À la tête d’une caravane, et au son du fameux tube ‘Gorgui Doliñu’ de Pape et Cheikh, qui avait accompagné la campagne présidentielle du candidat Abdoulaye Wade, lors de la dernière élection présidentielle, Farba Senghor, le candidat à la mairie du Plateau de la Coalition Sopi 2009, a rendu visite hier, aux agents de la direction de la police judiciaire. Non pas parce qu’il avait été convoqué par les limiers pour être entendu sur une affaire, mais parce qu’il voulait convaincre les policiers qui doivent accomplir leur devoir civique au centre ville, de voter en faveur de ses listes, lors des élections locales du 22 mars. Car, pour la tête de liste de la Coalition Sopi 2009, toutes les voix vont compter au moment du décompte final. C’est la raison pour laquelle il ne veut négliger aucune. Vêtu d’un costume beige, le pas décidé, Farba Senghor a sillonné les artères du centre-ville, discutant, saluant, distribuant des t-shirt et des tracts à toutes les personnes qui sont susceptibles de voter au centre-ville. Avant de se rendre à la direction de la police judiciaire, il a fait un saut chez les travailleurs du ministère de l’Economie et des finances dont le bâtiment se trouve en face.
Cependant, il ne s’est pas limité aux fonctionnaires. Dans sa marche, il a pris le temps de discuter et d’essayer de convaincre les laveurs de voitures, les ouvriers des immeubles en construction. Même les maisons et les bureaux fermés ont reçu les prospectus du leader de la Coalition Sopi 2009 au Plateau. En effet, des jeunes, garçons et filles habillés aux couleurs de cette liste, ont glissé sous les portes des maisons closes les prospectus.
Ces inconditionnels du candidat Farba Senghor ont également laissé des tracts sur les pares-brises des voitures stationnées sur la chaussée. Dans sa quête du suffrage des dakarois, Farba Senghor n’a voulu négliger personne. Il s’est même offert un bain de foule dans la garderie d’enfants située en face de l’hôpital Principal, espérant, sans doute, trouver et convaincre les parents de ces enfants. Mais aussi parce que ces enfants peuvent influencer le vote de leur parent. Cependant, il ne s’est pas limité aux quartiers huppés du centre-ville. La tête de liste de la Coalition Sopi 2009 a tenu, en effet, à rendre visite aux habitants des bidonvilles de la périphérie. À la rue Tolbiac, dans le quartier insalubre de Kay Findu, avec ses eaux stagnantes, Farba Senghor, dans l’espoir de glaner les voix des résidents, s’y est rendu, s’invitant dans les demeures des gens et les invitant à voter en faveur de sa liste pour pouvoir améliorer leurs conditions de vie.
Cependant, il ne s’est pas limité aux fonctionnaires. Dans sa marche, il a pris le temps de discuter et d’essayer de convaincre les laveurs de voitures, les ouvriers des immeubles en construction. Même les maisons et les bureaux fermés ont reçu les prospectus du leader de la Coalition Sopi 2009 au Plateau. En effet, des jeunes, garçons et filles habillés aux couleurs de cette liste, ont glissé sous les portes des maisons closes les prospectus.
Ces inconditionnels du candidat Farba Senghor ont également laissé des tracts sur les pares-brises des voitures stationnées sur la chaussée. Dans sa quête du suffrage des dakarois, Farba Senghor n’a voulu négliger personne. Il s’est même offert un bain de foule dans la garderie d’enfants située en face de l’hôpital Principal, espérant, sans doute, trouver et convaincre les parents de ces enfants. Mais aussi parce que ces enfants peuvent influencer le vote de leur parent. Cependant, il ne s’est pas limité aux quartiers huppés du centre-ville. La tête de liste de la Coalition Sopi 2009 a tenu, en effet, à rendre visite aux habitants des bidonvilles de la périphérie. À la rue Tolbiac, dans le quartier insalubre de Kay Findu, avec ses eaux stagnantes, Farba Senghor, dans l’espoir de glaner les voix des résidents, s’y est rendu, s’invitant dans les demeures des gens et les invitant à voter en faveur de sa liste pour pouvoir améliorer leurs conditions de vie.