Sur demande de sa tante (épouse de son oncle), O.K se rendait souvent au domicile de son présumé violeur pour lui vendre du couscous. C’est ainsi qu’à la veille de la fête de Tabaski, l’adolescente a accusé du retard pour rentrer chez elle. Sur ce, sa tante décide d’aller à sa recherche. Arrivée à la demeure du mis en cause, la dame R. Guèye surprend Abou Lam en train de bousculer sa nièce pour la faire sortir des lieux.
« Sans piper mot, je l’ai prise par la main et, on est rentré ensemble. Une fois à la maison, elle me fait savoir qu’Abou Lam abusait d’elle à chaque fois qu’elle se rendait dans sa chambre. Très en colère, j’ai informé mon mari. Lorsque ce dernier, l’a conduite à l’hôpital le lendemain, la blouse blanche confirme ses dires », a expliqué la dame R. Guèye aux limiers de la police de Pikine, suite à la plainte de son époux M. Keita, le 29 septembre dernier. Le certificat médical a fait état d’une absence totale d’hymen, consécutive à des rapports sexuels.
Entendue, O.K soutient qu’elle a eu à entretenir à six reprises des relations sexuelles avec son bourreau sous le coup de la contrainte. « Notre premier rapport remonte juste avant le mois de ramadan. Ce soir-là, il m’avait étranglé avant de me bousculer contre le mur. Ainsi, il a sorti son sexe et m’a demandé de le prendre par les mains. Pour éviter qu’il me blesse, j’ai obtempéré. Et, il a commencé à m’embarrasser. Après avoir assouvi sa libido, il me menace de me tuer, si jamais je le dénonçais à mon oncle », a-t-elle déclaré.
Des accusations qu’Abou Lam a contestées vigoureusement devant les enquêteurs. « J’ai toujours considéré O.K comme ma nièce. Elle venait tout le temps chez moi pour me vendre du couscous. Parce qu’elle faisait le tour de tout le quartier. Mais, je n’ai jamais couché avec elle », s’est dédouané, le marchand ambulant, célibataire et père d’un enfant.
Malgré cela, le sieur Lam croupit depuis lors à l’hôtel zéro étoile de Rebeus pour des faits de viol, de pédophilie et de détournement de mineure. Il sera jugé par le tribunal des flagrants délits de Pikine.
Kady FATY Leral
« Sans piper mot, je l’ai prise par la main et, on est rentré ensemble. Une fois à la maison, elle me fait savoir qu’Abou Lam abusait d’elle à chaque fois qu’elle se rendait dans sa chambre. Très en colère, j’ai informé mon mari. Lorsque ce dernier, l’a conduite à l’hôpital le lendemain, la blouse blanche confirme ses dires », a expliqué la dame R. Guèye aux limiers de la police de Pikine, suite à la plainte de son époux M. Keita, le 29 septembre dernier. Le certificat médical a fait état d’une absence totale d’hymen, consécutive à des rapports sexuels.
Entendue, O.K soutient qu’elle a eu à entretenir à six reprises des relations sexuelles avec son bourreau sous le coup de la contrainte. « Notre premier rapport remonte juste avant le mois de ramadan. Ce soir-là, il m’avait étranglé avant de me bousculer contre le mur. Ainsi, il a sorti son sexe et m’a demandé de le prendre par les mains. Pour éviter qu’il me blesse, j’ai obtempéré. Et, il a commencé à m’embarrasser. Après avoir assouvi sa libido, il me menace de me tuer, si jamais je le dénonçais à mon oncle », a-t-elle déclaré.
Des accusations qu’Abou Lam a contestées vigoureusement devant les enquêteurs. « J’ai toujours considéré O.K comme ma nièce. Elle venait tout le temps chez moi pour me vendre du couscous. Parce qu’elle faisait le tour de tout le quartier. Mais, je n’ai jamais couché avec elle », s’est dédouané, le marchand ambulant, célibataire et père d’un enfant.
Malgré cela, le sieur Lam croupit depuis lors à l’hôtel zéro étoile de Rebeus pour des faits de viol, de pédophilie et de détournement de mineure. Il sera jugé par le tribunal des flagrants délits de Pikine.
Kady FATY Leral