L’union de façade de cette vielle opposition, est la résultante de combines et de conspirations pour procéder à la conquête solitaire du pouvoir. La désunion de ces opposants au sein de l’opposition, est guidée que par des intérêts personnels, claniques et des règlements de compte politique et historique, ne pouvait pas prendre au dépourvu le sénégalais Lambda.
Abdoulaye Wade peut se tordre de rire, sa stratégie a payé, le refus de dialoguer avec ces « opposants opposés » n’était qu’une astuce pour user et éclater ces vieux au crépuscule de leurs vies politiques. Nul ne se doute que sans cette coalition, en 2000 Wade ne serait jamais au pouvoir, le mérite du génie en politique se démontre chaque jour au dépens de l’opposition, composée d’anciens ministres, voire d’anciens hommes d’Etat. Qui arrêtera la machine prédatrice du vieux ? Surement pas cette opposition amnésique aux souffrances des sénégalais, obsédée par la question du leader, ils ne sont qu’un Etat parallèle à coté du pouvoir. Ils désincarnent l’opposant au vrai sens du terme.
Combien de forfaitures ont été commises dans ce pays sur le plan constitutionnel, sur le plan économique et financier, sur le plan politique ? Une anthologie de scandales rythme le quotidien des sénégalais.
Une équipe qui triomphe est celle ou les joueurs s’entendent d’attaquer et de se défendre ensemble de s‘accepter les uns les autres, d’avoir pour devise « qu’importe qui dirige, l’essentiel c’est la gagne ».
L’autre mérite de Wade, tout ce qu’il a obtenu c’est grâce à la rue.
Toutes les marches de protestations ou de contestations c’est grâce à la pression des femmes de l’opposition, elles ont au moins incarné ce dont qui a fait la gloire des « femmes de Nder. » En 2012, j’ai la ferme conviction que l’alternative pour la survie de l’union pour remporter les élections présidentielles est de désigner une candidate issue ou pas de l’opposition. Mon raisonnement est étayé par l’esprit intellectuel, par la teneur de leurs discours à l’adresse du pouvoir et le comportement exemplaire de certaines dames de l’opposition (Aminata Mbengue Ndiaye, Héléne Tine, Aissata Tall Sall,) ou de la société civile (Penda Mbow). En plus l’opposition « djiguéne gni gnoye goor gni goor gni gnoye djiguéne yi.»
Compter sur Moustapha Niass, Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Macky Sall ou sur les autres hommes de l’opposition c’est laissé la voie aux libéraux de faire et défaire ce pays selon les humeurs ou les pulsions de la seule constance.
Khadimly@live.fr
Abdoulaye Wade peut se tordre de rire, sa stratégie a payé, le refus de dialoguer avec ces « opposants opposés » n’était qu’une astuce pour user et éclater ces vieux au crépuscule de leurs vies politiques. Nul ne se doute que sans cette coalition, en 2000 Wade ne serait jamais au pouvoir, le mérite du génie en politique se démontre chaque jour au dépens de l’opposition, composée d’anciens ministres, voire d’anciens hommes d’Etat. Qui arrêtera la machine prédatrice du vieux ? Surement pas cette opposition amnésique aux souffrances des sénégalais, obsédée par la question du leader, ils ne sont qu’un Etat parallèle à coté du pouvoir. Ils désincarnent l’opposant au vrai sens du terme.
Combien de forfaitures ont été commises dans ce pays sur le plan constitutionnel, sur le plan économique et financier, sur le plan politique ? Une anthologie de scandales rythme le quotidien des sénégalais.
Une équipe qui triomphe est celle ou les joueurs s’entendent d’attaquer et de se défendre ensemble de s‘accepter les uns les autres, d’avoir pour devise « qu’importe qui dirige, l’essentiel c’est la gagne ».
L’autre mérite de Wade, tout ce qu’il a obtenu c’est grâce à la rue.
Toutes les marches de protestations ou de contestations c’est grâce à la pression des femmes de l’opposition, elles ont au moins incarné ce dont qui a fait la gloire des « femmes de Nder. » En 2012, j’ai la ferme conviction que l’alternative pour la survie de l’union pour remporter les élections présidentielles est de désigner une candidate issue ou pas de l’opposition. Mon raisonnement est étayé par l’esprit intellectuel, par la teneur de leurs discours à l’adresse du pouvoir et le comportement exemplaire de certaines dames de l’opposition (Aminata Mbengue Ndiaye, Héléne Tine, Aissata Tall Sall,) ou de la société civile (Penda Mbow). En plus l’opposition « djiguéne gni gnoye goor gni goor gni gnoye djiguéne yi.»
Compter sur Moustapha Niass, Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Macky Sall ou sur les autres hommes de l’opposition c’est laissé la voie aux libéraux de faire et défaire ce pays selon les humeurs ou les pulsions de la seule constance.
Khadimly@live.fr