Devant les diplomates, le patron de la DGDI, le général de corps d’Armée Michel Andjembe, a indiqué que le « bâtiment est divisé en trois compartiments. Le premier qui compte 48 lits est celui des femmes. Le second de 52 lits est destiné aux hommes et le troisième est une salle commune qui sert à la fois de réfectoire, de salle de jeux et de loisirs ».
Il s’agit, ici, a précisé, le premier responsable de la DGDI , d’une structure qui « répond tout de même aux exigences les plus élémentaires des droits de l’homme » même si, a-t-il reconnu, « ce centre (…) n’est pas peut-être celui que nous souhaitons ».
APPLIQUER LA POLITIQUE ET LES DECISIONS DU GOUVERNEMENT EN MATIERE D’IMMIGRATION
Aussi, a-t-il assuré : « un grand centre de rétention répondant aux normes internationales est prévu dans la zone portuaire d’Owendo », dans la commune voisine de Libreville, en soulignant : « la DGDI dispose déjà du terrain devant accueillir l’édifice et une partie des fonds nécessaires à la construction avait été déjà inscrite au budget de l’Etat ».
Ces actions aussi multiples que variées visent à améliorer les conditions de rapatriement des étrangers en situation irrégulière dans leurs pays d’origine après leur arrivée (par milliers, par an) sur le territoire gabonais en pirogue, bateau ou en camion, parfois dissimulés dans des endroits les plus insolites et, le plus souvent, au péril de leurs vies.
Les chiffres avancés en 2008 par le ministère de l'Intérieur faisaient apparaître environ "400.000 clandestins" pour une population de 1,3 millions d'habitants au Gabon.
Aussi, la rencontre avec les ambassadeurs et consuls a-t-elle permis aux services de l’Immigration de fournir les dernières données sur le niveau de renouvellement ou l’établissement d’une carte de séjour.
Il en est ressorti que « 14859 cartes de séjour » ont été délivrées aux béninois qui figurent parmi les plus nombreux dans le fichier de la DGDI, suivis par les maliens (13676) ; Camerounais (11576 ; Nigérians (10445) ; Sénégalais (8923) et Togolais (6288).
La DGDI a pour mission d’appliquer « la politique et les décisions du Gouvernement en matière d’immigration », tenait à rappeler le général M.Andjembé, devant ses interlocuteurs.
GN/RA/10
Il s’agit, ici, a précisé, le premier responsable de la DGDI , d’une structure qui « répond tout de même aux exigences les plus élémentaires des droits de l’homme » même si, a-t-il reconnu, « ce centre (…) n’est pas peut-être celui que nous souhaitons ».
APPLIQUER LA POLITIQUE ET LES DECISIONS DU GOUVERNEMENT EN MATIERE D’IMMIGRATION
Aussi, a-t-il assuré : « un grand centre de rétention répondant aux normes internationales est prévu dans la zone portuaire d’Owendo », dans la commune voisine de Libreville, en soulignant : « la DGDI dispose déjà du terrain devant accueillir l’édifice et une partie des fonds nécessaires à la construction avait été déjà inscrite au budget de l’Etat ».
Ces actions aussi multiples que variées visent à améliorer les conditions de rapatriement des étrangers en situation irrégulière dans leurs pays d’origine après leur arrivée (par milliers, par an) sur le territoire gabonais en pirogue, bateau ou en camion, parfois dissimulés dans des endroits les plus insolites et, le plus souvent, au péril de leurs vies.
Les chiffres avancés en 2008 par le ministère de l'Intérieur faisaient apparaître environ "400.000 clandestins" pour une population de 1,3 millions d'habitants au Gabon.
Aussi, la rencontre avec les ambassadeurs et consuls a-t-elle permis aux services de l’Immigration de fournir les dernières données sur le niveau de renouvellement ou l’établissement d’une carte de séjour.
Il en est ressorti que « 14859 cartes de séjour » ont été délivrées aux béninois qui figurent parmi les plus nombreux dans le fichier de la DGDI, suivis par les maliens (13676) ; Camerounais (11576 ; Nigérians (10445) ; Sénégalais (8923) et Togolais (6288).
La DGDI a pour mission d’appliquer « la politique et les décisions du Gouvernement en matière d’immigration », tenait à rappeler le général M.Andjembé, devant ses interlocuteurs.
GN/RA/10