« On ne veut pas parler de sujet qui fâche », a d’emblée soutenu le guide religieux qui estime que le débat sur le monument de la Renaissance ne doit pas faire oublier le sort des Sénégalais confrontés à des problèmes de survie.
« Il y a des problèmes beaucoup plus graves que cette statue » » martèle le président du Conseil supérieur de la Khadrya qui au passage souligne qu’on pouvait se passer de la crise entre l’église et le président de la République, Me Wade. Ce, d’autant plus que le dialogue islamo-chrétien a longtemps existé. Heureusement, se réjouit El Hadj Cheikh Ousmane Diagne, "il ne peut pas y avoir de problème, car il y a des bras armées pour tendre la main aux Chrétiens avec qui nous partageons beaucoup de valeurs ».
Revenant sur le monument qui divise les imams, le président du Conseil supérieur de la khadrya dira : « c’est connu, l’Islam interdit les monuments ». ’Quand on est musulman, on accepte de se conformer aux enseignements ou on n’accepte pas. L’islam, ce n’est pas la démocratie mais le dogmatisme« . Avant d’ajouter : »si on refuse une partie, on n’est pas dans l’Islam« . »Personne ne peut dire le contraire, l’Islam ne reconnaît pas les statues", martèle-t-il en guise de conclusion.
NETTALI.NET-
« Il y a des problèmes beaucoup plus graves que cette statue » » martèle le président du Conseil supérieur de la Khadrya qui au passage souligne qu’on pouvait se passer de la crise entre l’église et le président de la République, Me Wade. Ce, d’autant plus que le dialogue islamo-chrétien a longtemps existé. Heureusement, se réjouit El Hadj Cheikh Ousmane Diagne, "il ne peut pas y avoir de problème, car il y a des bras armées pour tendre la main aux Chrétiens avec qui nous partageons beaucoup de valeurs ».
Revenant sur le monument qui divise les imams, le président du Conseil supérieur de la khadrya dira : « c’est connu, l’Islam interdit les monuments ». ’Quand on est musulman, on accepte de se conformer aux enseignements ou on n’accepte pas. L’islam, ce n’est pas la démocratie mais le dogmatisme« . Avant d’ajouter : »si on refuse une partie, on n’est pas dans l’Islam« . »Personne ne peut dire le contraire, l’Islam ne reconnaît pas les statues", martèle-t-il en guise de conclusion.
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