Les hommes interrogés par le Guardian confient se sentir coupables d’avoir recours à des travailleuses du sexe, déçus, malhonnêtes avec leur compagne quand ils en ont une. Alors pourquoi y retourner ? Alex avoue pour sa part ne pas savoir comment « ne serait-ce que parler aux femmes ». « Pour moi, la prostitué idéale doit essayer de me connaître, de faire semblant d’être ma petite amie. J’aimerais, si une personne extérieure nous surprenait, qu’elle nous confonde avec des amoureux. »
La misère sentimentale n’est cependant pas le seul moteur qui pousse les hommes à avoir des relations sexuelles tarifiées. Pour Ben, « beaucoup d’hommes paient pour pouvoir assouvir des fantasmes dont ils n’osent pas parler avec leur femme, ou qu’elles n’accepteraient jamais ». Pratiques sado-masochistes, fessées ou fellations goulues, les maris deviennent parfois bien timides quand il s’agit de formuler leur désir. Ou en ont honte car elles leur semblent pas « assez viriles ». « Je n’imagine pas la tête de ma petite amie si je lui demandais de me mettre une fessée puis de m’uriner dessus », confie Max.
Plus d’un quart des hommes interrogés pensent que les prostituées avec qui ils ont eu des rapports sexuels sont victimes d’un trafic d’être humains. Un homme raconte : « Une fois, j’ai eu une relation tarifiée avec une femme, elle avait peur et était stressée. Je me suis dit qu’elle devait être prisonnière d’un réseau. Elle m’a demandé de l’aide, mais je ne pouvais rien faire. » La moitié des hommes sondés par l’association déclarent avoir eu leur première relation sexuelle avec une prostituée avant leur majorité. David, lui, a perdu sa virginité en famille : « Mon père nous a emmené, mon frère et moi, dans un bordel. Il voulait être sûr que nous n’étions pas gay. Ma mère ne l’a jamais su. »
*Les prénoms ont été modifié
slate.fr / xalimasn.com
La misère sentimentale n’est cependant pas le seul moteur qui pousse les hommes à avoir des relations sexuelles tarifiées. Pour Ben, « beaucoup d’hommes paient pour pouvoir assouvir des fantasmes dont ils n’osent pas parler avec leur femme, ou qu’elles n’accepteraient jamais ». Pratiques sado-masochistes, fessées ou fellations goulues, les maris deviennent parfois bien timides quand il s’agit de formuler leur désir. Ou en ont honte car elles leur semblent pas « assez viriles ». « Je n’imagine pas la tête de ma petite amie si je lui demandais de me mettre une fessée puis de m’uriner dessus », confie Max.
Plus d’un quart des hommes interrogés pensent que les prostituées avec qui ils ont eu des rapports sexuels sont victimes d’un trafic d’être humains. Un homme raconte : « Une fois, j’ai eu une relation tarifiée avec une femme, elle avait peur et était stressée. Je me suis dit qu’elle devait être prisonnière d’un réseau. Elle m’a demandé de l’aide, mais je ne pouvais rien faire. » La moitié des hommes sondés par l’association déclarent avoir eu leur première relation sexuelle avec une prostituée avant leur majorité. David, lui, a perdu sa virginité en famille : « Mon père nous a emmené, mon frère et moi, dans un bordel. Il voulait être sûr que nous n’étions pas gay. Ma mère ne l’a jamais su. »
*Les prénoms ont été modifié
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