« Le contexte est marqué par le bâillonnement sans précédent, des droits et libertés, avec plus d’un millier de prisonniers politiques, dont plusieurs femmes, élèves, étudiants et enseignants », a-t-il expliqué.
Selon nos confrères il a ajouté qu’actuellement, la principale force de l’opposition, PASTEF-les Patriotes, après un long et douloureux bras de fer contre le pouvoir, a du mal à se remettre de trois coups fourrés du régime : la dissolution du parti, l’emprisonnement de son leader Ousmane Sonko et sa radiation sur les listes électorales.
Réussir à inverser cette tendance, à quelques encablures de l’élection présidentielle de février 2024, lui paraît incertain et selon lui, l’instinct de survie du régime actuel, laisse place à toutes les déraisons.
« La tension sociale ne faiblit pas et l’insécurité frappe à nos portes. Les populations sont laissées à elles-mêmes, avec un pouvoir d’achat qui s’amenuise de jour en jour, avec la hausse des prix des produits de première nécessité, de l’électricité et la flambée des loyers, des systèmes d’éducation et de santé paralysés », dit-il !
Selon nos confrères il a ajouté qu’actuellement, la principale force de l’opposition, PASTEF-les Patriotes, après un long et douloureux bras de fer contre le pouvoir, a du mal à se remettre de trois coups fourrés du régime : la dissolution du parti, l’emprisonnement de son leader Ousmane Sonko et sa radiation sur les listes électorales.
Réussir à inverser cette tendance, à quelques encablures de l’élection présidentielle de février 2024, lui paraît incertain et selon lui, l’instinct de survie du régime actuel, laisse place à toutes les déraisons.
« La tension sociale ne faiblit pas et l’insécurité frappe à nos portes. Les populations sont laissées à elles-mêmes, avec un pouvoir d’achat qui s’amenuise de jour en jour, avec la hausse des prix des produits de première nécessité, de l’électricité et la flambée des loyers, des systèmes d’éducation et de santé paralysés », dit-il !