Les Grands hommes ne meurent pas, car leurs bonnes œuvres et actions restent gravées à jamais dans la mémoire collective. Les témoignages qui ont suivi l’annonce du décès de Cherif dans les radios nous confortent dans ce nous savions déjà que Cherif était un grand Monsieur dont le nom marquera pour toujours le Journalisme en Afrique. Il était un être exceptionnel à tout point de vue. Professionnel jusqu’aux bouts des ongles, rigoureux dans le travail, généreux dans l’effort, toujours prêt à aider et à prodiguer des conseils aux jeunes confrères. Il avait de grandes ambitions pour l’Afrique et tout au long de sa courte vie, il a consacré son temps, son énergie, ses moyens à apporter sa contribution à l’édification d’une Afrique de paix, débarrassée du sous développement et de la pauvreté.
Au plan humain, pour faire court disons que Cherif était un homme de cœur.
Quand un être de cette dimension nous quitte, au delà de la peine, de l’amertume et du chagrin que nous ressentons, nous avons l’obligation de perpétuer sa mémoire. Nous pouvons le faire sous plusieurs formes. Je salue d’ailleurs l’engagement pris par son ami Mactar Sylla, brillant journaliste, mon ancien professeur au département d’anglais, dans un témoignage poignant paru dans le Soleil du 19 juin 2012 de tout faire pour que ce journal crée par Cherif « le Quorum »puisse continuer d’exister dans l’espace médiatique. Nous osons espérer que d’autres types d’engagements de ce genre seront pris par les nombreux amis de Cherif qu’ils soient du Monde des media, de la politique, de la société civile pour Que Cherif puisse continuer de vivre parmi nous autrement. Repose en paix cher maitre et Grand frère.
Birima FALL, Journaliste
bfall2010@gmail.com
Au plan humain, pour faire court disons que Cherif était un homme de cœur.
Quand un être de cette dimension nous quitte, au delà de la peine, de l’amertume et du chagrin que nous ressentons, nous avons l’obligation de perpétuer sa mémoire. Nous pouvons le faire sous plusieurs formes. Je salue d’ailleurs l’engagement pris par son ami Mactar Sylla, brillant journaliste, mon ancien professeur au département d’anglais, dans un témoignage poignant paru dans le Soleil du 19 juin 2012 de tout faire pour que ce journal crée par Cherif « le Quorum »puisse continuer d’exister dans l’espace médiatique. Nous osons espérer que d’autres types d’engagements de ce genre seront pris par les nombreux amis de Cherif qu’ils soient du Monde des media, de la politique, de la société civile pour Que Cherif puisse continuer de vivre parmi nous autrement. Repose en paix cher maitre et Grand frère.
Birima FALL, Journaliste
bfall2010@gmail.com
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