D’une capacité de 300 MW, cette centrale financée à hauteur de 220 milliards FCfa, est le fruit d’un partenariat entre des privés nationaux et des sociétés internationales que sont Cali Enerji, General Electric, Africa Finance Corporation (AFC) et Coris Bank International, les principaux partenaires financiers de West African Energy.
Le projet se compose ainsi d’une centrale électrique à cycle combiné constituée de deux turbines à gaz, d’une turbine à valeur et les auxiliaires associés. Chaque turbine à gaz est associée à une chaudière de récupération pour la production de vapeur destinée au fonctionnement de la turbine à vapeur. Les turbines sont configurées sur plusieurs arbres disposant chacune de son propre générateur pour la production d’énergie électrique.
Le projet se compose ainsi d’une centrale électrique à cycle combiné constituée de deux turbines à gaz, d’une turbine à valeur et les auxiliaires associés. Chaque turbine à gaz est associée à une chaudière de récupération pour la production de vapeur destinée au fonctionnement de la turbine à vapeur. Les turbines sont configurées sur plusieurs arbres disposant chacune de son propre générateur pour la production d’énergie électrique.
Au terme de la visite effectuée sur le site,le Président Directeur Général de West African Energy M. Samuel Sarr et les partenaires financiers ont fait part de leur satisfécit et noté un bon déroulement des travaux.
Constatant l’état d’avancement du chantier qui sort de terre, le Directeur Général de Senelec Papa Mademba Bitèye a déclaré que « si nous sommes arrivés à ce niveau, c’est d’abord grâce à la vision du Président de la République Macky Sall qui a décliné le mix énergétique et a fait confiance aux privés nationaux dans le cadre de son patriotisme économique. »
Constatant l’état d’avancement du chantier qui sort de terre, le Directeur Général de Senelec Papa Mademba Bitèye a déclaré que « si nous sommes arrivés à ce niveau, c’est d’abord grâce à la vision du Président de la République Macky Sall qui a décliné le mix énergétique et a fait confiance aux privés nationaux dans le cadre de son patriotisme économique. »
Ce projet qui est en co-développement avec Senelec comme bras technique et des privés nationaux comme bras financiers, va permettre d’arriver à des coûts de production les plus bas de notre parc de production. Pour le Directeur Général de Senelec, « cela va augmenter la capacité de production de Senelec, la capacité d’offre et baisser les coûts de production. Cela va aboutir, in fine, à un impact sur le tarif cédé aux consommateurs de Senelec. »
Le Sénégal va abriter l’une des plus grandes centrales à gaz de l’Afrique de l’Ouest. D’un coût global de 220 Milliards FCFA, sa livraison est prévue en 2023. Quelques mois après son lancement qui a eu lieu en 2021, le directeur général de la Senelec, accompagné de ses partenaires financiers et techniques, s’est rendu sur les lieux pour constater de visu l’état des travaux qui « avancent à pas de géant », selon Pape Demba Bitèye. « C’est un sentiment de satisfaction. Comme vous le voyez, les travaux ont démarré. Nous avions réussi le pari des négociations dans des délais très courts, le pari du développement du projet a été raccourci. Aujourd’hui on est là avec un projet qui est en chantier. Ceci grâce à une vision très claire du Président de la République Macky Sall », estime-t-il. Cette centrale à gaz est un des résultats des ambitions énergétiques et le dynamisme du fast track de l’État du Sénégal, selon toujours ce dernier. « On va faire des projets utiles pour les sénégalais, mais aussi on va les faire dans les délais. La politique d’émergence nécessite qu’on ait une capacité de production en électricité, mais aussi qu’on ait une électricité à moindre coût. Ce sont les objectifs du PSE qui est le cadre unique de référence économique et sociale du Sénégal. Alors ces 300 MWT vont augmenter notre capacité de production, notre capacité d’offre, baisser le coût de production ce qui aboutira in fine à un impact sur le tarif », ajoutera le DG de la Senelec, Pape Demba Bitèye. Ce projet qui se trouve au Cap des Biches, sera détenu à 85% par des privés nationaux et 15% par l’État du Sénégal.