« Les plus grands pays de ce monde ont su surmonter leurs défis et se développer, sans que leurs dirigeants n’aillent quémander de l’aide dans les rencontres internationales. Tels doivent être nos objectifs puisque la seule voie demeure la prise en main de notre destin, notre souveraineté », a dit Sonko dans une déclaration sur la chaîne Youtube de Jotna.
« Des pays comme le Qatar, ce pays, petit par la superficie, Dubaï, l’Arabie Saoudite, ont une place privilégiée sur l’échiquier mondial parce qu’ils ont jalousement préservé la souveraineté de leurs ressources. En plus des ressources pétrolières et gazières, nous avons la richesse du sol et le climat propice en plus. Malheureusement nous ne détenons que 10% sur ces ressources pétrolières et gazières », a-t-il soutenu.
Le leader de Pastef est revenu sur sa volonté de renégocier les contrats une fois élu président du Sénégal. « Voilà pourquoi, si nous sommes porté à la tête de ce pays, par la grâce de Dieu, nous nous attèlerons à renégocier tout contrat qui nous a dépouillés de nos ressources, mais également toute exonération fiscale indue laissant nos populations dans le dénuement et nos jeunes en proie au chômage ».
Selon Ousmane Sonko, tant que le Sénégal dépend de l’extérieur pour les denrées de première nécessité, demain n’est pas la veille de la baisse du coût de la vie. « Nous sommes loin de l’autosuffisance alimentaire clamée depuis des années par ce régime en place ».
« Des pays comme le Qatar, ce pays, petit par la superficie, Dubaï, l’Arabie Saoudite, ont une place privilégiée sur l’échiquier mondial parce qu’ils ont jalousement préservé la souveraineté de leurs ressources. En plus des ressources pétrolières et gazières, nous avons la richesse du sol et le climat propice en plus. Malheureusement nous ne détenons que 10% sur ces ressources pétrolières et gazières », a-t-il soutenu.
Le leader de Pastef est revenu sur sa volonté de renégocier les contrats une fois élu président du Sénégal. « Voilà pourquoi, si nous sommes porté à la tête de ce pays, par la grâce de Dieu, nous nous attèlerons à renégocier tout contrat qui nous a dépouillés de nos ressources, mais également toute exonération fiscale indue laissant nos populations dans le dénuement et nos jeunes en proie au chômage ».
Selon Ousmane Sonko, tant que le Sénégal dépend de l’extérieur pour les denrées de première nécessité, demain n’est pas la veille de la baisse du coût de la vie. « Nous sommes loin de l’autosuffisance alimentaire clamée depuis des années par ce régime en place ».