Les populations installées dans ces quartiers périphériques, appelés «fàkk dëkk», y ont passé plusieurs années, trente, quarante ou plus...
Depuis plusieurs années, elles vivent dans l’espoir de voir leurs quartiers rattachés à la commune de Kaffrine ou d’être édifiées sur leur appartenance réelle en tant qu’entité territoriale. De la réponse à cette question dépend, selon elles, la fin du calvaire qu’elles vivent depuis de nombreuses années et dont la principale cause demeure l’absence de lotissement.
D’ailleurs, c’est pour exiger le lotissement de leur quartier que les populations du quartier Lansar ont tenu un point de presse, dimanche dernier. «Notre quartier est à 10 m de Kaffrine et on nous dit que nous faisons partie de la commune de Kahi», s’étonne Ousmane Kâ.
«Les populations ne savent plus à quel saint se vouer. Cette année encore, nous avons parlé avec le maire de Kaffrine, M. Abdoulaye Seydou Sow et celui de Kahi. Des enquêtes ont eu lieu mais depuis lors, nous attendons toujours. Ils nous interdisent de construire des habitations en dur, alors que nous vivons dans des cases qui peuvent s’écrouler à tout moment et faire des victimes», ajoute-t-il.
Pour Fatou Ndao, la soixantaine, «l’eau que nous buvons, n’est pas potable. Lorsque nos enfants sont atteints de maladies diarrhéiques et que nous les amenons à l’hôpital, ils nous disent que c’est à cause de l’eau que nous buvons».
Les populations de Lansar ont fait remarquer qu’elles partagent cette situation avec beaucoup d’autres quartiers. Elles disent en appeler à l’arbitrage des nouvelles autorités et surtout, du chef de l’Etat et de son Premier ministre.
Depuis plusieurs années, elles vivent dans l’espoir de voir leurs quartiers rattachés à la commune de Kaffrine ou d’être édifiées sur leur appartenance réelle en tant qu’entité territoriale. De la réponse à cette question dépend, selon elles, la fin du calvaire qu’elles vivent depuis de nombreuses années et dont la principale cause demeure l’absence de lotissement.
D’ailleurs, c’est pour exiger le lotissement de leur quartier que les populations du quartier Lansar ont tenu un point de presse, dimanche dernier. «Notre quartier est à 10 m de Kaffrine et on nous dit que nous faisons partie de la commune de Kahi», s’étonne Ousmane Kâ.
«Les populations ne savent plus à quel saint se vouer. Cette année encore, nous avons parlé avec le maire de Kaffrine, M. Abdoulaye Seydou Sow et celui de Kahi. Des enquêtes ont eu lieu mais depuis lors, nous attendons toujours. Ils nous interdisent de construire des habitations en dur, alors que nous vivons dans des cases qui peuvent s’écrouler à tout moment et faire des victimes», ajoute-t-il.
Pour Fatou Ndao, la soixantaine, «l’eau que nous buvons, n’est pas potable. Lorsque nos enfants sont atteints de maladies diarrhéiques et que nous les amenons à l’hôpital, ils nous disent que c’est à cause de l’eau que nous buvons».
Les populations de Lansar ont fait remarquer qu’elles partagent cette situation avec beaucoup d’autres quartiers. Elles disent en appeler à l’arbitrage des nouvelles autorités et surtout, du chef de l’Etat et de son Premier ministre.