Ouverture de beaucoup de faux comptes sur facebook
C’est suite à une plainte déposée par deux des victimes qui ont vu leurs photos nues publiées sur les réseaux à la Section de Recherches que S. Niass a été arrêté. Le modus operandi du prédateur sexuel est qu’il ouvrait plusieurs comptes Facebook, dont celui sous le nom de Simone Sandaré, avec comme photo de profil celle d’une Européenne.
Des vidéos en échanges de 325 mille francs
Ensuite, il envoyait plusieurs invitations d’amis sur facebook. Après acceptation de ses demandes, « Simone » suppliait ses victimes de lui envoyer des vidéos moyennant 325 mille francs CFA au moins. Puis, il utilisait les autres faux comptes pour appuyer la demande de Simone. Celles qui tombaient, indique le journal, entraient de plain-pied en enfer.
Paiement en nature, en espèces ou relations sexuelles
Les victimes malheureuses ne voyaient pas la couleur de l’argent, mais en retour, elles devaient payer pour que leurs vidéos ne soient pas publiées sur le site Seneporno. Un paiement en nature ou en espèces. Et celles qui acceptaient les relations sexuelles en échange, se retrouvaient dans un cercle vicieux.
Argent et belles femmes, les motivations du pervers
Cueilli chez lui, il a reconnu les faits qu’on lui reproche lors de son audition. Il a expliqué aux pandores que c’est son penchant pour l’argent et les belles femmes qui l’ont poussé à de tels actes. Il a été déféré au parquet pour diffusion de données personnelles et chantage.
C’est suite à une plainte déposée par deux des victimes qui ont vu leurs photos nues publiées sur les réseaux à la Section de Recherches que S. Niass a été arrêté. Le modus operandi du prédateur sexuel est qu’il ouvrait plusieurs comptes Facebook, dont celui sous le nom de Simone Sandaré, avec comme photo de profil celle d’une Européenne.
Des vidéos en échanges de 325 mille francs
Ensuite, il envoyait plusieurs invitations d’amis sur facebook. Après acceptation de ses demandes, « Simone » suppliait ses victimes de lui envoyer des vidéos moyennant 325 mille francs CFA au moins. Puis, il utilisait les autres faux comptes pour appuyer la demande de Simone. Celles qui tombaient, indique le journal, entraient de plain-pied en enfer.
Paiement en nature, en espèces ou relations sexuelles
Les victimes malheureuses ne voyaient pas la couleur de l’argent, mais en retour, elles devaient payer pour que leurs vidéos ne soient pas publiées sur le site Seneporno. Un paiement en nature ou en espèces. Et celles qui acceptaient les relations sexuelles en échange, se retrouvaient dans un cercle vicieux.
Argent et belles femmes, les motivations du pervers
Cueilli chez lui, il a reconnu les faits qu’on lui reproche lors de son audition. Il a expliqué aux pandores que c’est son penchant pour l’argent et les belles femmes qui l’ont poussé à de tels actes. Il a été déféré au parquet pour diffusion de données personnelles et chantage.