Ce verdict prononcé en faveur de la plaignante, n’est qu’une première étape. Baba Tandian qui soutient ne pas être satisfait de cette décision, compte interjeter appel. Et il a promis de fournir de nouvelles preuves devant la Cour. Le président du groupe Tandian Multimédia estime pour sa part, que le juge du tribunal correctionnel n’a pas examiné celles qu’il avait fournies, lors du procès en première instance. En effet, lors de ce procès, le prévenu, conforté du reste par le témoin, Fatmétou Mouhamed Vall (cousine de l’ex-première Dame mauritanienne) avait réitéré tous ses propos. Ceux-ci sont contenus dans une interview parue dans la livraison du journal Le Matin en date du 08 août 2008. Dans l’article, Baba Tandian revenant sur le coup d’Etat survenu en Mauritanie, a accusé l’épouse du chef de l’Etat d’être à l’origine des faits. Elle est aussi accusée comme étant celle qui gouvernait le pays, à cause de la faiblesse de son époux.
Le spécialiste des questions mauritaniennes, a aussi accusé la plaignante d’avoir des accointances avec des homosexuels, des relations heurtées avec des militaires et l’ancien chef de sécurité du Palais pour une histoire d’élevage de chèvres et chamelles dans l’enceinte du Palais. Autant d’accusations jugées diffamatoires et injurieuses par Mme Khattou Mint El Bou Khary qui, par le biais de ses avocats, avait servi une citation directe à Baba Tandian et Assane Samb, directeur de publication du journal Le Matin.
L’ex-première Dame réclamait aux prévenus, la somme de 200 millions de francs Cfa à titre de dommages et intérêts.
source nettali
Le spécialiste des questions mauritaniennes, a aussi accusé la plaignante d’avoir des accointances avec des homosexuels, des relations heurtées avec des militaires et l’ancien chef de sécurité du Palais pour une histoire d’élevage de chèvres et chamelles dans l’enceinte du Palais. Autant d’accusations jugées diffamatoires et injurieuses par Mme Khattou Mint El Bou Khary qui, par le biais de ses avocats, avait servi une citation directe à Baba Tandian et Assane Samb, directeur de publication du journal Le Matin.
L’ex-première Dame réclamait aux prévenus, la somme de 200 millions de francs Cfa à titre de dommages et intérêts.
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