Définissant un délai de trois mois pour la mise en forme de la nouvelle politique, M. Sall a souligné, au sortir du conseil des ministres décentralisé, « le rôle primordial » de l’énergie dans le développement économique et social.
Le chef de l’Etat a déploré la « crise récurrente que traverse le secteur depuis plusieurs décennies ».
La nouvelle politique sera fondée sur des « ressources durables, avec une structure de production intégrant toutes les filières ». Celles-ci vont avoir notamment trait aux énergies renouvelables et à celles dites traditionnelles.
Avec cette option, il s’agit ainsi de garantir la qualité de la fourniture et de veiller sur le moindre coût et la préservation de l’environnement, selon Macky Sall.
La société publique d’électricité, SENELEC, sera renforcée et restructurée, autant sur le plan technique que sur le plan financier. « Cette restructuration sera mise en œuvre dans le cadre d’une démarche inclusive et tenant compte de l’expérience internationale », a indiqué M. Sall en abordant la question précise de l’électricité.
A ce propos, il a manifesté sa volonté de séparer les activités de l’entreprise en se basant surtout sur l’externalisation de la production.
« La séparation des activités, notamment la fonction de production, sera étudiée, de même que la participation du secteur privé et le cadre institutionnel adapté », a-t-il avancé.
Selon les orientations dégagées par le chef de l’Etat, la gestion de l’entreprise fera l’objet d’un « Contrat de performance ». Aussi, la nouvelle équipe de gestion aura des obligations de résultats et de reddition des comptes.
« A moyen et long termes, la nouvelle politique énergétique vise une baisse structurelle des coûts de production, ainsi que l’indépendance énergétique du Sénégal », a ajouté le président de la République qui déplore les coûts de production « très élevés » de l’entreprise.
source: APS
Le chef de l’Etat a déploré la « crise récurrente que traverse le secteur depuis plusieurs décennies ».
La nouvelle politique sera fondée sur des « ressources durables, avec une structure de production intégrant toutes les filières ». Celles-ci vont avoir notamment trait aux énergies renouvelables et à celles dites traditionnelles.
Avec cette option, il s’agit ainsi de garantir la qualité de la fourniture et de veiller sur le moindre coût et la préservation de l’environnement, selon Macky Sall.
La société publique d’électricité, SENELEC, sera renforcée et restructurée, autant sur le plan technique que sur le plan financier. « Cette restructuration sera mise en œuvre dans le cadre d’une démarche inclusive et tenant compte de l’expérience internationale », a indiqué M. Sall en abordant la question précise de l’électricité.
A ce propos, il a manifesté sa volonté de séparer les activités de l’entreprise en se basant surtout sur l’externalisation de la production.
« La séparation des activités, notamment la fonction de production, sera étudiée, de même que la participation du secteur privé et le cadre institutionnel adapté », a-t-il avancé.
Selon les orientations dégagées par le chef de l’Etat, la gestion de l’entreprise fera l’objet d’un « Contrat de performance ». Aussi, la nouvelle équipe de gestion aura des obligations de résultats et de reddition des comptes.
« A moyen et long termes, la nouvelle politique énergétique vise une baisse structurelle des coûts de production, ainsi que l’indépendance énergétique du Sénégal », a ajouté le président de la République qui déplore les coûts de production « très élevés » de l’entreprise.
source: APS