‘’Nous constatons aujourd’hui que l’une des plus grandes réalisations de cet Institut est le retour de la planification dans toutes les stratégies de développement économique et social, mais aussi le renforcement de tous les cadres qui interviennent dans la planification nationale", a déclaré Ngouda Fall Kane.
Il présidait le colloque scientifique marquant le cinquantième anniversaire de l’Institut africain de développement et de planification (IDEP). Plusieurs économistes et chercheurs africains prennent part à cette rencontre de deux jours.
Cette dynamique s'inspire des bonnes pratiques mises en œuvre dans le domaine de la planification sur le plan international, selon le secrétaire général du ministère de l'Economie et des Finances. "C’est ce qui est la grande réussite de l’IDEP, qui a été d’instaurer à nouveau la planification dans les stratégies de développement", a souligné M. Kane.
‘’Pour la plupart des pays africains, la planification est un outil incontournable dans le développement des pays’’, a estimé M. Kane, se félicitant de ce que la planification est une réalité au Sénégal avec la création d’une Direction générale dédiée à cette question.
‘’Dans notre pays, l’étude prospective +Sénégal 2035+ aborde la phase terminale de son élaboration’’, a-t-il annoncé, soulignant que les signes du renouveau de la planification sont aussi perceptibles dans l’émergence de cadre de programmation au niveau régional et sous-régional.
‘’Le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique, le NEPAD, fait partie des exemples qui font la fierté du continent", a fait valoir le secrétaire général du ministère sénégalais de l'Economie et des Finances.
C’est pourquoi, le cinquantième anniversaire de l’IDEP, se tient à un moment opportun, a relevé Ngouda Fall Kane. ‘’Ce sera un moment d’échanges fructueux entre chercheurs et praticiens sur les expériences de planification du développement pour en tirer des leçons pour l’avenir’’, a-t-il précisé.
Il a d'autre part rappelé que l’échec des programmes d’ajustement structurel a concouru à ouvrir de nouvelles opportunités pour la planification au développement.
La nécessité de se doter de visions à long terme s'impose de plus en plus au niveau continental, mais aussi dans chaque pays. Sur cette base, il "est important de s’orienter vers un renforcement de capacités des hauts cadres africains’’, a-t-il dit.
Le colloque ‘’50 ans de planification du développement en Afrique’’, à l'initiative de l'IDEP, prend fin mercredi à Dakar.
SBS/BK/DND
Il présidait le colloque scientifique marquant le cinquantième anniversaire de l’Institut africain de développement et de planification (IDEP). Plusieurs économistes et chercheurs africains prennent part à cette rencontre de deux jours.
Cette dynamique s'inspire des bonnes pratiques mises en œuvre dans le domaine de la planification sur le plan international, selon le secrétaire général du ministère de l'Economie et des Finances. "C’est ce qui est la grande réussite de l’IDEP, qui a été d’instaurer à nouveau la planification dans les stratégies de développement", a souligné M. Kane.
‘’Pour la plupart des pays africains, la planification est un outil incontournable dans le développement des pays’’, a estimé M. Kane, se félicitant de ce que la planification est une réalité au Sénégal avec la création d’une Direction générale dédiée à cette question.
‘’Dans notre pays, l’étude prospective +Sénégal 2035+ aborde la phase terminale de son élaboration’’, a-t-il annoncé, soulignant que les signes du renouveau de la planification sont aussi perceptibles dans l’émergence de cadre de programmation au niveau régional et sous-régional.
‘’Le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique, le NEPAD, fait partie des exemples qui font la fierté du continent", a fait valoir le secrétaire général du ministère sénégalais de l'Economie et des Finances.
C’est pourquoi, le cinquantième anniversaire de l’IDEP, se tient à un moment opportun, a relevé Ngouda Fall Kane. ‘’Ce sera un moment d’échanges fructueux entre chercheurs et praticiens sur les expériences de planification du développement pour en tirer des leçons pour l’avenir’’, a-t-il précisé.
Il a d'autre part rappelé que l’échec des programmes d’ajustement structurel a concouru à ouvrir de nouvelles opportunités pour la planification au développement.
La nécessité de se doter de visions à long terme s'impose de plus en plus au niveau continental, mais aussi dans chaque pays. Sur cette base, il "est important de s’orienter vers un renforcement de capacités des hauts cadres africains’’, a-t-il dit.
Le colloque ‘’50 ans de planification du développement en Afrique’’, à l'initiative de l'IDEP, prend fin mercredi à Dakar.
SBS/BK/DND