Au moins 16 personnes ont été tuées et une soixantaine blessées samedi soir dans une collision frontale entre deux trains qui se sont retrouvés sur la même voie à Szczekociny, dans le sud de la Pologne. C'est la plus grave catastrophe ferroviaire dans le pays depuis 1990.
Le président polonais Bronislaw Komorowski a décrété dimanche soir un deuil national de deux jours lundi 5 et mardi 6 mars. Les drapeaux nationaux seront mis en berne et les manifestations sportives et culturelles seront annulées.
Dans la nuit, six chiens renifleurs ont été utilisés pour retrouver les victimes. "Les chiens n'ont plus rien signalé. Nous serons certains à 100% seulement quand les lieux de l'accident auront été libérés de tout débris mais gardons la foi que le bilan de l'accident ne changera plus", a commenté le porte-parole des sapeurs-pompiers
Les deux locomotives et les trois premiers wagons des deux trains qui se sont encastrés l'un contre l'autre formaient dimanche un gigantesque amas de ferraille (voir notre portfolio en bas de l'article).
"Nous avons entendu un bruit assourdissant et nous avons été projetés de nos sièges", a déclaré un rescapé à l'agence PAP. "Il y avait des morceaux de corps dans les wagons et à l'extérieur", a-t-il ajouté.
55 personnes restaient hospitalisées dimanche matin selon la cellule de crise. 350 personnes en tout se trouvaient à bord du train, dont quelques Français, mais qui n'ont pas été blessés.
Le président polonais Bronislaw Komorowski a décrété dimanche soir un deuil national de deux jours lundi 5 et mardi 6 mars. Les drapeaux nationaux seront mis en berne et les manifestations sportives et culturelles seront annulées.
Dans la nuit, six chiens renifleurs ont été utilisés pour retrouver les victimes. "Les chiens n'ont plus rien signalé. Nous serons certains à 100% seulement quand les lieux de l'accident auront été libérés de tout débris mais gardons la foi que le bilan de l'accident ne changera plus", a commenté le porte-parole des sapeurs-pompiers
Les deux locomotives et les trois premiers wagons des deux trains qui se sont encastrés l'un contre l'autre formaient dimanche un gigantesque amas de ferraille (voir notre portfolio en bas de l'article).
"Nous avons entendu un bruit assourdissant et nous avons été projetés de nos sièges", a déclaré un rescapé à l'agence PAP. "Il y avait des morceaux de corps dans les wagons et à l'extérieur", a-t-il ajouté.
55 personnes restaient hospitalisées dimanche matin selon la cellule de crise. 350 personnes en tout se trouvaient à bord du train, dont quelques Français, mais qui n'ont pas été blessés.