Maudit se trompe d’époque et fait assez souvent des erreurs de jugements. La raison de ces errements et tout simple, il est d’une malhonnêteté intellectuelle assez remarquée et remarquable. De la même manière que les casuistes, il est loin d’être objectif et essaie de se convaincre de la véracité de ses faux arguments pour tromper ses lecteurs de moins en moins nombreux.
Pourquoi diable en veut-il autant à Idrissa SECK ? Pour cette question assez simple nous n’aurons hélas jamais de réponse puisque Mody n’exprime que sa haine. Sa défense consistera à nous rabâcher un disque usé : « Idrissa ne m’inspire pas confiance ». Et c’est tout ! Avons-nous confiance en lui pour que sa position puisse influencer la nôtre ? N’avait t il pas confiance en Abdoulaye Wade qui nous a guidés vers les abîmes ? Que vaut son jugement lorsque celui-ci produit assez souvent le contraire de ce qui est attendu ? C’est en cela que la sortie de l’Honorable député Thierno Bocoum sur Dakaractu le Lundi 27/08/2012 trouve toute sa pertinence. « Dieu merci donc qu’il n’ait pas confiance en Idrissa SECK ». La position contraire aurait permis aux détracteurs du maire de Thies de faire une comparaison avec son choix pour Wade et d’en arriver à la déduction selon laquelle il en aurait encore fait un de mauvais.
On ne tirera rien de précis dans ses satires et à la question de savoir ce qu’il reprocherait concrètement à Idrssa SECK, il nous servira un soliloque, dépourvu de constance et de consistance, comme à son habitude. Tout son argumentaire vise à discréditer le Président de Rewmi. Son raisonnement ne repose que sur des affirmations gratuites. Son objectif est très simple à comprendre : il tente de déconsidérer un homme au profit de son mentor politique.
Pour preuve, la conclusion de sa si longue contribution, parue dans le quotidien Le Quotidien n°2603 du 19 Septembre 2011, prouve, à partir de la tonalité, l’envi de vouloir faire mal et la satisfaction d’avoir cru causer du tort à sa cible, délibérément, choisie. Le conditionnel qui rythme cette contribution prouve, aux plus optimistes, que son intention a toujours été de calomnier et de retarder un processus déjà enclenché. Mais, d’autres avant lui l’on tentait sans jamais y parvenir. Il est même passé aux aveux en reconnaissant que ce qu’il fait de mieux, c’est à dire dénigrer, ternir l’image des vaillants soldats de la démocratie et des sentinelles de la République n’a aucune utilité. Ainsi il affirme que « le verbe, (…) n’a jamais développé un pays fût il des plus succulents ».
Retenons simplement qu’il y aura toujours des personnes de très mauvaise foi, qui truqueront, critiqueront ou accuseront pour le seul désir d’entendre leur nom prononcer par d’autres et de connaître ainsi une bien triste popularité. Pour ces personnes, la fin doit toujours justifier les moyens. Peu importe la licéité ou non des moyens utilisés. Ils sont prêts à s’allier avec le Diable et à être des infidèles et à s’y entêter. Récitons pour ces personnes la sourate 109, Les Infidèles, du Livre Saint, « Dis : Ô vous les infidèles! Je n’adore pas ce que vous adorez. Et vous n’êtes pas adorateur de ce que j’adore. Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez. Et vous n’êtes pas adorateur de ce que j’adore. A vous votre religion, et à moi ma religion »
Que Maudit ne nous détourne plus de l’essentiel !
Abdou KEBE
Secrétaire IS4 chargé de la stratégie et du suivi des projets
Membre de la cellule de Communication IS4
cadresenegal@gmail.com
Pourquoi diable en veut-il autant à Idrissa SECK ? Pour cette question assez simple nous n’aurons hélas jamais de réponse puisque Mody n’exprime que sa haine. Sa défense consistera à nous rabâcher un disque usé : « Idrissa ne m’inspire pas confiance ». Et c’est tout ! Avons-nous confiance en lui pour que sa position puisse influencer la nôtre ? N’avait t il pas confiance en Abdoulaye Wade qui nous a guidés vers les abîmes ? Que vaut son jugement lorsque celui-ci produit assez souvent le contraire de ce qui est attendu ? C’est en cela que la sortie de l’Honorable député Thierno Bocoum sur Dakaractu le Lundi 27/08/2012 trouve toute sa pertinence. « Dieu merci donc qu’il n’ait pas confiance en Idrissa SECK ». La position contraire aurait permis aux détracteurs du maire de Thies de faire une comparaison avec son choix pour Wade et d’en arriver à la déduction selon laquelle il en aurait encore fait un de mauvais.
On ne tirera rien de précis dans ses satires et à la question de savoir ce qu’il reprocherait concrètement à Idrssa SECK, il nous servira un soliloque, dépourvu de constance et de consistance, comme à son habitude. Tout son argumentaire vise à discréditer le Président de Rewmi. Son raisonnement ne repose que sur des affirmations gratuites. Son objectif est très simple à comprendre : il tente de déconsidérer un homme au profit de son mentor politique.
Pour preuve, la conclusion de sa si longue contribution, parue dans le quotidien Le Quotidien n°2603 du 19 Septembre 2011, prouve, à partir de la tonalité, l’envi de vouloir faire mal et la satisfaction d’avoir cru causer du tort à sa cible, délibérément, choisie. Le conditionnel qui rythme cette contribution prouve, aux plus optimistes, que son intention a toujours été de calomnier et de retarder un processus déjà enclenché. Mais, d’autres avant lui l’on tentait sans jamais y parvenir. Il est même passé aux aveux en reconnaissant que ce qu’il fait de mieux, c’est à dire dénigrer, ternir l’image des vaillants soldats de la démocratie et des sentinelles de la République n’a aucune utilité. Ainsi il affirme que « le verbe, (…) n’a jamais développé un pays fût il des plus succulents ».
Retenons simplement qu’il y aura toujours des personnes de très mauvaise foi, qui truqueront, critiqueront ou accuseront pour le seul désir d’entendre leur nom prononcer par d’autres et de connaître ainsi une bien triste popularité. Pour ces personnes, la fin doit toujours justifier les moyens. Peu importe la licéité ou non des moyens utilisés. Ils sont prêts à s’allier avec le Diable et à être des infidèles et à s’y entêter. Récitons pour ces personnes la sourate 109, Les Infidèles, du Livre Saint, « Dis : Ô vous les infidèles! Je n’adore pas ce que vous adorez. Et vous n’êtes pas adorateur de ce que j’adore. Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez. Et vous n’êtes pas adorateur de ce que j’adore. A vous votre religion, et à moi ma religion »
Que Maudit ne nous détourne plus de l’essentiel !
Abdou KEBE
Secrétaire IS4 chargé de la stratégie et du suivi des projets
Membre de la cellule de Communication IS4
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