En Afrique, exercé le métier de journaliste c’est être exposé à la mort, à l’agression, à la corruption, à la calomnie, etc. Parmi, les principaux détracteurs de la presse, on peut citer les politiques, les hommes riches. Au Sénégal, cette remarque est aussi valable. Le journaliste est prisé lorsque le politique doit faire une déclaration de presse, point de presse et autre.
Toutefois, lorsque le politique est en mauvaise position, il ne tarde pas à pointer du doigt le journaliste pour se débarrasser. Et pourtant, ils sont les premiers informateurs de ces derniers, les suppliant de les mettre le plus souvent à la Une de leurs journaux pour se faire voir et gagner une aura. Cependant, le journaliste sait que le politique vit sur le rythme du machiavélisme. Il assume quand cela l’arrange et réfute quand cela le dérange. Peu importe son jeu, le politique doit prendre conscience que le rôle du journaliste est d’éduquer, sensibiliser, d’informer l’opinion. Si jamais le journaliste ne rend pas fidèle ses propos, ce dernier peut lui envoyer un message pour le lui signifier afin qu’il puisse corriger. Et que la collaboration puisse continuer.
Toutefois, lorsque le politique est en mauvaise position, il ne tarde pas à pointer du doigt le journaliste pour se débarrasser. Et pourtant, ils sont les premiers informateurs de ces derniers, les suppliant de les mettre le plus souvent à la Une de leurs journaux pour se faire voir et gagner une aura. Cependant, le journaliste sait que le politique vit sur le rythme du machiavélisme. Il assume quand cela l’arrange et réfute quand cela le dérange. Peu importe son jeu, le politique doit prendre conscience que le rôle du journaliste est d’éduquer, sensibiliser, d’informer l’opinion. Si jamais le journaliste ne rend pas fidèle ses propos, ce dernier peut lui envoyer un message pour le lui signifier afin qu’il puisse corriger. Et que la collaboration puisse continuer.