuivre.
Messieurs les Camarades Cadres républicains, nous avons donné des avis mitigés sur ces questions et comptons sur votre générosité pour mieux éclairer notre chaumière.
NDIAYE Mamadou