Dans la même mouvance, se prononçant sur la dévolution monarchique du pouvoir qu’on prêterait à Me Wade, il estime que Karim Wade peut se présenter comme citoyen sénégalais, mais, il serait très grave d’accéder au pouvoir par tripatouillages de la constitution. « Car, avertit-il, il faut éviter que le nouveau président du Sénégal ne soit pas légitime ».
Pour Pierre Sané, ancien président d’Amnesty International, réagissant sur le dernier rapport d’Amnesty International, « Sénégal, Terre d’Impunité », notre pays présente les symptômes d’un grand malade. Car, explique-t-il, sur les ondes de la Rfm à l’émission « Grand jury », tous les indicateurs sont au rouge du fait de la dégradation des conditions économiques et sociales, de la dégradation politique et de la liberté de la presse… Devant une telle situation, Pierre Sané estime que le pouvoir va réagir à cet appel, sans quoi le Sénégal va perte de crédibilité.
Pierre Sané prend le contre-pied du Président de la République sur la gestion jugée « mauvaise » d’Amadou Mahtar Mbow à la tête de l’Unesco. « J’ai travaillé à l’Unesco, mais je n’ai jamais vu un rapport, ni un document parlant de mauvaise gestion de Amadou Mahtar Mbow. De même, des collègues qui ont travaillé à l’Unesco, pendant 30 ans, ne parlent que du bien de Amadou Mahtar Mbow pour y avoir laissé une image vertueuse », a-t-il précisé.
« Amadou Mahtar a quitté l’Unesco à cause des problèmes politiques avec les Américains et les Anglais relatifs au nouvel ordre mondial de l’information », a-t-il rappelé.
Pressenti comme futur président de la Commission de la Cédéao , Pierre Sané regrette que le président de la République ait changé d’avis après son élection à la tête du pays. « Selon les informations dont je dispose, la présidence de la Cédéao reviendra au Cap Vert et la vice-présidence au Libéria », informe Pierre Sané. Il regrette dans la foulée la négligence du volet diplomatique. « Pourquoi le Sénégal n’a pas de commissaire résident à l’Union africaine, à Adis Abeba en Ethiopie », s’interroge-t-il dépité.
Ferloo.com avec leral
Pour Pierre Sané, ancien président d’Amnesty International, réagissant sur le dernier rapport d’Amnesty International, « Sénégal, Terre d’Impunité », notre pays présente les symptômes d’un grand malade. Car, explique-t-il, sur les ondes de la Rfm à l’émission « Grand jury », tous les indicateurs sont au rouge du fait de la dégradation des conditions économiques et sociales, de la dégradation politique et de la liberté de la presse… Devant une telle situation, Pierre Sané estime que le pouvoir va réagir à cet appel, sans quoi le Sénégal va perte de crédibilité.
Pierre Sané prend le contre-pied du Président de la République sur la gestion jugée « mauvaise » d’Amadou Mahtar Mbow à la tête de l’Unesco. « J’ai travaillé à l’Unesco, mais je n’ai jamais vu un rapport, ni un document parlant de mauvaise gestion de Amadou Mahtar Mbow. De même, des collègues qui ont travaillé à l’Unesco, pendant 30 ans, ne parlent que du bien de Amadou Mahtar Mbow pour y avoir laissé une image vertueuse », a-t-il précisé.
« Amadou Mahtar a quitté l’Unesco à cause des problèmes politiques avec les Américains et les Anglais relatifs au nouvel ordre mondial de l’information », a-t-il rappelé.
Pressenti comme futur président de la Commission de la Cédéao , Pierre Sané regrette que le président de la République ait changé d’avis après son élection à la tête du pays. « Selon les informations dont je dispose, la présidence de la Cédéao reviendra au Cap Vert et la vice-présidence au Libéria », informe Pierre Sané. Il regrette dans la foulée la négligence du volet diplomatique. « Pourquoi le Sénégal n’a pas de commissaire résident à l’Union africaine, à Adis Abeba en Ethiopie », s’interroge-t-il dépité.
Ferloo.com avec leral
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