
"La jeunesse départementale de l’APR voulait organiser une conférence de presse pour se prononcer sur la situation politique nationale et départementale. Un groupe de jeunes et des nervis instrumentalisés sont venus saboter notre rencontre’’, a expliqué Oumar Ndoye, l’initiateur de la rencontre.
"Nous le déplorons avec la dernière énergie ce comportement. Je pense bien que cette politique de la violence est révolue'', a-t-il encore déclaré, peu après le retour au calme et loin de la permanence de l’APR.
Et d’ajouter : ''Cette espèce d’hommes politique en voie de disparition qui n’a aucune vision politique ni compétence se permet aujourd’hui d’user de la violence pour semer la terreur au niveau du département de Pikine.’’
Mbaye Sène, un autre responsable des jeunes républicains dont les partisans sont accusés d’avoir saboté la conférence, a expliqué que l’origine des heurts remonte à la sortie de son camp la semaine dernière.
"Mercredi dernier, nous avions tenu une conférence de presse pour déclarer Benoît Sambou (Ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la promotion des valeurs civiques) persona non gratta à Pikine […]’’, a-t-il expliqué.
"Nous avons vivement contesté la tenue de cette conférence de presse. Ces initiateurs sont partis ailleurs. Donc, il n’y a pas eu de conférence de presse ici au sein de notre permanence’’, a-t-il ajouté.
Alors qu’elle passait sur les lieux par hasard, la députée Thilo Sarr, s’es interposée entre les différents protagonistes.
"Je rentrais chez moi. Je viens de l’aéroport en provenance d’Abidjan (Côte d’Ivoire) et, sur le chemin, j’ai trouvé un attroupement de jeunes qui se disputaient devant notre permanence. Je suis immédiatement descendue de mon véhicule pour les calmer’’, a souligné Mme Sarr.
"Je comprends bien ces jeunes qui se sont battus pour le président de la République. Ils ont, c’est vrai, beaucoup attendu (pour être récompensés), mais cela est dû à l’état dans lequel nous avons pris ce pays. Ceux qui étaient là avaient complètement détruit le pays’’, a-t-elle poursuivi.
APS
"Nous le déplorons avec la dernière énergie ce comportement. Je pense bien que cette politique de la violence est révolue'', a-t-il encore déclaré, peu après le retour au calme et loin de la permanence de l’APR.
Et d’ajouter : ''Cette espèce d’hommes politique en voie de disparition qui n’a aucune vision politique ni compétence se permet aujourd’hui d’user de la violence pour semer la terreur au niveau du département de Pikine.’’
Mbaye Sène, un autre responsable des jeunes républicains dont les partisans sont accusés d’avoir saboté la conférence, a expliqué que l’origine des heurts remonte à la sortie de son camp la semaine dernière.
"Mercredi dernier, nous avions tenu une conférence de presse pour déclarer Benoît Sambou (Ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la promotion des valeurs civiques) persona non gratta à Pikine […]’’, a-t-il expliqué.
"Nous avons vivement contesté la tenue de cette conférence de presse. Ces initiateurs sont partis ailleurs. Donc, il n’y a pas eu de conférence de presse ici au sein de notre permanence’’, a-t-il ajouté.
Alors qu’elle passait sur les lieux par hasard, la députée Thilo Sarr, s’es interposée entre les différents protagonistes.
"Je rentrais chez moi. Je viens de l’aéroport en provenance d’Abidjan (Côte d’Ivoire) et, sur le chemin, j’ai trouvé un attroupement de jeunes qui se disputaient devant notre permanence. Je suis immédiatement descendue de mon véhicule pour les calmer’’, a souligné Mme Sarr.
"Je comprends bien ces jeunes qui se sont battus pour le président de la République. Ils ont, c’est vrai, beaucoup attendu (pour être récompensés), mais cela est dû à l’état dans lequel nous avons pris ce pays. Ceux qui étaient là avaient complètement détruit le pays’’, a-t-elle poursuivi.
APS