Hasard ou coïncidence, le documentaire sur l’ex-président de la république du Sénégal réalisé par Jérome Sesquin pour la série « Empreinte », était plein de sous-entendus sur l’art de savoir quitter le pouvoir à temps.
Cette programmation étonne d’autant plus que l’on fêtait hier, le 1er décembre, la journée mondiale de la lutte contre le Sida ; et la chaine avait l’habitude à cette occasion, de faire le point sur la pandémie. Mieux, le transfert de Laurent Gbagbo au centre de détention de la cour pénale internationale, à la Haye, était le fait majeur de l’actualité. On a donc eu droit à « un destin francophone », avec un homme en paix avec lui-même, profitant de la vie dans les beaux quartiers de Paris ou de Lausanne. Abdou Diouf est bien sûr, en tant que patron de la francophonie, un allié objectif de la chaine, mais il y avait surtout un message à envoyer. A qui ?
Cette programmation étonne d’autant plus que l’on fêtait hier, le 1er décembre, la journée mondiale de la lutte contre le Sida ; et la chaine avait l’habitude à cette occasion, de faire le point sur la pandémie. Mieux, le transfert de Laurent Gbagbo au centre de détention de la cour pénale internationale, à la Haye, était le fait majeur de l’actualité. On a donc eu droit à « un destin francophone », avec un homme en paix avec lui-même, profitant de la vie dans les beaux quartiers de Paris ou de Lausanne. Abdou Diouf est bien sûr, en tant que patron de la francophonie, un allié objectif de la chaine, mais il y avait surtout un message à envoyer. A qui ?