Ensuite, « il a réussi à prendre de l’avance sur ses potentiels concurrents parce qu’en réalité, la campagne électorale était, pour lui, une façon de se préparer par rapport à l’élection présidentielle. Il a fait de son parti une machine électorale et ça c’est important.
Parce qu’il savait qu’à l’élection présidentielle de 2019, il lui manquait certaines choses. Il n’avait pas ce maillage du territoire à travers de grands électeurs. Aujourd’hui, il a des élus. Pastef va se retrouver avec plus de 30 députés à l’Assemblée nationale ».
Mais, il a « un inconvénient », a-t-il poursuivi, soulignant que « (Sonko) est dans une Coalition où ses coalisés sont ses potentiels adversaires : Khalifa Sall et Karim Wade. Est-ce que s’ils partent en ordre dispersé, cette machine électorale pourrait permettre d’engranger autant de voix ou plus de voix ? ».
Parce qu’il savait qu’à l’élection présidentielle de 2019, il lui manquait certaines choses. Il n’avait pas ce maillage du territoire à travers de grands électeurs. Aujourd’hui, il a des élus. Pastef va se retrouver avec plus de 30 députés à l’Assemblée nationale ».
Mais, il a « un inconvénient », a-t-il poursuivi, soulignant que « (Sonko) est dans une Coalition où ses coalisés sont ses potentiels adversaires : Khalifa Sall et Karim Wade. Est-ce que s’ils partent en ordre dispersé, cette machine électorale pourrait permettre d’engranger autant de voix ou plus de voix ? ».