Selon lui, le combat politique de chaque citoyen est la préservation d’un Sénégal de paix, de prospérité et de démocratie.
Pour le président du mouvement Senegal Nafa et ses camarades, « la défense des intérêts de notre pays, dans ses moments difficiles, est une affaire de tous, qui nécessite une prise de position claire. Le combat pour la démocratie doit transcender nos divergences ou diversités politiques, ethniques, régionales ou religieuses. La génération actuelle de femmes et d’hommes politiques, doit préserver cet héritage que nous ont laissé nos anciens ».
Dans le communiqué parvenu au Groupe Leral, ils soutiennent aussi que le Sénégal est en train de connaître un basculement dangereux vers l’installation d’une dictature, avec des restrictions injustifiées et illégales des libertés individuelles et publiques. Ce recul démocratique au pays des Présidents Leopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, ses dignes incarnations de la fonction présidentielle et illustres hommes d’Etat, doit interpeller toutes les forces vives de la nation, pour un retour à la normalité.
« En 2024, notre peuple, ce grand peuple, doit élire son nouveau président de la République, pour « corriger » les manquements graves notés dans la gouvernance du régime Benno Bokk Yakaar. Une élection présidentielle est un « rendez-vous entre un homme et son peuple » pour reprendre les mots du General De Gaulle.
Le peuple souverain refuse ainsi, qu’on lui choisisse un candidat par procuration. Si les Sénégalais valident le candidat choisi par le Président Macky Sall, ce serait une acceptation du troisième mandat que nous avons tous combattu », déclare Me Pape Mamaille Diockou, .président du mouvement Sénégal Nouvelle Alliance des Forces Alternatives.
« Ainsi, nous appelons à la tenue des élections libres, transparentes et inclusives. En conclusion, je parraine et fais parrainer la candidature de Monsieur Ousmane Sonko. Vive le Sénégal, Vive le Senegal Nafa », conclut-il.
Pour le président du mouvement Senegal Nafa et ses camarades, « la défense des intérêts de notre pays, dans ses moments difficiles, est une affaire de tous, qui nécessite une prise de position claire. Le combat pour la démocratie doit transcender nos divergences ou diversités politiques, ethniques, régionales ou religieuses. La génération actuelle de femmes et d’hommes politiques, doit préserver cet héritage que nous ont laissé nos anciens ».
Dans le communiqué parvenu au Groupe Leral, ils soutiennent aussi que le Sénégal est en train de connaître un basculement dangereux vers l’installation d’une dictature, avec des restrictions injustifiées et illégales des libertés individuelles et publiques. Ce recul démocratique au pays des Présidents Leopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, ses dignes incarnations de la fonction présidentielle et illustres hommes d’Etat, doit interpeller toutes les forces vives de la nation, pour un retour à la normalité.
« En 2024, notre peuple, ce grand peuple, doit élire son nouveau président de la République, pour « corriger » les manquements graves notés dans la gouvernance du régime Benno Bokk Yakaar. Une élection présidentielle est un « rendez-vous entre un homme et son peuple » pour reprendre les mots du General De Gaulle.
Le peuple souverain refuse ainsi, qu’on lui choisisse un candidat par procuration. Si les Sénégalais valident le candidat choisi par le Président Macky Sall, ce serait une acceptation du troisième mandat que nous avons tous combattu », déclare Me Pape Mamaille Diockou, .président du mouvement Sénégal Nouvelle Alliance des Forces Alternatives.
« Ainsi, nous appelons à la tenue des élections libres, transparentes et inclusives. En conclusion, je parraine et fais parrainer la candidature de Monsieur Ousmane Sonko. Vive le Sénégal, Vive le Senegal Nafa », conclut-il.